un peu de psychologie

Ben moi je m'en fous, je suis un nul qui revendique de n'avoir aucun diplôme, même pas le certificat d'étude.

Jean-pierre a écrit:Ben moi je m'en fous, je suis un nul qui revendique de n'avoir aucun diplôme, même pas le certificat d'étude.

ok ,mais toi tu bosses  et tu ne t'inventes pas des diplômes 
 bonne soirée

Pas besoin d'inventer quoi que ce soit, je suis de l'époque où l'on prouvait sa valeur sur le terrain, pas de l'époque où l'on a la tête farcie.

Jean-pierre a écrit:Pas besoin d'inventer quoi que ce soit...

Comme d'inventer un sujet sur la psychologie, de faire des copier-coller de textes qu'on est incapable de comprendre alors que le but n'est que de se moquer de manière méprisante et méprisable d'une seule et même personne ?

 

Pathétique dis-tu ?

Tout à fait !

La tendance à l’égocentrisme, à ramener tout à soi, et à ne voir le monde qu’au travers de ses intérêts propres, est naturelle chez les humains, surtout chez les enfants. Avec l’âge, la plupart des personnes apprennent à se décentrer d’eux-même en écoutant et en donnant. Lorsqu’il perdure à l’âge adulte, il devient un trait de personnalité ou une personnalité à part entière que l’on appelle la « personnalité narcissique » ou « mégalomane ».

Les égocentriques sont en générale pénibles pour leur entourage, qui finit souvent par les éloigner d’eux. Contrairement à l’égoïste, qui ne pense qu'à son intérêt personnel dans tous les actes qu'il entreprend, l’égocentrique pense faire preuve de générosité. Il ne se coupe pas de la relation avec l'autre, mais il la biaise.

Il est capable de faire preuve d'une grande capacité d'écoute et d'attention, mais son interprétation sera toujours personnelle. Il est persuadé que son attitude, ses jugements, son comportement et ses solutions sont les seules valables. Il pense souvent donner sans recevoir en retour alors que son entourage n’a jamais vraiment senti de soutien de sa part

Les caractéristiques de la personne égocentrique apparaissent surtout lorsqu’elle interagit avec les autres. Elle peut alors :

Monopoliser la conversation, la dominer ou la conduire.
Aborder des thématiques qui tournent autour de sa vie, de ses opinions ou de ses expériences personnelles.
Ne pas s’intéresser à l’autre, ne pas l’écouter parler ou bien ramener la conversation vers soi.
Chercher à toujours avoir raison ou à gagner une dispute sans comprendre le point de vue et les idées de l'autre.
Avoir des difficultés à se mettre à la place des autres, à ressentir leurs émotions.
Initier des relations sociales en voulant paraître intéressant, séduisant, intelligent ou exceptionnel sans s’intéresser aux autres.
Ne pas faire confiance ou négliger les commentaires qu'on lui fait en réagissant de façon défensive ou agressive sans chercher à comprendre le point de vue de son interlocuteur.
Accuser les autres en cas de problème et rejeter la faute sur eux.
L’estime de soi est souvent pauvre chez les personnes égocentriques. Elles se mettent en avant pour se rassurer et cacher leur manque de confiance en elle. Un travail personnel sur l’augmentation de l’estime de soi, la gestion de la colère et l’apprentissage de la patience permet de diminuer l’égocentrisme

Féerire a écrit:

 “ l'égocentrisme”

Égocentrisme : qu'est-ce que c'est ?

La tendance à l’égocentrisme, à ramener tout à soi, et à ne voir le monde qu’au travers de ses intérêts propres, est naturelle chez les humains, surtout chez les enfants. Avec l’âge, la plupart des personnes apprennent à se décentrer d’eux-même en écoutant et en donnant. Lorsqu’il perdure à l’âge adulte, il devient un trait de personnalité ou une personnalité à part entière que l’on appelle la « personnalité narcissique » ou « mégalomane ».

Les égocentriques sont en générale pénibles pour leur entourage, qui finit souvent par les éloigner d’eux. Contrairement à l’égoïste, qui ne pense qu'à son intérêt personnel dans tous les actes qu'il entreprend, l’égocentrique pense faire preuve de générosité. Il ne se coupe pas de la relation avec l'autre, mais il la biaise.

Il est capable de faire preuve d'une grande capacité d'écoute et d'attention, mais son interprétation sera toujours personnelle. Il est persuadé que son attitude, ses jugements, son comportement et ses solutions sont les seules valables. Il pense souvent donner sans recevoir en retour alors que son entourage n’a jamais vraiment senti de soutien de sa part

Les caractéristiques de la personne égocentrique apparaissent surtout lorsqu’elle interagit avec les autres. Elle peut alors :

Monopoliser la conversation, la dominer ou la conduire.
Aborder des thématiques qui tournent autour de sa vie, de ses opinions ou de ses expériences personnelles.
Ne pas s’intéresser à l’autre, ne pas l’écouter parler ou bien ramener la conversation vers soi.
Chercher à toujours avoir raison ou à gagner une dispute sans comprendre le point de vue et les idées de l'autre.
Avoir des difficultés à se mettre à la place des autres, à ressentir leurs émotions.
Initier des relations sociales en voulant paraître intéressant, séduisant, intelligent ou exceptionnel sans s’intéresser aux autres.
Ne pas faire confiance ou négliger les commentaires qu'on lui fait en réagissant de façon défensive ou agressive sans chercher à comprendre le point de vue de son interlocuteur.
Accuser les autres en cas de problème et rejeter la faute sur eux.
L’estime de soi est souvent pauvre chez les personnes égocentriques. Elles se mettent en avant pour se rassurer et cacher leur manque de confiance en elle. Un travail personnel sur l’augmentation de l’estime de soi, la gestion de la colère et l’apprentissage de la patience permet de diminuer l’égocentrisme

Citer, copier, réciter... Sans comprendre et sans en avoir la capacité... tout ça pour exister...

 

On les appelle monsieur ou madame Je-sais-tout.
 Ils affirment sans cesse avoir raison et s’empressent de donner leur avis à la moindre occasion. « Lors des dîners entre amis,ils ne peux pas s'empêcher de parler plus fort que les autres et de se lancer dans des débats animés pour épater la galerie  .Pourtant, les théories qu’ils énoncent sur un ton péremptoire s’avèrent parfois bien peu documentées et guère convaincantes. Cette attitude trahit le besoin de susciter à tout prix l’admiration d’autrui. « Elle révèle souvent un manque de confiance en soi, une profonde anxiété qui se manifeste de manière défensive », analyse Stéphanie Hahusseau, psychiatre à Toulouse et thérapeute cognitivo-comportementaliste.

Un besoin de se rassurer
Cette quête éperdue de reconnaissance masque une faille narcissique. les  Je-sais-tout se cachent parfois des « phobiques sociaux »,  leur peur par une « logorrhée anxiolytique ». Se faire mousser et clouer le bec aux autres leur permet de masquer leurs faiblesses.

« Ce comportement sert de cache-misère aux gens profondément complexés, par exemple par leur niveau d’études ou leur origine sociale », observe Catherine Jaconelli, psychiatre et psychanalyste. La personne qui a réponse à tout éprouve le besoin perpétuel de se rassurer sur sa propre valeur. Elle donne une importance cruciale à l’effet que produisent ses propos sur autrui, persuadée qu’afficher la moindre lacune lui serait fatal, que toute erreur la discréditerait.

Nicolas, 27 ans, confirme : « Me tromper constitue pour moi la pire des humiliations. J’essaie toujours d’avoir le dernier mot pour gagner la partie et ne pas perdre la face. »

Des enfants peu écoutés
Cette tendance à dramatiser verbalement les choses s’enracine généralement dans l’enfance. « Petits, ces sujets ont été confrontés à des responsabilités trop lourdes pour leur âge, ils ont vieilli trop vite », explique Catherine Jaconelli. A l’image de Françoise, la cinquantaine, qui admet ne pas s’être vraiment amusée enfant. Les gens « qui savent tout sur tout » prennent les choses trop au sérieux, souvent parce que leur enfance n’a pas été assez ludique et qu’ils ne se sont pas sentis pris au sérieux.

« Ils ont souvent manqué d’attention, ajoute Stéphanie Hahusseau. Peu écoutés et mal compris par leurs parents, ils ont été obligés de hausser le ton et d’en rajouter pour se faire entendre. » Une fois devenus adultes, ils continuent à croire que s’installer dans la surenchère reste le seul moyen de s’imposer et de lutter contre le sentiment d’infériorité qui les assaille.
que doit faire le je sais tout 
Apprenez à vous taire
Empêchez-vous de prendre systématiquement part aux discussions. Efforcez-vous de garder le silence le plus longtemps possible et évitez de monopoliser la parole lorsque vous intervenez. Le but ? Sortir de cette situation de communication agressive qui vous emprisonne.

Ecoutez
Plutôt que de vous focaliser sur votre propre discours, concentrez-vous sur ce que dit autrui. Pratiquez l’écoute active. Entraînez-vous à ne pas couper la parole à votre interlocuteur et à lui prouver votre attention, en ponctuant la fin de ses phrases par des marques d’intérêt, interjections et hochements de tête. Faire exister l’autre en l’écoutant constitue le meilleur moyen de susciter sa sympathie et son admiration.

Echangez
Appropriez-vous les codes du dialogue. Apprenez à poser des questions ouvertes, débutant par « où », « quand », « comment », « avec qui ». Vous montrerez ainsi votre intérêt pour votre entourage. Tentez d’envisager la conversation comme une partie de ping-pong dans laquelle chacun a son mot à dire, sa balle à jouer. Prenez les choses avec plus d’humour. Rappelez-vous qu’il n’y a aucune honte à ne pas tout savoir. Bien au contraire.

Galimatias de torturé de la cervelle qui font des généralités alors que chaque personne à sa propre identité.

Je connais au moins une personne qui correspond à ce profil, mais dont la jeunesse ne correspond pas du tout à ce qui est écrit.

Jean-pierre a écrit:Galimatias de torturé de la cervelle qui font des généralités alors que chaque personne à sa propre identité.

Je connais au moins une personne qui correspond à ce profil, mais dont la jeunesse ne correspond pas du tout à ce qui est écrit.

moi aussi j'en connais et je pense que tout le monde en connaît 
c'est un peu comme les conserves ,elles ont toutes une étiquette mais ne contiennent pas forcement la même chose 
ces articles sont écrits par des gens  dont c'est le métier ils ne font pas de généralité pour un cas ,ils expliquent .

Ce sont souvent des articles écrit par des gens qui sont hors-sol et qui ne connaissent pas vraiment de quoi ils parlent.

Lors d'une grève de routier, il y a fort longtemps, un de ces psychologues expliquait doctement à la radio que les routiers étaient des gens qui se baladaient en pantalon de training et en basket.

Sur la cinquantaine de gars qu'il y avait sur le barrage, pas un n'avait un pantalon de training et pratiquement aucun n'avait de basket.

Je ne sais pas où ce type avait péché ses informations, mais ce qui est sûr c'est que ce n'était pas dans la vie de tous les jours.

ça sert surtout les frustrés qui ont besoin de se prouver quelque chose.

On rappelle que le but de ce sujet est de ne parler que d'une seule personne ici,

MOI.

Donc quand je lis ceci, cela, histoire de me pointer du doigt devant tout le monde... me fait dire que la modération est un peu complice de cette provocation.

J'ai un défaut, un qui m'énerve et qui me fait perdre beaucoup de temps:

Je pense bien trop vite par rapport à la vitesse à laquelle j'écris...

Du coup, soit des mots manquent dans mes textes, soit il y a des incohérences, parce que j'ai changé d'idée en cours de rédaction.

GRRRRR

La modération fait ce qu'elle peut et avec certains zozos des forums, ce n'est pas toujours facile.

Certaines personnes rendent même la vie des autres impossibles !

Il y a des gens malsains et c'est de ceux-là dont il faut se préserver.

Jean-pierre a écrit:La modération fait ce qu'elle peut et avec certains zozos des forums, ce n'est pas toujours facile.

tu l'as dit bouffi 
mais si certains apprenaient à se modérer tous seuls ..........

Jean pierre a écrit:
Ce sont souvent des articles écrit par des gens qui sont hors-sol et qui ne connaissent pas vraiment de quoi ils parlent.

c'est ton avis et il t'arrange ,remarque tu en rajoutes une couche en disant que les psy sont hors sol 
moi ,je n'invente rien je fais des copiés collés sur des sites de médecine ,un peu plus sérieux que certains commentaires ici
 je reste correcte  et si "certains" se sentent visés ..........
rappelles toi d'une certaine signature   la mienne est jolie 

Je ne dis pas que tu inventes, je dis simplement que ceux qui font de belles émissions dans les médias ou qui écrivent de beaux articles sont souvent hors sol.

Ou alors, ils ont dans leur clientèle des gens qui n'ont pas de personnalité et pas de caractère.

Jean pierre a écrit:c'est ton avis et il t'arrange ,remarque tu en rajoutes une couche en disant que les psy sont hors sol  

tu ne suis pas le fil ,je vois que tu n'as pas compris le sens de ma phrase    
je te  t'expliquerai bien en MP mais bon ............

Jean-pierre a écrit:Je ne dis pas que tu inventes, je dis simplement que ceux qui font de belles émissions dans les médias ou qui écrivent de beaux articles sont souvent hors sol.

Ou alors, ils ont dans leur clientèle des gens qui n'ont pas de personnalité et pas de caractère.

Ces gens qui publient ainsi ces informations sur internet, ne sont-ils pas en manque de reconnaissance et d'un besoin important d'exister ?

Parler des autres permet une chose: Qu'on ne parle pas de soi...



Les psy, quel que soit le type, sont surtout, en très grande majorité, là pour faire du fric !

La sensation de domination qu'ils doivent éprouver doit être incroyable.

Il y a de sacré malades mentaux chez les psy, des gens dangereux en quête de réponses et souvent très intelligents et donc... malins !

Je pense que la manipulation est leur première qualité.

Prendre le contrôle du patient et le téléguider jusqu'à ce qu'il ne puisse plus rapporter.

Depuis aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours entendu des histoires sur des psy, des séances onéreuses et surtout très très très répétitives...

Souvent les gens qui racontent finissent leurs histoires par: J'ai perdu... XXXX €

Si on remonte loin dans l'histoire, la psychiatrie a servi des choses vraiment laides... Des asiles où on enfermait les "maîtresses" des gens influents qui pouvaient représenter un risque pour leur réputation, carrière, vie de couple, etc...

De même que les femmes qui dérangeaient le foyer et donc l'homme pouvait apporter sans souci sa femme là-bas, pour qu'elle soit remise dans le droit chemin.

Les lobotomies, les essais en tout genre...

La psychologie et la psychiatrie sont des pratiques effrayantes laissées dans les mains de personnes dont, finalement, on ne sait rien.

Le complexe d'infériorité
il  peut se définir : " la mauvaise opinion qu'on a de soi-même "
 ; il faut ajouter que cette opinion est, d'ordinaire, un " sentiment obscur "
 plutôt qu'un jugement lucide, et qu'elle se développe dans le " subconscient
 ", à la suite d'impressions pénibles, plus ou moins " refoulées " comme indésirables 
(souvenir d'échecs subis et de fautes commises).

Ce complexe peut démoraliser le sujet, le mettre en état d'infériorité réelle
 par voie d'auto-suggestion ; mais aussi, chez d'autres sujets, plus dynamiques, 
il peut susciter une réaction de défense, en vue de " compenser " et de surcompenser 
le jugement péjoratif : d'où un souci très vif, orgueilleux et ombrageux,
 de l'opinion publique, le besoin non seulement de se réhabiliter,
 mais de prouver sans cesse aux autres et à soi-même qu'on est doué 
des qualités les plus hautes.  
et tout se transforme  soudain en perversité narcissique en développant un complexe de supériorité

Le complexe de supériorité n'est pas juste une façon de dire que l'on se sent plus beau ou plus intelligent que quelqu'un d'autre. C'est un problème qui va bien plus loin puisqu'il s'agit d'un trouble de la personnalité. Les psychiatres parlent alors de "personnalité narcissique". Ceux qui en sont atteints s'aiment, s'admirent et méprisent les autres, qu'ils considèrent comme leurs inférieurs

Jean-pierre a écrit:Ben moi je m'en fous, je suis un nul qui revendique de n'avoir aucun diplôme, même pas le certificat d'étude.

looooooooooooool ! excellent !!
ben moi j assumes d avoir passé mon bac a 40 ans !!! na !!et le pire c est que je l ai eu !!

je prefere quelqu un qui a un complexe d inferiorité que le contraire !!

Jean-pierre a écrit:Ben moi je m'en fous, je suis un nul qui revendique de n'avoir aucun diplôme, même pas le certificat d'étude.

itsmeagainagain a écrit:

looooooooooooool ! excellent !!ben moi j assumes d avoir passé mon bac a 40 ans !!! na !!et le pire c est que je l ai eu !!

cool   
 moi, je n'ai jamais passé mon BAC ,je suis entrée en apprentissage dès l'âge de 14 ans d'abord une école de couture ou après deux ans j'ai obtenu un CAP puis un BEP 2 ans après 
à 18 ans je faisais un autre apprentissage  en cuisine et pareil au bout ,un joli diplôme m'aidait à attaquer dans la restauration ou j'ai aussi appris à être barmaid 
tous les boulots que j'ai fait après m'ont plu et nous ont permis à mon chéri et moi d'élever décemment nos 3 enfants  car deux salaires ça aide vraiment    et j'ai toujours essayé de me perfectionner dans tout ce que j'ai fait  jusqu'à ma retraite

bravo Itsme pour le courage  
moi   c'est le permis que j'ai passé   à 55 ans   ...

 c'est le diplôme dont je suis le plus fière  parce que le plus éloigné de mes compétences personnelles

Comme me répétait ma mono : "mais arrête de tout voilà comprendre ! appuis ! "

elle a dû me faire le dessin du fonctionnement de l'embrayage parce que je voulais voir à quoi servait le fait d'



arrête JP de  dire que tu es nul    ça m'énerve ça  !!  

un self made men est bien plus respectable  que nos petits bacheliers   qui ne savent rien
ou   juste  les codes d'  accès   à la connaissance    des autres  et faire  des   copier coller



le Savoir c'est ce que l'on sait après avoir tout oublié    dit -on et c'est vrai  

la vie forme   autant que les études  et dans pas mal de cas :    bien pluss  !

Pelayo a écrit:arrête JP de dire que tu es nul ça m'énerve ça !!

Moi, ça m'amuse, routier sans aucun diplôme c'est l'assurance d'être casé dans les QI d'une moule et là je me suis beaucoup amuser parfois.

Comme me répétait ma mono : "mais arrête de tout voilà comprendre ! appuis ! "

C'est la différence entre l'intelligence qui veut comprendre et la culture qui apprend sans comprendre.

LibrePenseur a écrit:Ces gens qui publient ainsi ces informations sur internet, ne sont-ils pas en manque de reconnaissance et d'un besoin important d'exister ?

Bien sûr, être dans l'information, dans le troupeau, dans la mode, ça rassure, on est comme les autres, on est normal et même si la société n'est pas normale, ce n'est pas grave on est normal avec les autres.

il y en a qui changent d'avis comme de slip et  même plus souvent d'avis que de slip
ça se nomme "l'influence " et ces personnes qui ont besoin de reconnaissance sont très "influençables 

"Avec lui, c'est toujours le dernier qui a parlé qui a raison".
Cette expression du registre familier s'utilise de manière péjorative, afin de dénoncer le caractère excessivement influençable d'une personne ayant trop facilement tendance à changer d'avis, au gré des prises de position de ses différents interlocuteurs successifs      

Sans même changer d'avis, les influenceurs sont là pour donner un avis à des gens qui n'en ont pas.

Quelqu'un qui n'a pas de style vestimentaire par exemple, va suivre la mode ou les influenceurs bêtement parce qu'on lui dit que c'est bien, alors que ce n'est pas bien, voire inconfortable.