"Seigneur, excusez-moi si je vous dérange! Il m'est venu tout à l'heure à l'idée, Que vous aviez peut-être besoin d'un saint ... Alors, je suis venu pour la place, Je ferai très bien l'affaire."
"Quoi qu'on en dise, le monde est rempli de gens parfaits. Il y en a qui vous offrent beaucoup de sacrifices. Et, pour que vous ne vous trompiez pas en les comptant, Ils les marquent avec une petit croix sur un carnet. Moi, je n'aime pas faire des sacrifices. Ça m'ennuie énormément. Ce que je vous ai donné, Seigneur, Vous savez bien que vous l'avez pris sans permission. Tout ce que j'ai pu faire, c'est de ne pas rouspéter."
"Il y a aussi des gens qui se corrigent d'un défaut par semaine. Ils sont forcément parfaits au bout d'un trimestre. Moi, je n'ai pas assez confiance en vous pour faire ça. Qui sait si je vivrais encore Au bout de la première semaine?"
"Vous êtes si imprévisible, si impulsif, mon Dieu! Alors, j'aime autant garder mes défauts. En m'en servant le moins possible."
"Les gens parfaits ont tant de qualités Qu'il n'y a plus de place en leur âme pour autre chose. Ils n'arriveront jamais à être des saints. D'ailleurs, ils n'en ont pas envie, de peur de manquer à leur humilité."
"Mais, Seigneur" un saint, c'est un vase vide Que vous remplissez de votre Amour, de votre Sainte Trinité. Or Seigneur, je suis un vase vide Avec un peu de boue au fond. Ce n'est pas propre, je le sais bien."
"Si vous ne voulez pas de moi non plus, Seigneur, Je n'insisterai pas. Réfléchissez pourtant à ma proposition, elles est sérieuse. Quand vous irez dans votre cellier, Rappelez-vous que vous avez quelque part sur la terre Une petite cruche à votre disposition".
Extrait d'un bulletin de "La Vie Montante de L'Essonne"
Nombre de messages : 3711 Age : 83 Localisation : Nyons en provence (26 ) Loisirs : musique lecture,opéra,ballade en forêt Date d'inscription : 25/11/2007
Un jour, j’ai fait passer une annonce pour trouver une aide ménagère. Je n'avais pas toujours le temps nécessaire pour m’occuper de la maintenance de mon appartement.
Monsieur Ohcum s’est présenté à ma porte : sa jovialité et son entrain naturel m’ont convaincu. En une matinée, il a abattu un travail incroyable, les étagères n’avaient jamais été aussi propres et le sol reluisait.
Il venait 3 fois par semaine et, tout en sifflant, mettait de l’ordre dans mon petit monde désordonné.
À un moment, j’ai eu un passage à vide. Je me remettais en question chaque jour, je me morfondais sur mon passé, je dormais beaucoup et je sombrais sans m’en rendre compte dans un état dépressif.
Un jour que je remuais de mauvais souvenirs, seul dans mon bureau, Monsieur Ohcum a frappé doucement à ma porte et a demandé la permission de passer l’aspirateur. Une fois rentrée, il a déposé l’appareil à mes pieds et m’a dit:
« Aujourd’hui, c’est vous qui allez nettoyer ! »
Je n’ai pas saisi tout de suite, mais, docile, je me suis exécuté. Au bout d’une demi-heure, mon bureau respirait la propreté. Et, sans comprendre pourquoi, je me sentais mieux.
Monsieur Ohcum est venu constater le résultat et m’a livré son secret:
« Prendre soin de son intérieur, ce n’est pas seulement valable pour votre appartement. Il y a des endroits dans votre cœur et votre tête que vous ne pouvez pas faire nettoyer par les autres. »
Depuis ce jour, je consacre au moins une heure quotidienne à « faire mon ménage intérieur » et à me débarrasser des peurs ou des souvenirs indésirables qui m’encombrent.
Avez vous déjà songé à faire votre ménage intérieur ?
Auteur Inconnu
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Donne ta main à celui qui veut la prendre Sinon ton cœur n'obtiendra que refus... Donne ton cœur à celui qui veut l'écouter Sinon tes yeux ne pourront que pleurer... Donne tes yeux à la lumière du soleil Sinon ta vision n'en sera que faussée...
Ouvre-toi au monde du bonheur Aux gens qui t'offrent leur sourire... Oublie de regarder derrière toi Et pense toujours à l'avenir... Vit ton présent chaque instant Soit optimiste et fier de toi....
Il faut toujours optimiser tes moments de joies Et dédramatiser tes quelques malheurs... Qu'ils soient petits ou grands Le passé n'en fera qu'une bouchée !
Allez de l'avant, Vivre au jour le jour Ne pas faire de détour Eviter les souvenirs... C'est mon hygiène de vie Je vous en offre la recette.
je pourrais!!!! Je pourrais recréer pour lui, mille printemps, Mille matins nacrés et mille nuits mouvantes, Les heures qui tournoient dans la valse du temps, Les minutes griffées, les secondes mourantes.
Je pourrais recréer le silence du sable, Dans ces mers de déserts aux couleurs insensées. Le glissement léger d'effluves insaisissables, Quand le parfum s'exhale dans l'éther bouleversé.
Je pourrais recréer le froissement de l'onde, Le murmure du mal dans l'ombre de la fête, La symphonie du vent et la ronde des mondes, Création bien absurde. mais création parfaite !
Je pourrais recréer des aurores perdues, Des astres inviolés, des abysses voilés. Des brumes inouïes, des prairies suspendues Des crépuscules hâlés et des ciels étoilés.
Je pourrais recréer comment pleure le marbre, Lorsqu'il demeure froid au milieu de l'été. Ou même recréer ce frisson dans les arbres Quand le vent de l'effroi souffle sur le Léthé.
Je pourrais recréer ces volcans irrités, Lavant encore les rues de cités englouties. Des Cerbères blessées aux bustes étêtés, Gardant encore les portes de temples interdits.
Je pourrais recréer des mers tourbillonnantes, Des champs de blés dorés ondulants sous la brise, Recréer le désir, tant son image hante Mes rêves les plus fous qui au matin me grisent.
Mais pourquoi tant de mots ? Pourquoi toutes ces phrases ? Ce dédale verbal ; pour tisser un Poème. ? Alors qu'il m'est si simple lorsque mon coeur s'embrase, Pour calmer ses transports de lui dire. je t'aime !
Nombre de messages : 3711 Age : 83 Localisation : Nyons en provence (26 ) Loisirs : musique lecture,opéra,ballade en forêt Date d'inscription : 25/11/2007
L’été était à son meilleur. Les fleurs valsaient à la moindre brise. Les feuilles d’un vert tendre se chatouillaient dans les arbres robustes. Tout sentait bon et les enfants en vacances s’amusaient à gorge déployée dans un vaste champ à l’abri des regards des grands. Un ballon multicolore se faufilait entre les jambes des enfants. On surnommait ce jeu, le ballon « coup de pied ». Ils y prenaient un grand plaisir.
L’après-midi se passait très vite et ils retournaient à la maison pour le souper. Ils répétaient chaque jour la même chose. Ils ne se lassaient pas. Bien sûr, les jours de pluie leur imagination fertile trouvait d’autres activités.
Depuis quelques jours le soleil brillait. Om pouvait entendre rire et crier les enfants à des milles à la ronde. Difficile de passer inaperçus! Mais cela devenait une agréable musique pour les grands.
Mimie courait très vite. Malgré la chaleur, ses petites jambes défiaient le ballon. Mais cet après-midi là, Mimie courait à vive allure lorsqu’elle trébucha. Ses amis (es) eurent très peur pour elle. « Mimi tu n’as rien » dirent les enfants. « Ouf! Je me suis égratignée le genoux. Mais rien de grave. » Dit-elle. « Mais pourquoi as-tu trébuchée Mimie? » Lui demandèrent-t-ils. « Je n’en sais rien. » Dit Mimie.
Mimie et ses amis (es) refirent le trajet pour trouver la réponse. « Voilà! » C’est ici il y a une petite butte. » Dit Mimie. Les enfants s’avancèrent et ils se regardèrent. « Mais oui. » dirent-ils. Ils s’approchèrent en réfléchissant.
Tom dit : « Je vais aller chercher une petite pelle à la maison et nous allons creuser. Nous verrons bien
. « Il courut et revint très vite. Les enfants pouffèrent de rire. « Mais voyons Tom pas une pelle d’enfant, c’est trop petit et trop fragile. » dirent-ils. Tom devint tout rouge et s’excusa.
Émilie courut à son tour et elle rapporta une grosse pelle. La pelle de son papa. « Voilà Tom, ça c’est une vraie pelle. » « Ne t’en fais pas Tom, on te taquinait. » dirent tous les enfants. Et ils se mirent à creuser chacun (e) leur tour.
Mimie creusa malgré son genou écorché. « Oh » « Incroyable » s’écria-t-elle. Les enfants posèrent leur regard et virent à leur grand étonnement, une lampe magique. Chacun (e) leur tour, ils prirent la lampe magique. Mais Frédéric sursauta comme dans les bandes dessinées et vit apparaître un génie des temps anciens. Le génie s’expliqua clairement aux tremblements de tous les enfants!
« Chers enfants, il y a très, très longtemps des enfants comme vous jouaient ici, ils ne crurent pas en moi et m’emprisonnèrent dans le sol. Vous tous vous m’avez délivré. Pour votre secours, je vous laisse formuler un vœu chacun votre tour. Et les enfants étaient émerveillés. Chacun (e) formula son vœu. Mimie voulait réussir ses études et devenir un grand médecin, Émilie adorait les animaux et voulait une grande ferme, Tom voulait un grand établi avec les meilleurs outils et ainsi de suite les enfants continuèrent à formuler leur vœu.
Capulo, le génie leur dit qu’il exaucerait tous leurs vœux en autant qu’ils demeurent à jamais de bons enfants et qu’ils aiment leurs parents, leurs amis et tous les gens de la terre. Et qu’il replace la lampe magique dans un endroit tranquille sous un arbre où le génie Capulo pourra se reposer.
Tout se déroula comme le génie Capulo l’avait souhaité. Les enfants réussirent leurs vies d’adultes et aimèrent très fort tous les gens de la terre.
Et Capulo se reposait à l’ombre d’un très gros chêne!
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L’hiver s’éternisait et conservait son manteau tout blanc. Dans la forêt, même les petits animaux s’habillaient de leurs parures d’hiver.
Le premier mai prendrait place bientôt sur le calendrier. Dame Nature aurait-elle oublié un événement spécial, celui du porte-bonheur. Mais quel porte-bonheur?
Dans la forêt habitait une jeune fille d’une grande beauté et d’une grande gentillesse.On la surnommait la princesse du porte-bonheur. Pénélope était son nom.
Pénélope vivait avec tous les gens l’inquiétude du premier mai sans porte-bonheur. Mais la princesse Pénélope avait hérité d’un mystérieux don. Elle pouvait communiquer avec la nature d’une manière très spéciale. C’est pourquoi voyant le premier jour de mai se pointer sur le calendrier, elle se mit à parler dans un langage que tous les gens ignoraient. Seule la nature elle-même pouvait comprendre.
Les gens ne croyaient pas tous la princesse Pénélope et doutaient même de son don de parler à la nature. Ce qui chagrinait grandement la princesse. Mais elle persistait malgré tout à s’adresser à la nature qui s’entêtait à demeurer blanche.
Il serait bientôt minuit et ce serait bien sûr le premier mai. On pouvait voir dans toutes les maisons une petite lumière tamisée qui indiquait bien que les gens attendaient avec impatience le résultat de la communication de la princesse avec la nature.
Plus que deux minutes avant minuit! La princesse Pénélope, toujours dans la forêt et entourée de ses amis les animaux, discutait doucement encore avec la nature. Curieux, les gens dans les fenêtres dévoraient des yeux tout ce qui se passait.
Et voilà qu’à une minute près la princesse Pénélope se pencha, ramassa le porte-bonheur et le leva vers le ciel en signe de grand merci! Ce porte-bonheur, le muguet, une jolie fleur aux délicates clochettes blanches, aux feuilles vertes bien lisses ferait encore une fois la joie de tout le monde même de ceux qui doutaient.
Le lendemain, les gens se procurèrent un porte-bonheur le plaçant soit sur un chapeau, soit à la boutonnière mais tout le monde était ravi et fit la fête toute la journée et toute la soirée.
La princesse avait accompli sa mission et les gens heureux la comblèrent de grands mercis et de tendres accolades . La princesse Pénélope était comblée!
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Il y a beaucoup d'années, très loin au fond d'une forêt vivait une vieille dame. Elle se prénommait Rita. Son dos courbé, ses cheveux gris, sa figure ridée faisait croire qu'elle était d'un âge avancé. Mais certaines gens croyaient davantage que c'était le chagrin qui l'avait transformée ainsi. En effet, son mari, Alphonse, avait été emporté par les anges. Et depuis ce temps, elle avait décidé de vivre au travers de la nature, les fleurs, les animaux dans une petite maison de bois rond.
Elle possédait très peu de choses. Un poêle à bois, une petite table, une chaise. Quelques plats, ustensiles et chaudrons pour cuisiner un peu car elle ne mangeait pas beaucoup et ne dormait pas beaucoup. Sa plus grande préoccupation, les fleurs de son jardin. Elles enjolivaient son coeur et lui adoucissaient la vie. Mais toutes ces jolies fleurs réclamaient des soins. Et Rita leur prodiguait les meilleurs soins de ses mains et de son coeur. Et des fleurs magnifiques grandissaient aux yeux ravis de Rita.
Mais un jour, malgré tous les bons soins de Rita, le soleil ardent et les rares pluies courbaient toutes les fleurs, marguerites, narcisses, pétunias, jonquilles et toutes les plus belles variétés les unes des autres et lui faisait craindre le pire.
Mais...
Mais au coeur de toutes ces fleurs se cachait une fleur spéciale et d'une beauté rare. On la prénommait "rose". Rose se teintait de rouge, de rose bien sûr, de jaune et une petite nouvelle la bleue. On prétendait que rose était d'une grande fragilité! Et pourtant avec un peu d'amour tous les jours, rose tenait bon. Elle conservait sa forme et sa couleur malgré le soleil ardent et les rares pluies. Rita l'eut vite remarqué. Et c'est avec tout son coeur qu'elle lui offrait son amour. Rose se sentit si aimée qu'elle donna force et courage à ses petites soeurettes les fleurs pour tenir le coup jusqu'aux prochaines pluies.
Et un jour plus merveilleux que tous les autres, une pluie d'argent tomba durant la nuit.
Rose avertit toutes les fleurs leur donna beaucoup d'amour et on put voir toutes les fleurs reprendre leurs formes et leurs couleurs devant les yeux ébahis de Rita. Toutes ses fleurs revivaient, elles étaient miraculeusement sauvées par l'amour de rose. Et tournant son regard, elle vit avec son coeur et ses yeux, un champs sec et aride, se transformer en un champs de roses de toutes les couleurs! Mon Dieu! se dit-elle, "Les mots sont trop petits pour exprimer les sentiments de mon coeur". Et c'est à ce moment qu'une petite voix dit: "Prends une rose, elle exprime tout l'amour du coeur." Elle cueillit une, une belle rouge, elle huma son parfum, la posa sur son coeur et l'aima. Et c'est alors...que Rose redressa le dos, ses cheveux devinrent blonds comme les blés, ses rides disparurent et retrouva son coeur de jeune fille. Et de loin, elle put voir la silhouette de son Alphonse. "Alphonse" cria-t-elle. Alphonse courut vers sa Rita, la prit dans ses bras et maintenant plus jamais ils ne seront séparés.
Car l'amour que Rita avait prodigué à sa rose, rose l'avait redonné à son tour à Rita. Elle avait fait revivre un grand amour celui de Rita et Alphonse.
Et c'est ainsi que rose devint le symbole de l'amour et de l'espoir! "Un amour n'est jamais tout à fait perdu lorsqu'il y a l'amour et l'espoir"
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cours de français : définitions utiles Les ciseaux à bois : Les chiens aussi Psychopathe : Psychologue chez lustucru
Un poussin : Egal 2
Le Gospel : C'est quand ton gamin a pris un coup de soleil
Femme facile : Femme ayant les même besoins sexuels qu'un homme
Péniche : C'est oune zizi portugaiche
L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main
Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella
Suppositoire Invention qui restera dans les annales
Je me suis fait un bleu : Expression couramment utilisée par Zahia
Oui chérie : Gain de temps
Mister freeze : Il est l'homme le plus sucé au monde
Soutien-gorge : Synonyme de flamby. Tu tires la languette et tout tombe
Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon OU EST DONC MON RICARD : Conjonctions de coordination
La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire
Fainéant : Ne jamais remettre a demain ce que tu peux faire après demain > > > > > > Saturne : > > > C'est quand tu es buré > > > > > > Pruneau : > > > Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier > > > > > > Aides internationales : > > > Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres > > > > > > Pharmacie : > > > Confiserie pour vieux > > > > > > Jardiland : > > > Seul endroit ou si tu prends trois râteaux tu as une pelle offerte > > > > > > Un meurtre de sang froid : > > > Un ice crime > > > > > > Sentiments partagés : > > > Quand ta belle-mère est en train de reculer vers le ravin avec ta voiture toute neuve > > > > > > Archipel : > > > Outil pour creuser des archi trous > > > > > > Cellulite : > > > Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes > > > > > > Carte bleue : > > > Viagra féminin > > > > > > Masochisme : > > > Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer > > > > > > Femme : > > > C'est comme une haie. Si tu t'en occupes pas, elle part chez le voisin > > > > > > Grand amour : > > > Expression datant du 15ème siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans > > > > > > Atypique : > > > T'es mal rasé
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Habituellement, on peut nommer un vieux couple les personnes ayant vécu et vivant ensemble depuis 25-30 et 40 ans.
Mariés bien entendu à l'Église devant Dieu et les hommes, contrat notarié, robe blanche pour la jeune femme et habit chic et bon genre pour le jeune homme.
Comme ils sont beaux, le jour des noces, la famille, les amis sont tous là, pour fêter les jeunes époux.
Déjà la question se pose : les enfants arriveront quand ? Allez, dépêchez-vous, nous avons hâte nous d'être grands parents.
Dans bien des cas, on attend une période de deux ans avant que le premier enfant voie le jour. Ensuite certains auront choisi d'avoir une grande famille alors que d'autres choisiront d'en avoir un ou deux.
Au début, avant les enfants, on apprend à voir les défauts de notre époux (se) qui ne partiront pas avec les années. Les petites manies qu'ils avaient jeunes et bien ils les gardent en vieillissant. Si plus de jeunes savaient cela avant de vivre en couple, je me demande s´ils si nombreux à vivre à deux.
Nous venons de fêter nos noces d'argent, et oui, 40 ans de vie de couple et famille.
40ans, c'est une vie entière 40ans, c'est un don de soi 40ans, ce sont des privations, mais une foule de petits plaisirs 40ans, c'est soit long soit court 40ans, c'est bien tant que les deux époux sont en santé
Mais 40 ans, lorsqu'un l'un des deux tombe malade là, cela peut devenir long, pour le celui qui a encore toutes ses forces.
Comme c'est triste. C'est notre cas, malheureusement car mon époux, a développé une sclérose en plaques , sévère et invalidante.
Comme c'était un homme super perfectionniste et toujours occupé, et ce, à tout moment et bien, le niveau de stress, monte et monte, donc, les plaques elles se multiplient, et, il en souffre énormément.
Comment arriver à comprendre ce qui nous arrive? Pourquoi est-ce tombé sur nous? Il n'accepte pas sa condition, et plus il va se révolter, plus la maladie va prendre du terrain, et ce, dans tous les aspects de sa vie.
Comment arrivent t'on à vivre avec son conjoint de toute une vie, qui presque du jour au lendemain se retrouve avec une maladie aussi douloureuse et déprimante?
Ah côté argent, cela va, il a une rente, pas très grosse, mais elle nous permet de vivre convenablement.
Il y a 40 ans, nous avions décidé tous les deux que je laisserais mon boulot afin de me consacrer à l'éducation de nos futurs enfants.
Ah si nous aurions pu prévoir l'avenir, mais, non c'est impossible et je crois que c'est bien ainsi, sinon nous n'aurions jamais eu le bonheur de faire trois beaux enfants.
Aujourd'hui, ils nous donnent souvent un coup de main et cela est grandement apprécié. Sous peu, ils auront eux aussi leurs propres enfants, et ils seront de plus en plus occupés, je prie tous les soirs pour que le bon Dieu me laisse la santé, car si je devais tomber à mon tour, nous devrions tout vendre, maison, voitures, etc. et cela je ne pourrais pas le supporter.
Je suis retournée sur le marché du travail afin de nous gâter un peu, ce n'est pas trop demandé quand même?
Lorsque je reviens après une grosse journée de boulot, et que je vois mon conjoint étendu sur le divan, cela me crève le coeur, car j'ai toujours derrière la tête, la solitude dans laquelle la maladie l'a plongé.
Je prends mon temps, je lui souris, je vais me mettre à l'aise avant de préparer le repas du soir et en faire un peu plus pour le dîner le lendemain, car il n'est pas difficile et il peut facilement manger deux fois de suite le même repas, tout ce qu'il a à faire est de mettre l'assiette au micro-ondes et le tour est joué.
Tout doucement je vais le réveiller, je lui fais de doux baisers, sur la figure, sur le front un endroit qu'il a toujours aimé recevoir de doux baisers, me disant que cela le réconforte beaucoup. Alors, pourquoi le priver de ce plaisir...
Je l'aide à se mettre à table, je place tout à sa portée, et je suis heureuse de le voir dévorer son repas, et même parfois en redemander.
Ensuite je lui offre du dessert, son péché mignon, et il est heureux comme un roi. Nous avons nos repères, nous avons pris une manière de vie qui nous satisfait tout les deux.
Une fois les couverts enlevés, lavés et rangés, j'organise son fauteuil roulant, s’il fait frais, je lui place une belle couverture sur ses genoux, et nous voilà en route pour une belle grande marche.
Je change le plus souvent mon parcours afin qu'il ne voie pas toujours les mêmes endroits, et il en est heureux. Les week-ends je prends notre automobile adaptée et nous allons faire des petits tours de voiture, parfois ils sont plus longs.
Tout dépend de son état, s’il va pas au pire, là je peux me permettre de l'emmener plus loin, à quelques heures de la maison. Je souris, car lorsque je me retourne pour voir s’il est bien, il sommeille, mais juste le fait de lui faire changer d'air, lui fait plaisir et surtout du bien au moral.
L'automne est sa saison préférée, alors, nous allons au festival des couleurs, et je vois dans ses yeux, comme des petites étoiles briller, il n'en a jamais assez, de toute cette beauté qui l'entoure.
Il est évident que j'ai dû faire le deuil rapidement de notre vie intime. Nous pensions qu'après que les enfants aient quitté la maison, que nous serions plus libres de notre intimité, improviser quelque peu, mais la maladie en a décidé autrement.
Est ce que je trouve cela difficile, bien entendu, mais, il n'est pas responsable de son état, je sais qu'il en est très malheureux et notre amour et notre tendresse et notre affection, peut passer à travers bien des choses et celle-ci en est une.
Non, je n'ai pas envie de voir d'autres hommes pour me satisfaire, car je n'aime que mon tendre amour. Je ne veux pas dire que cette partie de notre vie ne me manque jamais mais disons qu'avec le boulot, la maison à entretenir autant à l'intérieur qu'à l'extérieur, et m'occuper de mon cher amour, et bien je tombe de sommeil le soir venu.
Il y a d'autres manières aussi de satisfaire nos besoins à tous les deux, ensemble, un près de l'autre et c'est le bonheur.
Par contre, si nous ne nous parlons pas de la journée, ni de la soirée, pris par des travaux que j'ai à terminer, il va s'en dire que la chose me sort de la tête complètement.
J'ai de l'aide au bain, et cela c'est super, car il pèse quand même plus lourd que moi, mais les jours de bain sont des jours de bonheur, se sont les jours ou les câlins se font plus rapprochés, il devient plus coquin, il me regarde fixement tant et si bien que je lève les yeux de mon travail, et là je sais, en voyant ses si beaux yeux bruns scintiller, que la soirée sera courte, mais la nuit elle sera longue. Je lui souris doucement et il est heureux, car il sait que j'ai compris le message.
Qui dit que des vieux couples, ayant un des époux (ses) handicapés, ne peuvent plus avoir de plaisir sexuel?
Lorsque deux personnes s'aiment depuis 40 ans, il n'y en a pas d'obstacle, à moins bien entendu que l'on ai une attitude négative face à la vie.
Mais, dans notre cas, je remercie le Seigneur de ne pas me l'avoir enlevé. Moi, ce que je vois, c'est l'homme que j'ai épousé il y a 40 ans, il est toujours aussi beau à mes yeux qu'au premier jour. Il est aussi fort qu'au premier jour, car il sait encore se faire désirer, eh oui, monsieur est coquet, et je l'aime de toutes mes forces et de toute mon âme.
Nous avons peu d'amis, car ils sont mal à l'aise en voyant le fauteuil roulant et ce qu'il peut envoyer comme message. S´ils savaient à quel point cet homme aimerait avoir encore la visite d'amis ou membres de la famille.
Ce n'est pas parce que l'on est assis dans un fauteuil roulant que l'on ne pense plus, ou que l'on perd la parole, ou la tête.
C'est malheureux, car les personnes d'il y a 40 ans, eux, ont pleins de préjugés et je me retiens souvent de leur dire ma façon de penser.
Nous nous renseignons beaucoup sur les avancées médicales sur la sclérose en plaques. Nous espérons toujours un miracle.
Il existe bien u n traitement, mais pour le payer, là c'est très difficile. Une chirurgie pourrait peut être le guérir, mais pour se faire, il nous faudrait partir dans un pays d'Europe, sans compter les coûts de la chirurgie, de mon hébergement, ensuite le ramener, avoir un suivi. Nous ramassons le plus possible afin qu'un jour nous puissions profiter de cette nouvelle manière de traiter cette maladie.
Nous espérons aussi que cette manière de faire soit enseignée ici au Canada, ainsi cela permettrait à plus de gens d'en profiter.
Nous sommes malgré la maladie, demeurés très amoureux l'un de l'autre et cela nous permet de passer à travers plusieurs obstacles, avec une philosophie axée sur le positivisme, tout devient un heureux moment.
Pour nous deux, la famille est très importante, les enfants sont au courant des changements qui se produisent mais toujours en gardant un côté positif à la nouvelle. Sinon, cela serait trop difficile pour eux.
Un petit rien nous rend heureux, une visite d'un des enfants, une sortie de groupe, car nous faisons parti d'une Association de personnes atteintes de SP. Ils nous invitent à des sorties superbes toujours animées, joyeuses et surtout avec un don des autres presques miraculeux.
Lors de ces sorties de groupe, nous remplissons nos coeurs de joies et de bonheur ainsi qu´une multitude de photos, que l'on se plaît bien à regarder les jours ou les nuages sont plus nombreux au-dessus de nos têtes.
Notre amour l'un envers l'autre vient à bout de bien de petits souci. Tant de couples en pleine santé passent leur temps à se plaindre de ceci ou cela. Quelle perte de temps et d'énergies.
Nous nous réjouissons de chaque moment passé ensemble. Aussi longtemps que j'aurai la santé, il demeurera à mes côtés. Je ne peux même pas imaginer le voir me quitter, cela me rend trop malheureuse, ne plus pouvoir le regarder, ne plus pouvoir le toucher, ne plus pouvoir sentir son odeur, ni regarder ses merveilleux yeux bruns. Non, je l'ai eu, alors je le garde.
Je crois que c'est cela, le vrai amour. Et vous qu'en pensez-vous?
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Chaque jour elle peut être présente Accompagner toute notre vie Se faire aussi plutôt absente Malgré tout ce qu'on en dit
La gentillesse c'est un sourire Une main tendue,de l'amitié C'est tout simplement un plaisir Qu'on est heureux de partager
Il faut savoir l'entretenir Pour garder au fond de nos cœurs Tout ce qui peut nous faire grandir Pour vivre dans un monde meilleur
Le bois le plus dur
Au retour d'une sortie dans la forêt, l'institutrice demande aux élèves de citer les noms de bois "durs". Plusieurs mains se lèvent. "Oui mon petit Thomas!!" "- Du sapin madame!!" "Non !! Le sapin n'est pas un bois dur mais au contraire assez tendre... A toi Sophie!!" "- Du chêne !! ?" " Oui Sophie, c'est un bois très dur , mais il y a encore plus dur... Quelqu'un a une autre idée?" Et là il y a Toto, tout au fond de la classe, près du radiateur, qui lève la main: "- Le cul de ma mère" Habituée aux frasques de toto, l'institutrice ne s'énerve pas et répond: "Encore une de tes bêtises, Toto. Peux-tu m'expliquer ce qui te fait sortir de telles grossièretés?!" "- C'est que madame, on a l'habitude de jouer à cache-cache avec ma sœur, et l'autre jour j'étais caché sous le lit de mes parents, ils sont rentrés dans la chambre, et mon père il a dit à ma mère: "Montre moi ton cul que je te le rabote"... Eh bien je vous assure madame, ça a duré une heure et je n'ai pas vu tomber un seul copeau!"
> elle est bien bonne: > > > > > > L'ASPIRINE !!!! ATTENTION
ATTENTION à LA GRIPPE...... 1er décès > > > Un fonctionnaire de la douane du Havre vient de décéder de la grippe !!! > > > En rentrant chez lui l'homme ne se sentait pas bien du tout. > > > > > > Vertiges, palpitations, jambes flageolantes, maux de ventre etc.... > > > Sa femme l'a envoyé au lit et lui a dit de prendre : 2 aspirines. > > > Le lendemain, elle l'a trouvé mort dans son lit. > > > Directo, elle a appelé le médecin et lui a expliqué > > > qu'elle lui avait donné 2 aspirines pour le faire transpirer, comme on > > > fait d'habitude pour évacuer toutes les saloperies qu'on a dans le > > > corps. > > > - Mais, Madame, vous l'avez tué. > > > - Comment dit la dame , vous m'accusez ? > > > - Mais bien sûr Madame ! On ne fait pas transpirer un fonctionnaire
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Au début du monde, le Créateur, que les Indiens Abénakis appellent Tabaldak créa la terre et pour eux, la terre devint le jardin de Tabaldak. Depuis ce jour, la vieille terre-mère donne les plantes qui nourrissent et les plantes qui soignent. Tabaldak avait créé tout ce dont les hommes avaient besoin pour vivre sur terre. Il avait tout créé ou presque, car pour les Indiens le Créateur n'est pas parfait, sinon il aurait créé tous les Indiens parfaits.
Tous les Indiens étaient en extase devant la création jusqu'au moment où Ours blanc décida de mettre son gros manteau blanc sur le pays et souffla son haleine froide pour faire arriver l'hiver.
À cette époque, les Indiens vivaient la majeure partie de leur temps dans le tee pee et les petits papooses sont vite devenus bien tristes. Ils n'avaient plus rien pour s'amuser, sauf les cendres du feu qui paraissaient à peine tièdes tellement le froid était intense. Durant l'été, ils avaient joué avec les feuilles de l'arbre sacré. Ils en avaient fait des colliers, des panaches, des papillons et ils avaient aussi joué avec le ruisseau. Mais avec la neige qui avait tout recouvert de blanc, tous leurs jouets avaient disparu et ils étaient devenus bien tristes. Tellement tristes que grand-maman Marmotte le remarqua et décida d'aller voir Tabaldak. Elle lui dit :
"Tu as créé de bien belles choses pour tes enfants adultes. Tu as tout donné pour qu'ils puissent bien vivre. Mais tu as oublié mes petits papooses".
Tabaldak réfléchit un instant et approuva grand-maman Marmotte. Il promit d'arranger les choses. Aussitôt que le printemps se pointa le nez, il se mit à réfléchir à ce qu'il pourrait bien créer pour leur rendre l'hiver plus agréable. C'est alors qu'il se rappela avoir vu les enfants jouer avec les feuilles de l'arbre sacré. Il décida donc de créer les oiseaux. Mais dans sa hâte de faire plaisir aux enfants pour l'hiver prochain, il créa les oiseaux tous blancs, de la même couleur que l'hiver.
Les enfants furent très heureux de cette création. Vous auriez dû les voir jouer avec les huards, les canards, les sarcelles, les perdrix, les pic-bois, les hirondelles, les parulines, les gros-becs, les roselins, les bruants, les chardonnerets, les mésanges, les merles, les moineaux et les colibris. Les papooses ont passé le printemps, l'été et même l'automne à s'amuser avec leurs nouveaux amis les oiseaux.
Lorsqu'Ours blanc jeta de nouveau son gros manteau blanc sur le dos de la terre-mère, les enfants se rendirent compte que les oiseaux étaient de la même couleur que la neige et qu'ils pouvaient à peine les voir. Même les oiseaux étaient bien embêtés pour se reconnaître entre eux. Ils étaient tous de la même couleur. Ils retournèrent dans leur tee pee avec encore beaucoup de tristesse.
Grand-maman Marmotte vit la tristesse des enfants. Elle retourna voir Tabaldak et lui dit :
"Tabaldak, je crois que tu as créé les oiseaux un peu trop vite. Tu as donné aux adultes une nature toute colorée à ton image, mais tu as oublié que les petits enfants méritaient aussi ces mêmes couleurs pour leurs oiseaux".
Tabaldak réfléchit et finit par dire à grand-maman Marmotte :
"Tu as bien raison. Je vais réparer mon erreur. Appelle tous les oiseaux et dis-leur de se rassembler ici devant moi".
Pendant ce temps, Tabaldak alla prendre du brun terre, du vert pelouse, du vert arbuste, du bleu ciel, du jaune soleil, du rouge feu, du gris nuage et fabriqua de merveilleuses teintures qu'il mit dans de magnifiques pots en écorce de bouleau que grand-maman Marmotte avait fabriqués pour lui. Les pots sentaient bon l'écorce fraîche.
Tabaldak plaça les pots de teinture devant lui. L'oie blanche s'avança la première près de Tabaldak et lui donna une plume afin qu'il puisse colorer les oiseaux. L'oie blanche lui dit :
"Prends ma plume pour faire ton travail de création. Moi je resterai blanche afin que tes enfants s'en rappellent. Chaque année, je passerai au-dessus de leur territoire pour qu'ils se souviennent de toi.
Jusqu'à ce jour, l'oie blanche n'a pas encore manqué à sa parole. Chaque printemps, de la fin mars jusqu’à la fin mai, près d'un million d'oiseaux fréquentent les berges du lac Saint-Pierre à Baie-du-Fèbvre. Des milliers d'ornithologues amateurs et les amants de la nature se donnent rendez-vous le long des zones inondées pour observer le retour spectaculaire des oies blanches.
Le Créateur commença donc son travail. Avec le rouge et le brun, il colora le merle. Avec le bleu, il donna ses couleurs à l'hirondelle. Avec le jaune, il colora le chardonneret et ainsi de suite, jusqu'à ce que tous les oiseaux soient recouverts des couleurs de la nature. Vous pourriez même, si vous prenez le temps d'observer les oiseaux, deviner où Tabaldak a pris la teinture pour colorer chaque oiseau que vous observez. Il n'y a pas de couleur sur un oiseau qui n'est pas dans la nature.
Pendant qu'il faisait son travail avec patience, un oiseau le dérangeait constamment. Il criait, battait de l'aile bruyamment, bousculait les autres et oubliait de partager la joie de ses frères. Il alla même devant le Créateur pour l'insulter en lui disant que ses teintures étaient bien belles, mais pas assez brillantes pour les mettre sur son magnifique plumage. Patiemment le créateur continua son travail. L'oiseau était de plus en plus dérangeant, battant de l'aile et criant constamment.
Il revint devant le Créateur encore une fois et d'un coup d'aile renversa tous les pots de teinture. Les teintures en se renversant se mélangèrent et devinrent toutes noires. Vous auriez dû voir grand-maman Marmotte derrière le tee pee. Elle était dans tous ses états, n'en croyant pas ses yeux de voir ce que l'oiseau avait fait.
Le Créateur, dans sa grande patience, ramassa la teinture noire et la remit dans un nouveau pot que grand-maman Marmotte avait apporté. Il reprit sa plume et continua son travail. L'oiseau dérangeant revint une troisième fois devant lui pour l'insulter à nouveau, mais cette fois-ci, Tabaldak saisit l'animal par les pattes, le plongea dans la teinture noire et le leva très haut au bout de son bras en lui disant :
"Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Parce que tu l'as bien voulu, tu seras toujours un oiseau dérangeant et bruyant. Tu auras toujours un vol lourd et bruyant. Les autres oiseaux te craindront et les animaux te fuiront. On t'appellera le Corbeau".
Et il laissa partir l'oiseau. Mais ce n'était pas le dernier oiseau. Le dernier oiseau arriva humblement devant Tabaldak. Il excusa le comportement effronté du corbeau et dit au Créateur :
"Tabaldak, je regrette le geste du corbeau. J'aurais voulu que tu couvres mes plumes de l'arc-en-ciel de ta création. J'aurais pu, ainsi coloré, voler très haut vers le soleil et tracer de grands cercles pour que tes enfants puissent y voir toute ta puissance. J'aurais voulu être ton symbole pour tes enfants".
Le Créateur fut bien ému par les paroles de l'oiseau. Il dit à l'animal :
"Ouvre bien grandes tes ailes".
Il prit alors sa plume et la plongea dans la teinture noire. Il en mit un peu sur le bout des ailes, un peu autour du cou. Il en mit aussi un peu sur la queue et balaya tendrement le dos de l'animal en lui disant :
"Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Tu seras mon symbole. Tu voleras très haut pour tracer le cercle sacré. J'y mettrai toute ma puissance et mes enfants le verront. Tu seras le seul animal à regarder le soleil bien en face. On t'appellera l'AIGLE. Et pour s'en rappeler, chaque fois qu'un de mes enfants plantera un poteau dans le sol pour y graver ses symboles et ses totems, tout en haut il placera tes ailes pour me symboliser. Tu seras un guide pour mes enfants. Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté.
Je veux que vous sachiez que depuis ce temps-là, les Amérindiens utilisent les plumes de l'aigle pour s'en faire de belles décorations et qu'il y a toujours une plume d'aigle attachée à la pipe sacrée.
Cette légende est encore très vivante dans le village Abenakis d'Odanak au Québec.
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Un procès-verbal doit être un document parfaitement lisible et surtout clair afin que les magistrats puissent se faire une opinion précise de ce > qui s' est déroulé. > Ça, c' est la théorie, mais dans la pratique... > Parfois dans l'empressement, dans le stress, de petites coquilles s' y glissent de manière non intentionnelle. > Loin de vouloir nous moquer des policiers, qui parfois s' expriment dans une langue qui n' est pas la leur. > Voici quelques perles, qui ont d' ailleurs été publiées dans une revue interne de la police. > >
Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble. > > > > > Selon ses dires l' homme est mort vers 16h35. > > > > > Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts... > > > > > Le motif du vol était le meurtre. > > > > > Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral. > > > > > Ses papiers, même s' ils étaient faux, étaient parfaitement en règle. > > > > > Pour finir, l' interpellé avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres. > > > > > Quand nous lui avons demandé de s' expliquer, l' homme a souri comme > > un coupable. > > > > > Ses explications ne nous paraissant pas très claires, nous avons > > sommé l' homme de parler français sous peine d' amende. > > > > > Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes > > pour attirer l' attention des autres automobilistes. > > > > > Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux > > cambrioleurs la pénétrèrent par le devant. > > > > > Le récidiviste n' avait jamais rien eu à se reprocher. > > > > > Le mur avançait à grand pas vers le véhicule. > > > > > La disparition de l' enfant a été signalée par ses parents dès son retour. > > > > > Personne n' ayant donné les ordres nécessaires, il n' était pas > > difficile d' y obéir. > > > > > Soudain, la voiture recula pour mieux avancer. > > > > > Le pendu est mort noyé. > > > > > Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés. > > > > > Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d' appeler la police. > > > > > Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l' un > > avec l' autre exactement le même jour. > > > > > Le plaignant, visiblement en état d' ébriété, prétendait s' appeler > > Jésus et signa le formulaire d' une croix. > > > > > Si nos policiers n' étaient pas intervenus, le viol n' aurait sûrement > > jamais eu lieu. > > > > > L' homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s' > > entendre très bien avec elle. > > > > > Nous avons donc pu constater qu' il n' y avait rien à constater. > > > > > Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le > > relâcher, faute d' avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses > > explications. > > > > > C' est la pluie qui empêcha le policier de s' apercevoir qu' il neigeait. > > > > > Pendant tout l' interrogatoire, l' homme n' a cessé de nous dévisager > > avec ses propres yeux. > > > > > Maîtrisé par nos soins, l' homme s' est enfui à toutes jambes, malgré > > sa jambe artificielle qui s' était décrochée. > > > > > Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime > > laissaient croire à une mort qui n' était pas naturelle. > > > > > La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière. > > > > > Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des dents dans > > les oreilles. > > > > > Le défunt a formellement reconnu son agresseur. > > > > > Mort sur le coup, l' homme avait déjà été victime d' un accident > > identique l' an dernier. > > > > > Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière. > > > > > La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu 'à l' auto patrouille > > en copulant sur une jambe. > > > > > Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d' > > aliénés, il a été conduit au poste de police. > > > > > Après avoir enfilé deux sens interdits, l' homme s' en est pris à la > > conductrice > > > > > L'homme a juste eu le temps de déposer sa plainte sur le bureau avant > > de s'écrouler devant nos yeux qui n'ont rien compris. > > > > > N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement. > > > > > Si la fenêtre du bureau n'avait pas été ouverte, elle aurait été > > fermée, ce qui lui aurait permis de s'enfuir... > > > > > N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en > > retraite. > > > > > L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel. > > > > > Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer. > > > > > Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traités > > de sales flics, ignorant que nous étions des agents de police. > > > > > L'infraction fut constatée par la police deux jours avant qu'elle n'ait > > lieu. > > > > > Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire. > > > > > Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à > > le frapper. > > > > > Très gravement brûlée, elle s'est éteinte pendant son transport à > > l'hôpital.
Nombre de messages : 3711 Age : 83 Localisation : Nyons en provence (26 ) Loisirs : musique lecture,opéra,ballade en forêt Date d'inscription : 25/11/2007
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Il était une fois, sur une montagne, trois arbres qui partageaient leursrêves et leurs espoirs.
Le premier dit: "Je voudrais être un coffre au trésor, richement décoré, rempli d'or et de pierres précieuses. Ainsi tout le monde verrait ma beauté".
Le deuxième arbre s'écria: "Un jour, je serai un bateau solide et puissant, et je transporterai les reines et les rois à l'autre bout du monde. Tout le monde se sentira en sécurité à mon bord".
Le troisième arbre dit: "Je veux devenir le plus grand et le plus fort des arbres de la forêt. Les gens me verront au sommet de la colline, ils penseront au ciel et à Dieu, et à ma proximité avec eux; je serai le plus grand arbre de tous les temps, et les gens ne m'oublieront jamais".
Les trois arbres prièrent pendant plusieurs années pour que leurs rêves se réalisent. Et un jour, survinrent trois bûcherons. L'un d'eux s'approcha du premier arbre et dit: "Cet arbre m'a l'air solide, je pourrais le vendre à un charpentier". Et il lui donna un premier coup de hache. L'arbre était content, parce qu'il était sûr que le charpentier le transformerait en coffre au trésor.
Le second bûcheron dit en voyant le second arbre: "Cet arbre m'a l'air solide et fort, je devrais pouvoir le vendre au constructeur de bateaux". Le second arbre se réjouissait de pouvoir bientôt commencer sa carrière sur les océans.
Lorsque les bûcherons s'approchèrent du troisième arbre, celui-ci fut effrayé, car il savait que si on le coupait, ses rêves de grandeur seraient réduits à néant. L'un des bûcherons s'écria alors: "Je n'ai pas besoin d'un arbre spécial, alors, je vais prendre celui-là". Et le troisième arbre tomba.
Lorsque le premier arbre arriva chez le charpentier, il fut transformé en une simple mangeoire pour les animaux. On l'installa dans une étable et on le remplit de foin. Ce n'était pas du tout la réponse à sa prière.
Le second arbre qui rêvait de transporter des rois sur les océans, fut transformé en barque de pêche. Ses rêves de puissance s'évanouirent.
Le troisième arbre fut débité en larges pièces de bois, et abandonné dans un coin.
Les années passèrent et les arbres oublièrent leurs rêves passés.
Puis un jour, un homme et une femme arrivèrent à l'étable. La jeune femme donna naissance à un bébé et le couple l'installa dans la mangeoire qui avait été fabriquée avec le premier arbre. L'homme aurait voulu offrir un berceau pour le bébé, mais cette mangeoire ferait l'affaire. L'arbre comprit alors l'importance de l'événement qu'il était en train de vivre, et sut qu'il contenait le trésor le plus précieux de tous les temps.
Des années plus tard, un groupe d'hommes monta dans la barque fabriquée avec le bois du second arbre; l'un d'eux était fatigué et s'endormit. Une tempête terrible se leva, et l'arbre craignit de ne pas être assez fort pour garder tout son équipage en sécurité. Les hommes réveillèrent alors celui qui s'était endormi; il se leva et dit : "Paix!" Et la tempête s'arrêta. A ce moment , l'arbre sut qu'il avait transporté le Roi des rois.
Enfin, quelqu'un alla chercher le troisième arbre oublié dans un coin; il fut transporté à travers les rues, et l'homme qui le portait se faisait insulter par la foule. Cet homme fut cloué sur les pièces de bois élevées en croix , et mourut au sommet de la colline. Lorsque le dimanche arriva,l'arbre réalisa qu'il avait été assez fort pour se tenir au sommet de la colline et être aussi proche de Dieu que possible, car Jésus avait été crucifié à son bois.
Chacun des trois arbres a eu ce dont il rêvait, mais d'une manière différente, de ce qu'ils imaginaient.
Nous ne savons pas toujours quels sont les plans de Dieu pour nous.
Nous savons simplement que ses voies ne sont pas les nôtre, mais qu'elles sont toujours meilleures si nous lui faisons confiance
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" Elle est sensassss " !!! > > > > > > > > > > > > > >
> Un homme entre dans un bar super high-tech, de 4ème génération,
> avec écrans plasma et claviers digitalisés de partout.
En plus c'est un robot qui sert à boire. L’homme s’installe confortablement et, dans la nano seconde qui suit, le barman-robot s’approche et lui demande : - Quel est votre QI ? L’homme répond : - 150 Alors, le robot lui sert un Whisky de 18 ans d’âge, et entame la conversation sur le réchauffement climatique, l’interdépendance environnementale, la physique quantique, les nanotechnologies etc … Au bout d’un moment, le client règle sa consommation (naturellement on-line avec sa carte de crédit), et sort. Il est vachement impressionné par ce qui vient de se passer, et décide de revenir tester le robot à nouveau. C’est d’ailleurs ce qu’il fait le lendemain même. Il revient donc dans ce même bar, et le même scénario se reproduit. Il est à peine assis que le même barman-robot s’approche et lui demande : - Quel est votre QI ? Cette fois-ci, l’homme répond : - 80 Immédiatement, le robot lui sert une bière et lui parle de foot, de tiercé, de ses plats favoris, de femmes etc … Au bout d’un moment, l’homme repart. Il est de plus en plus intrigué et décide de revenir à nouveau le jour suivant. Le lendemain donc, même topo! Le barman-robot s’approche et demande : - Quel est votre QI ? Ce coup-là, l’homme répond : - 20 je crois ! Alors, le robot lui sert un verre de gros rouge et, en lui posant la main sur l’épaule, lui demande avec condescendance: - Alors, comme ça, on a voté Hollande en 2012 ?
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après ? PENDANT.
Comment fait un Français pour se suicider ? Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité.
Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle deux langues? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français.
Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? A force de péter plus haut que leur cul.
Pourquoi en France, dit-on : Aller aux toilettes, alors qu'en Belgique, on dit : Aller à la toilette? Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre.
Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français.
Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage? Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule.
Quelle est la différence entre Nelson Mandela et un membre du gouvernement français ? Nelson Mandela a été en prison AVANT d'être élu.
Pourquoi les français ont-ils VRAIMENT des raisons d'être fiers d'être champions du monde? Parce que c'est bien la première fois qu'ils arrivent à baiser les Brésiliens ailleurs qu'au bois de Boulogne
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Cuisson: 6 à 8 minutes Préparation: 10 minutes Difficulté: très facile Portion: 6 portions
Brocoli à la chinoise Ingrédients
1 brocoli moyen 2 à 3 c. à thé d'huile de maïs (10 à 15ml) 1 gousse d'ail émincée 1 à 2 c. à thé de gingembre frais pelée et râpé(5 à 10ml) 1 c. à soupe d'eau (15ml) 1/2 c. à thé de sel (2ml)
Instructions
Défaire le brocoli en fleurs et tailler la partie tendre des tiges en petits bâtonnets. Cuire d'abord le brocoli à la vapeur dans une marguerite environ 3 à 4 minutes retirer du feu et refroidir rapidement à l'eau froide. Égoutter et conserver jusqu'à la dernière minute dans un bol bien couvert. Quelques minutes avant de servir chauffer un poêlon ajouter l'huile l'ail et le gingembre et cuire 30 secondes. Ajouter le brocoli, l'eau et le sel. Mélanger délicatement et chauffer le tout 2 à 3 minutes. Servir immédiatement.
poulet et légumes a la Chinoise
Cuisson: 10 à 12 minutes Préparation: 15 minutes Difficulté: facile Portion: 4 portions
Poulet et légumes à la chinoise Ingrédients
2 c. à soupe de fécule de maïs (30ml) 2 c. à soupe de sirop de maïs (30ml) 1 c. à soupe de sauce soya (15ml) 1/2 tasse de bouillon de poulet (125ml) 3 c. à soupe d’huile de maïs (45ml) 1 lb de poulet en fine lanière (500g) 1 tasse (250ml)de chaque variété de légumes tranchés tels que : brocoli, champignon, céleri, chou fleur
Sauce Mélanger la fécule, le sirop la sauce soya et le bouillon dans un bol. Réserver. Dans une poêle à frire ou un ‘’wok’’ chauffer l’huile et cuire le poulet environ 5 minutes. Ajouter les légumes et cuire 2 à 5 minutes. Ajouter la sauce au mélange de poulet et légumes. Amener à ébullition et bouillir 1 minute en brassant constamment. Servir avec riz.
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Bravo aux créateurs ! Ce spot est une excellente idée et très bien mené ! Les prochaines fois où je rencontrerai une personne qui a des difficultés à parler comme dans cet exemple, j'y penserai c'est sur ! Très bonne leçon !
Tu as l'air en forme Simone et ce sont de bien jolies fleurs que tu as là.
Je veux bien habiter en appartement dans ces conditions, ça à l'air très bien et ça voudrait sûrement dire que je n'aurais pas de soucis de fin de mois.
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Il y a bien longtemps, avant l’arrivée du premier homme blanc sur le Nouveau Continent, Lalita, une jeune indienne, se réveilla un matin en tremblant : elle venait de faire un cauchemar. Elle avait rêvé que de majestueux oiseaux blancs traversaient l’océan, accompagnés d’un vent si fort que les arbres se courbaient sous son passage. Elle avait même entendu la forêt pleurer.
― Que veut dire tout ceci ? demanda-t-elle à ses parents.
Ni son père ni sa mère ne surent lui expliquer.
― Ce n’est qu’un rêve, Lalita, dit son père. Ne t’ inquiète pas, ma fille.
Mais un jour, peu de temps après ce curieux rêve, alors qu’ elle contemplait l’ horizon, Lalita crut deviner au loin de grands oiseaux blancs au-dessus de la mer qui volaient vers elle. Hélas, ce n’étaient pas de majestueux oiseaux mais les voiles blanches d’imposants navires, et à leur bord se trouvaient de mystérieux individus. Lalita eut un frisson, son rêve devenait réalité. Les hommes de l’océan mirent pied à terre. Ils possédaient des haches et ne montraient aucun respect pour la forêt. Ils ne prêtèrent pas attention aux Indiens qui, eux, aimaient les arbres et comprenaient leur langue. Alors les hommes blancs se mirent à abattre les arbres de la forêt, un à un.
Ils traînaient les arbres morts jusqu’à leurs navires, laissant la terre seule et désolée. La forêt disparue, il ne restait à Lalita que ses yeux pour pleurer. Il n’ y avait plus âme qui vive dans la forêt, ni ours pataud ni oiseau gracieux. Le peuple indien aussi fuyait, les vieillards soutenus par leur canne et les bébés dans les bras de leur mère. Lalita ne voulait pas s’enfuir. Son cœur lui disait de rester auprès de ses arbres bien-aimés et de ne pas les abandonner.
― Je vous rejoindrai plus tard, promit-elle à sa mère.
Lalita se réfugia dans une grotte. Terrifiée et désespérée, elle vit les hommes blancs détruire la forêt. Elle entendit aussi des sanglots d’enfants. En réalité, c’ étaient les cris de douleur des arbres sous les coups de hache. Lalita sentit son cœur se briser. Lalita regarda et écouta jusqu’ à ce que les hommes blancs emportent le dernier arbre et disparaissent enfin à leur tour. Elle sortit de son refuge à la tombée de la nuit. Dans le ciel, les étoiles brillaient tels des diamants. Les reflets saphir, rubis et émeraude de l’ aurore boréale caressaient les cimes des montagnes.
Mais Lalita ne voyait rien de ce spectacle.
Elle pleurait sa forêt dont elle avait connu chaque arbre. Elle pleurait la terre meurtrie qui avait autrefois abrité son peuple. Et ses larmes l’empêchaient aussi de voir le croissant argenté de la lune qui s’élevait dans le ciel et resplendissait dans un silence de mort. Elle était étendue, immobile. Seuls ses longs cheveux noirs ondoyaient sur la terre déserte. Durant sept jours et sept nuits, Lalita resta là. Durant sept jours et sept nuits, Lalita pleura.
Lalita pleura tant qu’un ruisseau naquit de ses larmes. Du ruisseau jaillit une cascade. Et les larmes de Lalita parcoururent la terre sèche formant de nouvelles rivières. Au matin du huitième jour, un phénomène inattendu se produisit. Un bourgeon apparut le long de la rivière de larmes. Le bourgeon s’épanouit en un perce-neige aussi blanc et doux que la laine d’un agneau. Peu après, il y eut un deuxième perce-neige, puis un autre, et la terre meurtrie finit par être entièrement couverte de pétales blancs comme la neige.
Mais Lalita ne s’aperçut de rien. Elle pleurait toujours. Ses larmes alimentaient la rivière qui se divisait sans cesse. Ses larmes l’empêchaient de voir les jeunes pousses de chêne ou les petites épines de sapins naissants. Elle ne voyait pas tous ces arbres qui poussaient à ses pieds ou ces fleurs qui apparaissaient entre ses doigts.
Puis, un jour, au lever du soleil, un chant aussi pur et bouleversant que la musique d' une flûte se fit entendre.
― Un oiseau ! chuchota Lalita.
Elle s’arrêta enfin de pleurer et ouvrit les yeux. Sur les branches d’ unérable, un rouge-gorge chantait. Elle rit, sauta de joie et tendit le bras. L’ oiseau, aussi heureux qu’ elle, s’ élança dans les airs et vint se poser sur sa main.
La forêt revenait à la vie. Ses larmes avaient été sincères, la terre y avait puisé assez d’eau et d’amour pour que la nature jaillisse à nouveau. Cet amour avait permis le retour des animaux, des oiseaux et de sa famille.
Depuis ce jour, les Indiens affirment que si un amour est fidèle, tout ce qui a été détruit renaîtra de ses cendres et que l’ amour l’ emporteratoujours sur la haine.