Arrêter les pensées
Vos pensées n'ont pas de racines, elles n'ont pas de chez soi, elles errent comme les nuages. Vous n'avez donc pas besoin de les combattre ni de vous y opposer, vous n'avez même pas besoin d'essayer de les arrêter.
Vous devriez comprendre cela profondément, car chaque fois que quelqu'un commence à s'intéresser à la méditation il commence par essayer d'arrêter de penser. Si vous essayez d'arrêter vos pensées, elles ne s'arrêteront jamais car l'effort même d'arrêter est en soi une pensée, l'effort même de méditer est une pensée, celui d'atteindre la bouddhéité est une pensée. Comment voulez-vous arrêter une pensée par une autre pensée ? Comment pouvez-vous arrêter le mental en créant un autre mental ? Alors vous vous accrocherez à l'autre et cela continuera jusqu'à l'écœurement, cela n'aura pas de fin.
Ne luttez pas, car qui va lutter ? Qui êtes-vous ? Juste une pensée. Ne faites pas de vous-même le champ de bataille d'une pensée combattant une autre pensée. Soyez plutôt un témoin et regardez flotter les pensées. Elles cessent, non pas parce que vous les avez arrêtées, elles cessent parce que vous devenez plus conscient, non par un effort de votre part pour les arrêter.
Chaque instant est beau.
Il vous suffit simplement d'être réceptif
et de vous abandonner.
Chaque instant est une bénédiction.
Il vous suffit simplement d'être à même de voir.
Chaque instant est une grâce.
Si vous acceptez avec une profonde gratitude,
rien n'est jamais à l'envers...
La tendresse,
c'est l'écoute
de la différence
et l'acceptation de
tout ce qui nous sépare.
Jacques Salomé
Le BONHEUR est comme un collier de perles.
Tout le temps de ta Vie,
tu ramasses des moments de bonheur.
Un moment donné, tu te rends compte
que toutes les petites perles se touchent,
tu es HEUREUX-SE tout le temps »
Pensée Tibétaine
La peur est toujours le résultat
de la projection d'une re-création du passé
dans le présent ou le futur.
Byron Katie
Le problème n'est pas
que nous répondons à nos désirs
si peu souvent mais, plutôt,
que nous y répondons si souvent
tout en se retrouvant si insatisfaits.
Belles histoires
Le petit garçon et les étoiles de mer
Pendant mes dernières vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai découvert des milliers d'étoiles de mer qui s'étaient échouées dans la nuit. J'étais complètement estomaqué par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une étoile de mer entre ses deux doigts et la rejette à la mer.
Pendant que je m'approche, il continue sa tâche en essayant de lancer les étoiles de mer le plus loin possible dans la mer. Arrivé près de lui, je le félicite pour ce qu'il a entrepris mais je lui fais remarquer que c'est une tâche impossible :
- Même si tu continues tout le temps à les rejeter, une par une, à la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'étoiles de mer qui se sont échouées, à la fin de la journée, on ne verra pas beaucoup la différence sur la plage.
A ce moment là, le jeune garçon, qui venait de prendre délicatement une étoile de mer s'est redressé, il m'a regardé droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit :
- D'accord, peut-être que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette étoile de mer-là, ça fait une sacrée différence.
Les enfants sont sans passé
et c'est tout le mystère
de l'innocence magique de leur sourire.
Les trois foyers de perception clairvoyante
La véritable clairvoyance ne se limite pas à une seule forme de perception. Il y a trois foyers de perception qui sont des combinaisons de chakra, un peu comme des engrenages s'entraînent les uns, les autres.
Le premier foyer est crée lorsque les portes (chakras) rouge, orange et jaune se rejoignent en une seule force centrale (Bouddha de la Joie)
Le second foyer de clairvoyance est une combinaison de chakras qui permettent la réception d'informations d'ordre céleste et transcendant. Ce sont les chakras bleu ( situés sur la gorge), indigo ( le front ) et blanc (le dessus de la tête).
Le Troisième Foyer de perception clairvoyante est le chakra anahata ou "porte du Cœur"(couleur vert, rose ou doré
Le jugement appartient aux autres et...
Le jugement appartient aux autres
et la vision du monde à soi
(Bouddha)
De plus en plus, la pensée contemporaine se tourne vers un ensemble de connaissances que le mystère enveloppe toujours. C’est en somme le postulat de chacune des sciences acquises et enseignées que sont les sciences occultes.
Si la magie est une contemplation profonde qui embrasse toute la nature, on peut affirmer sans se tromper, que la divination constitue par son universalité, sa pérennité et la variété de ses instruments et de ses techniques, une des clefs de l’anthropologie culturelle.
Chez les anciens, la religion et le gouvernement, le spirituel et le temporel unissaient leurs pouvoirs, et la divination était la partie la plus importante du culte. Elle n’était pas exercée par les premiers venus.
Plus pratique que la spéculation religieuse, mais moins théorique que la magie, la divination semble, dans toutes les sociétés, constituer un carrefour très fréquenté où se rencontrent les doctes de la théorie comme les habiles de la pratique.
Très souvent, celui qui s’estime malheureux, l’est parce qu’il poursuit ce que le destin lui refuse, et qu’il n’atteindra peut-être jamais, au lieu de diriger son effort vers ce qui est possible d’atteindre, seul chemin du bonheur. Utiliser à bon escient, les Arts Divinatoires peuvent aider, éclairer et résoudre ce type de problème.
Avec votre permission, nous terminons par cette pensée du Dalaï-Lama :
« Ce qui me surprend le plus dans l’humanité, ce sont les Hommes !...parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé. Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent par vivre ni le présent ni le futur. Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir, et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu. »
Bouddha et la critique
Un jour, Bouddha mendiait sa nourriture. Il était sur le point d’atteindre un village où vivaient bon nombre de Ses fidèles. Tout le monde dans ce village Lui témoignait une grande affection.
Mais juste avant qu’il n’arrive à la limite du village, IL croisa des jeunes voyous qui se mirent à Le critiquer. Quelque peu surpris de cette réception, IL s’arrêta, s’assit sur un rocher et leur dit : "Et bien, messieurs, quel plaisir obtenez-vous en Me critiquant ainsi ?" Sans donner aucune raison, ils redoublèrent leurs critiques. Bouddha leur dit : "Poursuivez donc aussi longtemps qu‘il vous plaira." Ils critiquèrent et critiquèrent de plus belle jusqu’au moment où, fatigués de leurs propres invectives, ils décidèrent finalement de s’en aller.
Avant qu‘ils ne s’en aillent, Bouddha leur dit : "Enfants ! Voici une vérité que Je souhaite que vous sachiez. Dans le village où Je me rends, les gens M’aiment beaucoup. S’ils apprenaient que vous M’avez critiqué de manière aussi vile, ils vous tailleraient en pièces. Pour vous sauver de ce danger, Je suis resté assis ici sur ce rocher et Je vous ai permis de Me critiquer. Je vous ai donc fait un grand cadeau. D’ordinaire, quand on veut donner de la joie aux gens on doit dépenser beaucoup d’argent et faire toutes sortes de préparatifs. Cependant, sans aucun effort, sans dépenser le moindre centime, Je vous ai permis de vous réjouir en Me critiquant. Puisque vous semblez retirer tant de joie des critiques que vous M’adressez, Je suis responsable de votre joie. Sans en avoir eu l’intention, J’ai pu donner satisfaction à beaucoup de gens. Vous voyez, au lieu d’être malheureux à cause de vos critiques, Je suis vraiment heureux parce que J’ai pu vous donner du bonheur. "
Ensuite, Bouddha leur expliqua une chose très importante. Il le fit d’une manière telle que cela laissa une impression indélébile en leur coeur. "Supposons qu’un mendiant frappe à votre porte pour demander l’aumône et que vous lui apportez de la nourriture. Supposons aussi que cette nourriture n'est pas le genre d’aumône qu‘il attend et admettons qu’il ne l’accepte pas. Que ferez-vous ? Vous direz, "Si tu ne veux pas ce que je te donne, je le reprends et le garde pour moi.
De même, vous m’offrez vos critiques, c’est l’aumône que vous Me faites. Vous pensez sûrement que J’ai besoin de votre avis et Me l’offrez gratuitement, mais Je ne l’accepte pas. Alors, à qui va-t-il ? Et bien, il vous est retourné, il vous reste et vous appartient. Vous voyez, vous vous êtes réellement critiqués vous-mêmes, vous ne M’avez pas critiqué du tout."
On peut envoyer une lettre recommandée à un ami. S’il n’accepte pas cet envoi recommandé que fera l’Administration de la Poste avec la lettre. Elle la renverra à l’expéditeur. Si vous critiquez ou dénigrez quelqu’un et si cette personne n’accepte pas vos critiques, elles vous reviennent inévitablement.
C’est une satisfaction bien mesquine de penser que vous causez des ennuis aux autres par haine et jalousie. Vous ne causez des ennuis à personne sinon à vous-même. La jalousie créera des difficultés à celui qui en est infecté et elle le fera de maintes façons.
Source : Sathya Sai Baba
Le verbe aimer
est le verbe le plus dur à conjuguer.
Son passé n'est jamais simple,
son présent est imparfait,
et son futur est conditionnel...