Une semaine avant les élections législatives, dans une lettre adressée aux Français publiée notamment par France Bleu dimanche 23 juin, Emmanuel Macron revient sur le "désordre" de la sphère politique.
Dans une lettre adressée aux Français, dimanche 23 juin, Emmanuel Macron plaide pour le camp présidentiel. Une semaine avant les élections législatives, le président jette ses dernières forces dans une guerre qu'il a déclarée lui-même à l'opposition depuis la dissolution de l'Assemblée nationale le 9 juin dernier après le scrutin européen. Une dissolution qu'il justifie dans cette lettre, relayée par France Bleu, par un "désordre" politique. "Le fonctionnement de notre Assemblée et le désordre des derniers mois ne pouvaient plus durer", estime le président. De surcroît, il reconnaît notamment une "défaite lourde" de la majorité présidentielle aux élections européennes, qui n'a obtenu que 14 % des suffrages. "Cette dissolution était le seul choix possible", se justifie Emmanuel Macron dans un premier temps.
Faire "barrage"
Dans un autre registre, Emmanuel Macron dresse un bilan et joue la carte de la compréhension. Il évoque notamment "l'inquiétude", le "rejet" et même la "colère tournée contre moi". Dans une volonté de mea culpa, le président en vient même à reconnaître sans responsabilité dans "le malaise démocratique" qui règne en France. "Oui, la manière de gouverner doit changer profondément", écrit-il dans cette lettre. Il reconnaît ne pas être parvenu, en tant que chef de l'État, à résorber la "fracture" entre les Français et les dirigeants politiques. "Je ne suis pas aveugle : je mesure le malaise démocratique", affirme-t-il.
Outre cet aveu, le président bat la campagne et se place de nouveau comme une figure politique centrale. Donné troisième dans le dernier sondage de l'Ifop-Fiducial, derrière le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national, le président maintient toujours être un "barrage à l'extrême droite comme à l'extrême gauche". Tour à tour, Emmanuel Macron s'en prend à ces deux blocs. Selon lui, le RN "prétend mieux répondre à l’immigration illégale et l’insécurité sans rien proposer concrètement", et la gauche "prétend répondre aux injustices de notre société par une augmentation massive des impôts".
Source ==>
Non, je rêve ? Ce blaireau nous la rejoue une fois de plus, mais pour qui nous prend t-il ce pitre, depuis 7 ans il n'a fait que mentir matin, midi et soir et aujourd'hui il serait prêt à changer, parait comme dit le vieil adage, plus c'est gros plus ça passe, mais là qu'il se casse le morveux, plus personne ne va le croire !
Faut-il lui rappeler à ce prétentieux le sondage sur sa popularité ? En bien là voilà ==> 26% et pour d'autres sondage, 11% !!!!!!
Quand je pense le Général de Gaulle à démissionné avec 49% de satisfait, ah oui, mais n'est pas le Général qui veut , lui c'était un homme, un vrai ayant participé aux deux guerres mondiale .
Dans une lettre adressée aux Français, dimanche 23 juin, Emmanuel Macron plaide pour le camp présidentiel. Une semaine avant les élections législatives, le président jette ses dernières forces dans une guerre qu'il a déclarée lui-même à l'opposition depuis la dissolution de l'Assemblée nationale le 9 juin dernier après le scrutin européen. Une dissolution qu'il justifie dans cette lettre, relayée par France Bleu, par un "désordre" politique. "Le fonctionnement de notre Assemblée et le désordre des derniers mois ne pouvaient plus durer", estime le président. De surcroît, il reconnaît notamment une "défaite lourde" de la majorité présidentielle aux élections européennes, qui n'a obtenu que 14 % des suffrages. "Cette dissolution était le seul choix possible", se justifie Emmanuel Macron dans un premier temps.
Faire "barrage"
Dans un autre registre, Emmanuel Macron dresse un bilan et joue la carte de la compréhension. Il évoque notamment "l'inquiétude", le "rejet" et même la "colère tournée contre moi". Dans une volonté de mea culpa, le président en vient même à reconnaître sans responsabilité dans "le malaise démocratique" qui règne en France. "Oui, la manière de gouverner doit changer profondément", écrit-il dans cette lettre. Il reconnaît ne pas être parvenu, en tant que chef de l'État, à résorber la "fracture" entre les Français et les dirigeants politiques. "Je ne suis pas aveugle : je mesure le malaise démocratique", affirme-t-il.
Outre cet aveu, le président bat la campagne et se place de nouveau comme une figure politique centrale. Donné troisième dans le dernier sondage de l'Ifop-Fiducial, derrière le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national, le président maintient toujours être un "barrage à l'extrême droite comme à l'extrême gauche". Tour à tour, Emmanuel Macron s'en prend à ces deux blocs. Selon lui, le RN "prétend mieux répondre à l’immigration illégale et l’insécurité sans rien proposer concrètement", et la gauche "prétend répondre aux injustices de notre société par une augmentation massive des impôts".
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Non, je rêve ? Ce blaireau nous la rejoue une fois de plus, mais pour qui nous prend t-il ce pitre, depuis 7 ans il n'a fait que mentir matin, midi et soir et aujourd'hui il serait prêt à changer, parait comme dit le vieil adage, plus c'est gros plus ça passe, mais là qu'il se casse le morveux, plus personne ne va le croire !
Faut-il lui rappeler à ce prétentieux le sondage sur sa popularité ? En bien là voilà ==> 26% et pour d'autres sondage, 11% !!!!!!
Quand je pense le Général de Gaulle à démissionné avec 49% de satisfait, ah oui, mais n'est pas le Général qui veut , lui c'était un homme, un vrai ayant participé aux deux guerres mondiale .