Harcèlement à l'hôpital d'Avignon: prison avec sursis pour 4 praticiennes.
Trois infirmières et une aide-soignante de l'hôpital Henri-Duffaut d'Avignon ont été condamnées lundi par le tribunal correctionnel à des peines de prison allant jusqu'à deux ans avec sursis pour avoir harcelé leurs chefs de service et leur avoir administré une substance nuisible.
Vanessa Constant, infirmière, 31 ans, considérée comme la "meneuse", a été condamnée à deux ans de prison avec sursis et interdiction d'exercer son métier d'infirmière pendant 18 mois. Elle a été reconnue coupable de dégradation de matériel, appels malveillants, harcèlement et administration de susbstance nuisible.
Les deux autres infirmières ont été reconnues coupables des mêmes faits. Marie Sanchez, 29 ans, a été condamnée à un an avec sursis et une interdiction professionnelle de 8 mois, tandis que Laurence Claudon, 38 ans, a été condamnée à 15 mois de prison avec sursis et une interdiction professionnelle de 6 mois.
L'aide-soignante, Laurence Breuil, 37 ans, a été reconnue coupable de dégradation et condamnée à deux mois de prison avec sursis, sans interdiction d'exercer.
En outre, les deux chefs de services successivement victimes de harcèlement qui s'étaient portées partie civile ont obtenu pour l'une 750 euros de Mme Breuil au titre de dégradation et 3.000 euros solidairement des trois autres prévenues au titre des dommages et intérêts, tandis que l'autre a obtenu le versement de 8.000 euros par les trois infirmières solidairement.
L'hôpital, qui s'était également porté partie civile, a obtenu de chaque prévenue un euro.
A la sortie du procès, l'entourage des trois infirmières a insulté les deux chefs de service. Pour sa part, Mme Constant a indiqué qu'elle avait l'intention de faire appel.
Les quatre praticiennes s'en prenaient à deux infirmières en chef dans le service de chirurgie thoracique de l'hôpital d'Avignon pour contester leur autorité et tenter de les pousser à la faute. La direction de l'hôpital qui compte quelque 3.000 salariés, avait été alertée début 2006 et avait fini par saisir le procureur de la République en novembre 2006.
c'est moche sa, un si joli metier.en plus elles ont donner une substance nuisible.
on n'en voit de tout en ce moment!!
Trois infirmières et une aide-soignante de l'hôpital Henri-Duffaut d'Avignon ont été condamnées lundi par le tribunal correctionnel à des peines de prison allant jusqu'à deux ans avec sursis pour avoir harcelé leurs chefs de service et leur avoir administré une substance nuisible.
Vanessa Constant, infirmière, 31 ans, considérée comme la "meneuse", a été condamnée à deux ans de prison avec sursis et interdiction d'exercer son métier d'infirmière pendant 18 mois. Elle a été reconnue coupable de dégradation de matériel, appels malveillants, harcèlement et administration de susbstance nuisible.
Les deux autres infirmières ont été reconnues coupables des mêmes faits. Marie Sanchez, 29 ans, a été condamnée à un an avec sursis et une interdiction professionnelle de 8 mois, tandis que Laurence Claudon, 38 ans, a été condamnée à 15 mois de prison avec sursis et une interdiction professionnelle de 6 mois.
L'aide-soignante, Laurence Breuil, 37 ans, a été reconnue coupable de dégradation et condamnée à deux mois de prison avec sursis, sans interdiction d'exercer.
En outre, les deux chefs de services successivement victimes de harcèlement qui s'étaient portées partie civile ont obtenu pour l'une 750 euros de Mme Breuil au titre de dégradation et 3.000 euros solidairement des trois autres prévenues au titre des dommages et intérêts, tandis que l'autre a obtenu le versement de 8.000 euros par les trois infirmières solidairement.
L'hôpital, qui s'était également porté partie civile, a obtenu de chaque prévenue un euro.
A la sortie du procès, l'entourage des trois infirmières a insulté les deux chefs de service. Pour sa part, Mme Constant a indiqué qu'elle avait l'intention de faire appel.
Les quatre praticiennes s'en prenaient à deux infirmières en chef dans le service de chirurgie thoracique de l'hôpital d'Avignon pour contester leur autorité et tenter de les pousser à la faute. La direction de l'hôpital qui compte quelque 3.000 salariés, avait été alertée début 2006 et avait fini par saisir le procureur de la République en novembre 2006.
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