Un sujet sur les news du jour ?

Jean-pierre a écrit:Ce n'est pas le cas, en France, tu ne peux pas déshériter un enfant.

Jean-pierre a écrit:Avec l'âge, certaines personnes se laissent influencer, si ce n'était pas le cas, il aurait partagé son argent entre cette personne et l'association en question.

Ça pue la captation d'héritage et l'escroquerie de cette histoire.

L'ado de 15 ans a tué ses parents pour refaire sa vie

Arrêté samedi, Valentin a avoué avoir tiré sur son père, sa mère et le chien, avec l'intention de tout effacer.

Valentin, 15 ans, était recherché depuis la découverte lundi 27 novembre du corps de ses parents dans leur domicile calciné, à Châteauvilain, au sud-est de Lyon. Il a été arrêté samedi 2 décembre à Montpellier, entre deux correspondances de cars. Et dès sa première audition, il a avoué aux gendarmes avoir tué ses parents.

Des premières explications à son geste ont été données par «Le Dauphiné Libéré». L'adolescent aurait eu envie de recommencer sa vie et, pour cela, de tout détruire d'abord. Il s'est donc emparé de l'arme de son père, qui pratiquait le tir sportif et avec laquelle il s'était entraîné en tirant sur des bouteilles. Il a abattu père et mère de plusieurs coups de feu puis a mis le feu à la maison. Il a en plus tiré sur leur chien, un border collie, retrouvé agonisant à l'extérieur.

Il a hésité à se suicider

Selon le journal, Valentin aurait un moment pensé à se suicider après son acte effroyable, mais il s'est ravisé. Il s'est enfui au volant de la Citroën Picasso de son père, qui a été retrouvée accidentée à Sainte-Uze, à une soixantaine de kilomètres de là, explique «Le Parisien». On ne sait pas encore précisément comment il a ensuite rejoint Montpellier, 230 km plus loin, même s'il a pris un car pour au moins la fin du trajet.

Selon «Le Dauphiné», Valentin présenterait un profil très intelligent, mais ambivalent. Il aurait été très affecté en racontant son acte aux gendarmes, tout en tenant le choc. L'adolescent était atteint de la maladie de Lyme et suivait l'école par correspondance suite à cela. Il risque jusqu'à 20 ans de prison.

Mort de Thomas à Crépol



Suspects, origine de la bagarre…



Les investigations menées par les enquêteurs sur la mort de Thomas, dans la Drôme, permettent d’en savoir plus sur ce qu’il s’est passé dans la nuit du 18 au 19 novembre dans la salle des fêtes de Crépol.

Plus d’une centaine de témoignages ont été recueillis dans l’affaire sur la mort du jeune Thomas, 16 ans, tué lors d’un bal à Crépol, dans la Drôme. La thèse d’un acte prémédité s’affaiblit, révèle le Parisien lundi 4 décembre 2023, et le tueur n’a toujours pas été identifié. Pour l’heure, les enquêteurs tentent de remonter le fil de la soirée pour comprendre comment un tel drame a pu se produire.

Une altercation entre deux hommes à l’origine de la rixe

Une altercation entre deux hommes débute dans la salle des fêtes de Crépol vers 2 h du matin, relate le journal, alors que la chanson du rappeur Jul, intitulée « Tchikita » (« fillette » en espagnol), est diffusée. Selon le témoignage d’un des suspects, ce dernier se fait tirer les cheveux par un rugbyman parce qu’il a les « cheveux longs comme Nikita ». Cette provocation ne plaît pas au jeune homme de Romans-sur-Isère qui insulte le rugbyman et lui demande de dégager, à deux reprises. C’est cette altercation qui « pourrait être à l’origine de la rixe », notent les enquêteurs dans un rapport de synthèse daté du 25 novembre.

Les deux jeunes sortent alors de la salle des fêtes pour en découdre. D’après plusieurs témoignages, le jeune homme aux cheveux longs finit « à quatre pattes », frappé à coups de poing et de pied par le rugbyman et deux de ses acolytes venus le rejoindre. Cette bagarre, d’abord initiée par les deux hommes, va alors impliquer de nouvelles personnes, « une trentaine », selon les gendarmes, provoquant un enchaînement de violences et des coups de couteau, dont l’un s’avérera mortel pour le jeune Thomas.

Des insultes « racistes » prononcées

Selon les premiers éléments de l’enquête, des propos racistes auraient été entendus de part et d’autre des deux camps. Une amie du rugbyman, qui a tiré les cheveux, assure l’avoir entendu prononcer des propos anti maghrébins. Du côté des jeunes de Romans-sur-Isère, certains témoins affirment les avoir entendus prononcer des « propos hostiles aux blancs » lors de la soirée. Les enquêteurs tentent actuellement de déterminer si ces propos ont bien été prononcés et quand.

Après cette scène violente, les jeunes de Romans-sur-Isère se sont enfuis de Crépol en voiture. Le travail des enquêteurs est difficile « du fait du nombre important de personnes ayant piétiné le sol », précisent-ils. Le nombre de témoignages, parfois contradictoires, peut aussi rendre l’élucidation du meurtre plus complexe.

Deux hommes suspectés

À ce stade de l’enquête, deux jeunes hommes sont suspectés d’être le meurtrier de Thomas : le premier, âgé de 22 ans, est le jeune homme dont les cheveux ont été tirés par le rugbyman de Crépol. Le second est un mineur âgé de 17 ans, lui aussi arborant une longue chevelure. Ce dernier intéresse d’autant plus les policiers que son petit frère, soupçonné par la police d’avoir été présent sur les lieux le soir du drame, a été déclaré comme en fuite par la justice. Au total, neuf suspects, tous originaires de Romans-sur-Isère sauf un, ont été mis en examen dans cette affaire.

Selon les enquêteurs, quatre des suspects ont participé à la soirée dansante, aux côtés des 450 personnes présentes à l’intérieur de la salle des fêtes. Ils sont restés près de deux heures avant que la bagarre n’éclate, ce qui discrédite la thèse d’une « expédition punitive programmée », précise le Parisien.

Survenu dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre, ce drame a provoqué l’émoi partout en France. Une marche blanche avait été organisée à Romans-sur-Isère, quelques jours après le drame, pour « rendre hommage » à Thomas. Dans le même temps, des membres de l’ultradroite, qui appellent à la vengeance, avaient diffusé sur les réseaux sociaux les identités présumées des agresseurs de Crépol.

Loupolo a écrit:

LibrePenseur a écrit:

Mort de Thomas à Crépol



Suspects, origine de la bagarre…



Les investigations menées par les enquêteurs sur la mort de Thomas, dans la Drôme, permettent d’en savoir plus sur ce qu’il s’est passé dans la nuit du 18 au 19 novembre dans la salle des fêtes de Crépol.

Plus d’une centaine de témoignages ont été recueillis dans l’affaire sur la mort du jeune Thomas, 16 ans, tué lors d’un bal à Crépol, dans la Drôme. La thèse d’un acte prémédité s’affaiblit, révèle le Parisien lundi 4 décembre 2023, et le tueur n’a toujours pas été identifié. Pour l’heure, les enquêteurs tentent de remonter le fil de la soirée pour comprendre comment un tel drame a pu se produire.

Une altercation entre deux hommes à l’origine de la rixe

Une altercation entre deux hommes débute dans la salle des fêtes de Crépol vers 2 h du matin, relate le journal, alors que la chanson du rappeur Jul, intitulée « Tchikita » (« fillette » en espagnol), est diffusée. Selon le témoignage d’un des suspects, ce dernier se fait tirer les cheveux par un rugbyman parce qu’il a les « cheveux longs comme Nikita ». Cette provocation ne plaît pas au jeune homme de Romans-sur-Isère qui insulte le rugbyman et lui demande de dégager, à deux reprises. C’est cette altercation qui « pourrait être à l’origine de la rixe », notent les enquêteurs dans un rapport de synthèse daté du 25 novembre.

Les deux jeunes sortent alors de la salle des fêtes pour en découdre. D’après plusieurs témoignages, le jeune homme aux cheveux longs finit « à quatre pattes », frappé à coups de poing et de pied par le rugbyman et deux de ses acolytes venus le rejoindre. Cette bagarre, d’abord initiée par les deux hommes, va alors impliquer de nouvelles personnes, « une trentaine », selon les gendarmes, provoquant un enchaînement de violences et des coups de couteau, dont l’un s’avérera mortel pour le jeune Thomas.

Des insultes « racistes » prononcées

Selon les premiers éléments de l’enquête, des propos racistes auraient été entendus de part et d’autre des deux camps. Une amie du rugbyman, qui a tiré les cheveux, assure l’avoir entendu prononcer des propos anti maghrébins. Du côté des jeunes de Romans-sur-Isère, certains témoins affirment les avoir entendus prononcer des « propos hostiles aux blancs » lors de la soirée. Les enquêteurs tentent actuellement de déterminer si ces propos ont bien été prononcés et quand.

Après cette scène violente, les jeunes de Romans-sur-Isère se sont enfuis de Crépol en voiture. Le travail des enquêteurs est difficile « du fait du nombre important de personnes ayant piétiné le sol », précisent-ils. Le nombre de témoignages, parfois contradictoires, peut aussi rendre l’élucidation du meurtre plus complexe.

Deux hommes suspectés

À ce stade de l’enquête, deux jeunes hommes sont suspectés d’être le meurtrier de Thomas : le premier, âgé de 22 ans, est le jeune homme dont les cheveux ont été tirés par le rugbyman de Crépol. Le second est un mineur âgé de 17 ans, lui aussi arborant une longue chevelure. Ce dernier intéresse d’autant plus les policiers que son petit frère, soupçonné par la police d’avoir été présent sur les lieux le soir du drame, a été déclaré comme en fuite par la justice. Au total, neuf suspects, tous originaires de Romans-sur-Isère sauf un, ont été mis en examen dans cette affaire.

Selon les enquêteurs, quatre des suspects ont participé à la soirée dansante, aux côtés des 450 personnes présentes à l’intérieur de la salle des fêtes. Ils sont restés près de deux heures avant que la bagarre n’éclate, ce qui discrédite la thèse d’une « expédition punitive programmée », précise le Parisien.

Survenu dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre, ce drame a provoqué l’émoi partout en France. Une marche blanche avait été organisée à Romans-sur-Isère, quelques jours après le drame, pour « rendre hommage » à Thomas. Dans le même temps, des membres de l’ultradroite, qui appellent à la vengeance, avaient diffusé sur les réseaux sociaux les identités présumées des agresseurs de Crépol.

Evidement tu oublies de préciser où tu as trouvé cet article... C'est un article de "Ouest France"
C'est bien de répercuter la propagande de la macronie et de ses merdias...
Tout pour salir les jeunes français et disculper les racailles des banlieues...

Loupolo a écrit:Evidement tu oublies de préciser où tu as trouvé cet article... C'est un article de "Ouest France"
C'est bien de répercuter la propagande de la macronie et de ses merdias...
Tout pour salir les jeunes français et disculper les racailles des banlieues...

Jean-pierre a écrit:La racaille n'était pas invitée, tirer les cheveux que quelqu'un ne justifie pas l'emploi de couteaux de plus de 25 cm, une fois encore, c'est la racaille qui est venue chercher la bagarre dans un village tranquille, sans eux, pas de bagarre, pas de blessés, pas de morts.

Loupolo a écrit:Evidement tu oublies de préciser où tu as trouvé cet article... C'est un article de "Ouest France"
C'est bien de répercuter la propagande de la macronie et de ses merdias...
Tout pour salir les jeunes français et disculper les racailles des banlieues...

Jean-pierre a écrit:

25 cm, pour 32,99 € c'est très pratique pour coincer dans la ceinture dans le dos.

Mom'An a écrit:C'est quoi ces photos de couteaux  !!??
non mais  !!    incitation au port d'armes  au choix des armes  ?


je suis sur le cul     merci de virer ces photos  

Jean-pierre a écrit:La mienne, c'est une photo d'un couteau de travail, j'ai le même qui m'a été offert par un cariste chez un client à Mora il y a 25 ans et que j'ai dans le camion depuis cette date-là.

est ce que tu avais donné une pièce de monnaie à ton cariste

Jean-pierre a écrit:La lame fait 13,5 cm, c'est considéré comme une arme.

On ne se promène pas avec ce genre de couteau dans un bal sans raison, c'est donc un meurtre avec préméditation qu'on fait ces jeunes et j'espère que d'autres jeunes les retrouveront et feront justice pour Thomas.