La fille de l'ancien président, victime de ses traques tout comme Julie Gayet, l'avait comparé à un "rat". Il remet les pendules à l'heure.
Retour à l'envoyeur. Sébastien Valiela répond à Mazarine Pingeot qui l'avait récemment traité de "rat", critiquant sévèrement son métier de chasseur d'images : "Le type est quand même fier de faire du mal, il est fier de ses photos, fier de planquer comme un rat", affirmait la fille de François Mitterrand le week-end dernier sur RTL, jugeant les récentes révélations de Closer "ignobles". Beaucoup ont vu là un règlement de comptes personnel, puisque ce même Valiela était le paparazzi qui l'avait immortalisée dans la rue avec son père à l'automne 1994.
Le photographe, qui possède une carte de presse comme tout journaliste, a répliqué sur les mêmes ondes en se permettant de rafraîchir la mémoire à sa victime. "Je trouve que Mazarine Pingeot a la mémoire très courte. Six mois après la publication des photos dans Paris Match, qui ont révélé son existence, elle posait à nouveau en couverture de Match. Qui faisait les photos ? Encore Pierre Suu et moi. Donc, elle nous a donné son premier rendez-vous. Pourquoi ? Parce que, j'imagine, elle avait apprécié qu'on ait fait ces photos-là." Avant d'ajouter, avec sarcasme : "Quand je l'entends dire que c'était un viol, qu'elle devait se laver, etc., je me dis qu'elle a peut-être un syndrome de Stockholm et qu'elle aime bien ses bourreaux."
Céder pour avoir la paix
Les faits sont exacts. Quelques mois après la publication de ces fameuses "planques", la jeune fille posait tout sourire en une du magazine, s'affichant sur les quais de Seine. "Mazarine fait la couverture de Match", titrait triomphalement l'hebdomadaire, publiant même une photo de la jeune fille avec Ali, son compagnon de l'époque. Un rendez-vous officiel, donc, donné contre toute attente aux deux chasseurs d'images. En réalité, Mazarine dit avoir cédé devant les photographes pour avoir la paix, une technique bien connue des stars, qui préfèrent accorder une photo plutôt que d'être dérangées continuellement.
C'est d'ailleurs la version que la jeune femme a répétée ce mercredi sur France Inter, pour s'expliquer sur cette séance de photos surprenante. "Depuis cette photo volée [avec son père, NDLR], j'avais des paparazzi qui planquaient en bas de chez moi. À tel point qu'à un moment donné je ne suis plus sortie, j'ai fermé portes et fenêtres, il n'y avait plus de lumière qui entrait, je devenais un peu paranoïaque..."
Naïve et inexpérimentée
"À un moment donné, poursuit Mazarine, je sors quand même avec mon compagnon de l'époque, et ils nous disent : Je ne comprends pas pourquoi vous ne vous arrêtez pas deux minutes. Comme ça, vous aurez la paix, on ne sera plus là à vous traquer. De toute façon, on a suffisamment de photos pour les publier, mais elles sont toutes atroces et un peu compromettantes. Donc, vous avez une solution, c'est de vous arrêter, de poser et, d'une certaine manière, de reprendre la main. Et moi, naïve et inexpérimentée, j'ai accepté. Il y avait un piège dans lequel je me suis engouffrée. C'est la deuxième fois que Match me faisait un sale coup."
Aujourd'hui, Mazarine reconnaît que son père a sans doute validé officieusement les premières parutions qui ont révélé son existence cachée. "Mais je ne vois pas en quoi cela pourrait accorder une quelconque dignité à ce métier", conclut la fille de François Mitterrand.
SOURCE :
Réponse de Sébastien Valiela
Même si je n'apprécie guère les paparazzis , il ne faudrait quand même pas que la Mazarine oublie avoir été entretenue sur le compte du contribuable pendant des années , de plus comme une bonne gauchiste elle n'hésite pas à mentir argent comptant !!!!!