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    EN DIRECT. Dette américaine : Washington met en cause S&P

    Jean-pierre
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    Se défoule à fond


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    Message par Jean-pierre Dim 7 Aoû - 23:26

    En pleine tempête sur les marchés financiers, les Etats-Unis ont vu la note de leur dette abaissée par l'agence de notation Standard and Poor's, une sanction inédite qui risque d'attiser encore plus les craintes d'une nouvelle crise économique mondiale.


    Les dirigeants européens sont sur le pont pour tenter de calmer la panique des marchés, inquiets du ralentissement de la croissance mondiale et d'une propagation de la crise de la dette en zone euro. L'heure est à l'urgence d'autant plus que d'autres turbulences sont à prévoir.

    8h30. «Standard and Poor's fait l'intéressant comme un enfant». Alain Minc, économiste proche de Nicolas Sarkozy, dénonce «l'inculture» des agences de notation dans une interview au JDD. «La perte du triple A est secondaire. Les Etats-Unis demeurent l'ultime havre économique», soutient-il. Ainsi, la crise actuelle «n'a rien à voir avec celle de 2008. C'est une crise de la dette de certains pays de l'euro et non pas de l'euro qui reste surévalué face au dollar.» Pour lui, les trois racines des perturbations actuelles sont «l'irrationalité des investisseurs, l'inconséquence des banques et l'inculture des agences de notation».

    8h15. Un risque de krach lundi ? Interrogé par France Info, Jean-Michel Six, chef économiste Europe de l'agence de Standard & Poor's, tente de dédramatiser : face à un risque de krach, il assure n'attendre «rien de fracassant» au niveau des bourses lundi. Selon lui, «les marchés s'attendaient déjà largement» à la dégradation de la note américaine. Il estime que la «gouvernance» est «primordiale» dans la lutte contre la crise financière, que ce soit dans la zone euro ou aux Etats-Unis : «Il faut être unis, il faut agir vite, il faut faire ce qu'on a dit qu'on ferait, dans les temps».

    3h45. Le Trésor américain remet en cause «l'intégrité» de S&P. Selon le secrétaire adjoint au Trésor chargé de la politique économique, John Bellows, l'agence de notation Standard and Poor's aurait commis une «erreur de 2.000 milliards de dollars» dans les projections de déficit budgétaire jusqu'en 2021. Il explique que «S&P a reconnu cette erreur», mais «n'a pas estimé qu'une méprise de cette ampleur suffisait pour justifier de réexaminer son jugement». «La taille de cette erreur, et la rapidité avec laquelle S&P a changé sa justification principale quand on lui a présenté cette erreur, soulèvent des questions fondamentales sur la crédibilité et l'intégrité de la décision prise par S&P sur cette note», ajoute-t-il.

    1h50. Silence radio du G7. La présidence française du G7 et les autres pays membres refusent de faire le moindre commentaire sur une conférence téléphonique consacrée à la crise de la dette et à la situation des marchés financiers, qui se serait tenue dans la nuit de samedi à dimanche. Elle avait été annoncée en fin de soirée par l'Italie.

    00h. Royal fustige le «manque de courage». La candidate à la primaire socialiste Ségolène Royal dénonce le «manque de courage» des Etats dans les réformes. Pour elle, ils doivent «imposer au système financier des règles maintes fois annoncées mais jamais réalisées», notamment «la taxation des mouvements de capitaux, la réforme du système bancaire» et «l'interdiction de spéculer sur les dettes des Etats».

    leparisien.fr

    Rendez vous à l'ouverture des marchés demain on verra si ceux ci avait anticipé la dégradation de la note US et si elle ne va pas bouger.

    Je crois que Sarkozy va encore avoir du boulot lui qui est président du G7 pour le moment et il faudrait quand même prendre des mesures forte pour que ça n'empire pas.

    Les propositions de Royale sont, encore une fois, utopique et déjà entendu des dizaines de fois, on ne régule un marché que si celui ci veut bien être régulé.

    J'ai comme l'impression qu'Obama nous à mit dans une belle catastrophe qui va faire pas mal de dégâts.

      La date/heure actuelle est Lun 6 Mai - 15:21