,« Nous n'avons jamais connu une telle crise. Même pendant celle de 1990, nous n’étions pas dans une situation aussi dramatique. » Christian Favier, président PC du conseil général, n’y est pas allé par quatre chemins hier. En cause, « le désengagement de l’Etat » qui devrait « 400 millions d’euros » au Val-de-Marne.
Pour boucler le budget, « il va falloir trouver 40 millions d’euros en 2010 ». Comment? En faisant « des efforts de gestion » et en « réduisant des investissements ». Hier, en marge du débat d’orientations budgétaires, Christian Favier a évoqué les pistes qu’il compte explorer pour faire des économies. La décision finale sera prise lors du vote du budget en février.
Les tarifs des crèches. On connaissait la décision du conseil général de fermer les crèches départementales la semaine de Noël et, peut-être, au mois d’août. Cette fois, il faut aller plus loin. « Nous tiendrons notre engagement d’ouvrir 1000 places sur cinq ans, assure Christian Favier. Mais les tarifs pourraient être fixés selon les critères de la dotation urbaine de solidarité. Autrement dit, en fonction des richesses des villes. » Des critères qui ont rendu perplexe Nicolas Clodon, conseiller général UMP de Saint-Maur.
Des rénovations de collèges attendront. Au niveau des investissements, les rénovations des collèges ne se feront que s’il s’agit d’une « grosse réparation ». Dix établissements « prioritaires » ont été ciblés. Pour le reste, il y aura un « échelonnement dans le temps ». « Rien qu’avec l’argent que l’Etat nous doit, nous aurions pu construire vingt collèges », a comptabilisé Alain Desmarest, vice-président PS chargé de l’éducation.
Vente du patrimoine. Un recensement du patrimoine foncier du département a d’ores et déjà été dressé. Une évaluation est en cours pour déterminer, selon Christian Favier, « ce qui n’est pas utile ». Exemple : le château des Marmousets à La Queue-en-Brie, qui accueille un centre de loisirs pour le personnel départemental. Il est aussi question de revendre des parcelles le long de la D 45 à Champigny.
Moins d’argent pour les manifestations sportives. Le conseil général participe au financement d’une dizaine de grandes manifestations sportives dans le département. Or, dans ce domaine, le budget pourrait être baissé de 20 %. Les crédits affectés à la communication vont aussi être revus à la baisse. « Il faut qu’ils soient réduits de 30 % entre 2006 et 2010 », estime Christian Favier.
Le Parisien
Pour boucler le budget, « il va falloir trouver 40 millions d’euros en 2010 ». Comment? En faisant « des efforts de gestion » et en « réduisant des investissements ». Hier, en marge du débat d’orientations budgétaires, Christian Favier a évoqué les pistes qu’il compte explorer pour faire des économies. La décision finale sera prise lors du vote du budget en février.
Les tarifs des crèches. On connaissait la décision du conseil général de fermer les crèches départementales la semaine de Noël et, peut-être, au mois d’août. Cette fois, il faut aller plus loin. « Nous tiendrons notre engagement d’ouvrir 1000 places sur cinq ans, assure Christian Favier. Mais les tarifs pourraient être fixés selon les critères de la dotation urbaine de solidarité. Autrement dit, en fonction des richesses des villes. » Des critères qui ont rendu perplexe Nicolas Clodon, conseiller général UMP de Saint-Maur.
Des rénovations de collèges attendront. Au niveau des investissements, les rénovations des collèges ne se feront que s’il s’agit d’une « grosse réparation ». Dix établissements « prioritaires » ont été ciblés. Pour le reste, il y aura un « échelonnement dans le temps ». « Rien qu’avec l’argent que l’Etat nous doit, nous aurions pu construire vingt collèges », a comptabilisé Alain Desmarest, vice-président PS chargé de l’éducation.
Vente du patrimoine. Un recensement du patrimoine foncier du département a d’ores et déjà été dressé. Une évaluation est en cours pour déterminer, selon Christian Favier, « ce qui n’est pas utile ». Exemple : le château des Marmousets à La Queue-en-Brie, qui accueille un centre de loisirs pour le personnel départemental. Il est aussi question de revendre des parcelles le long de la D 45 à Champigny.
Moins d’argent pour les manifestations sportives. Le conseil général participe au financement d’une dizaine de grandes manifestations sportives dans le département. Or, dans ce domaine, le budget pourrait être baissé de 20 %. Les crédits affectés à la communication vont aussi être revus à la baisse. « Il faut qu’ils soient réduits de 30 % entre 2006 et 2010 », estime Christian Favier.
Le Parisien
Eh ben en effet !!! Va falloir se serrer la ceinture pendant quelques années la aussi !!!! Quelle autre solution ??????