Avec un taux de fécondité qui dépasse deux enfants par femme, la France est restée, en 2008, la championne d'Europe de la natalité : elle est, avec l'Irlande, le pays de l'Union européenne où la fécondité est la plus forte. Selon le bilan démographique de l'Insee, plus de 800 000 bébés sont nés sur le sol métropolitain en 2008, un chiffre qui n'avait pas été atteint depuis 1981.
Ces résultats sont d'autant plus surprenants qu'en France, le nombre de femmes en âge de procréer ne cesse de diminuer : les femmes aujourd'hui âgées de vingt à quarante ans sont nées dans les années 1970 et 1980, à une époque où le baby-boom de l'après-guerre s'achevait. Depuis dix ans, leur nombre baisse ainsi de 2 % par an, ce qui représente 200 000 mères potentielles de moins depuis 1999.
Qu'importe ! Les taux de fécondité, eux, ne cessent de grimper, surtout à des âges avancés : en 2008, l'âge moyen à la maternité a atteint quasiment trente ans, soit deux ans de plus qu'il y a deux décennies. "Cette tendance est générale en Europe, à l'exception des pays de l'est récemment entrés dans l'Union européenne", constate Anne Pla dans Insee Première, l'une des publications mensuelles de l'Insee (insee. fr)
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Au moins on est champion dans quelque chose
Intéressant l'article qui montre pas mal l'évolution dans le temps des naissances et de la durée de vie, par contre avoir des enfants de plus en plus tard je ne suis pas sur que ce soit une bonne chose, une fois grand ça fait pas mal de décalage entre les deux et je pense que le fossé des générations s'élargit et que la compréhension entre les parents et les enfants n'est pas des plus facile.
Les chiffres du PACs sont assez étonnant aussi je n'aurais pas penser qu'ils prennent une telle ampleur mais ça me conviens pas mal les avantage sont sensiblement les mêmes que pour le mariage et ça fait moins religieux à mon gout.
Je suppose que la facilité pour la séparation y est pour quelque chose ce qui est logique il semble évident que les mariages de 30-40 ans et plus seront en régression dans l'avenir la société ne se prête guère aux mariage de longue durée.