PARIS - Après ses propos récents sur les chambres à gaz, Jean-Marie Le Pen a affirmé jeudi qu'il ne se pliait pas "à l'obligation des dogmes".
"J'ai mes propres opinions, mais il semble que dans ce pays, on veuille aller dans l'esprit même des gens pour faire croire à un certain nombre de dogmes qui seraient obligatoires", a-t-il déclaré sur TF1, quelques heures après le traditionnel défilé du Front national du 1er Mai
Dans un entretien paru, sans son accord, dans le magazine régional "Bretons", le leader d'extrême droite a répété que les chambres à gaz sont "un détail de l'histoire de la Seconde guerre mondiale". Ces propos, déjà condamnés à deux reprises dans le passé par la justice, ont soulevé un tollé parmi les associations de défense des droits de l'Homme.
"Nous sommes dans un pays où la liberté d'opinion et la liberté d'expression n'existent pas, ce qui en est d'ailleurs une démonstration", a assuré le président du FN. "Sans que je veuille que ces propos soient publiés, ils sont publiés quand même (...) Ce sont les médias qui le mettent sur la table", a-t-il ajouté.
Interrogé sur le fait que le FN allait quitter son siège à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), il a annoncé que son parti allait "avoir un autre local très élégant, très bon, très performant à Nanterre" (Hauts-de-Seine). "Nous sommes là en terrain encore plus populaire qu'à Saint-Cloud", a-t-il lancé. AP
Il récidive le bougre et continue contre vents et marées avec son "détail de l'histoire"
Je crois même qu'il a été désavoué par sa fille sur ce coup là.
Il serai temps qu'il comprenne qu'il est temps de prendre sa retraite et qu'il arrête avec ces histoires de la dernière guerre qui finalement n'intéresse plus grand monde de nos jours.
Il doit être le seul d'ailleurs à y croire à son détail ou peut s'en faut.