Extrait de l'Antipresse nr 435 : Ariane Bilheran "Au temps de la dystopie sanitaire"
Depuis la guerre déclarée aux peuples au printemps 2020, les victimes de ce totalitarisme mondial déclaré par l’OMS ne se comptent plus: misère et famine pour les peuples confinés sans percevoir de subsides, expérimentations de masse (certains parlent de génocide, dont Vera Sharav et les conclusions du Grand Jury de Reiner Füllmich), passages à l’acte meurtriers et transgressifs sur la population (euthanasies, «droits sexuels» des prédateurs, etc.), pertes de revenus et d’emplois, massacre économique des petits indépendants et des agriculteurs, traumatismes psychiques en cascade, chute libre de l’instruction pour les enfants, suppression des libertés, etc...
La souffrance psychique est aussi celle de se trouver confronté à un délire, un récit absolument irrationnel, que ni le doute, ni le questionnement, ni le réel ne peuvent plus ébranler. Elle est enfin celle du clivage, de ces clans qui se divisent entre les endoctrinés, les endoctrineurs, puis ceux qui tentent de comprendre quelque chose à ce qui se passe, doutent et se posent des questions.
Les rayons de livres et de jouets fermés au public dans les grandes surfaces, une poupée de type Barbie vendue masquée, les plages dynamiques, les forêts interdites, etc... Un fabricant de jouets avait décidé de produire pour le régime covidiste cet étonnant joujou “sanitaire” (en réalité politique): un kit de vaccination pour enfants, avec poupées toutes masquées. C’est un fait affectif au sens où des enfants vont trouver leur joie en jouant avec cela. Épouvantable! Combien de temps faudra-t-il pour retirer de jeunes têtes blondes toutes ces immondices covidistes?»
La France de 2020 et de 2021 a connu la folie de l’enfermement, de l’expérimentation de masse forcée, une vague de délations, coercitions, intimidations et menaces. «Les hommes en vinrent, pour qualifier les actes les plus simples de la vie quotidienne (aimer, respirer, soigner), à modifier arbitrairement le sens habituel des mots. Exterminez-vous les uns les autres!… et décroissez…»
Le 12 juillet 2021 le Président de la République française avait dit que les non-vaccinés seraient des sous-citoyens, des exclus de la société... le Pape avait déclaré la vaccination forcée comme «acte d’amour» — le viol dans l’amour…— en décembre 2021, le Président avait déclaré vouloir «emmerder les non-vaccinés»...
Il y avait eu d’autres déclarations publiques, comme celle d’affamer les antivax ou encore, celle d’Anastasia Colosimo, politologue et enseignante en théologie politique, qui avait affirmé, sans aucun tressaillement de paupière, sur le plateau de David Pujadas, le 27 décembre 2021, que «laisser mourir les non-vaccinés serait un bon moyen de sélection naturelle.» Basquin rappelle à notre mémoire Onfray et sa comparaison des non vaccinés à des contaminateurs du SIDA ou des violeurs de jeunes filles