Sida
Dans les années 1980, quand j’étais en activité.
Nous allions chercher dans les aéroports en ambulance les premiers malades du SIDA qui étaient en phase terminale venant d’Afrique.
Au début de cette nouvelle maladie, personne ne savait vraiment le mode exact de contagion entre les individus.
Les pouvoirs publics, les professeurs en médecine étaient tous dubitatifs…
Dans les rangs des soignants de proximité du malade.
Nous étions tous étrangement habillés comme des « cosmonautes. »
Je me lavais les mains 50 fois par jour.
Le personnel soignant avait une peur bleue de cette nouvelle maladie virale.
Les caractéristiques du virus n’étaient pas encore connues.
On ne pouvait que constater l’aspect physique des malades atteint.
Ils avaient tous aspect verdâtre marron foncé comme dans les films d’horreurs « des zombies ».
Les pauvres malades qu’on hospitalisaient à l’hôpital Claude Bernard (spécialisé des maladies tropicales) se vidaient part tous les orifices naturelles de leurs corps, une sorte amalgame diarrhée de sang mélangé à de matière fécale.
Heureusement, les pontes de la médecine française nous ont rassurés sur le mode précis de contamination du SIDA.
Car certains soignants envisageaient de démissionner de crainte d’être victime de cette horrible affection.
« Aujourd’hui, avons-nous vraiment les structures pour protéger la population d’un nouveau virus encore plus virulent en pleine mutation ? »
LA RÉPONSE EST NON !Toute la problématique vient des incohérences des mesures du gouvernement.
Pourquoi ?
facile à comprendre , pas de masque, pas assez de test PCR maintenant pas assez de vaccin
avec un gros doute sur leur efficacité...
Ensuite, vous avez l'aspect économique faut-il vivre comme si le coronavirus n'existait pas .Ok , on fait comme ça , quand dans toutes les entreprises nous aurons 38 % du personnel malades et 1400 morts par jour dans les hôpitaux hyper débordé (les soignants eux même malades)
Le gouvernement Macron sera de toute façon mis au pilori ...