Alors qu'Emmanuel Macron doit prendre la parole en milieu de semaine prochaine, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon a fait un état des lieux de la situation sanitaire en France et évoqué assez longuement les conséquences de la pandémie sur la santé mentale.
La barre des deux millions de cas a été franchie. C'est ce qu'a annoncé Jérôme Salomon, mardi 17 novembre en conférence de presse.
Le directeur général de la santé a par ailleurs longuement évoqué les difficultés que peuvent rencontrer les Français pendant cette pandémie. "Nous devons tous être attentifs aux conséquences de l'épidémie sur la santé mentale de la population", a-t-il insisté. Une étude de Santé publique France révèle que la santé mentale des Français s'est particulièrement dégradée depuis le mois de septembre. "Il y a une augmentation importante des états dépressifs. Le nombre de personnes dépressives a doublé entre fin septembre et début novembre. Cette hausse est observée dans l'ensemble de la population mais est particulièrement marquée chez les personnes ayant des problèmes financiers ou ayant des antécédents de troubles psychologiques".
Et de poursuivre, en donnant quelques conseils pour mieux supporter cette situation : "Nous pouvons tous nous sentir anxieux. Il existe des conseils pour prendre soins de soi : rester en lien avec son entourage, aider ceux qui en ont besoin, ne pas rester connecté à l'actualité toute journée, limiter sa consommation d'alcool et de tabac, ne pas hésiter à consulter un professionnel." Parmi les signes qui doivent alerter : le sommeil perturbé, le stress, l'irritabilité, des troubles de la concentration, de la tristesse, une perte d'appétit, de l'anxiété ou encore un manque d'énergie. Un dispositif national d'écoute et de soutien psychologique a été mis en place par le gouvernement. Il suffit d'appeler le 0800 130 000. Ce numéro est gratuit et ouvert 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. Vous serez alors transféré vers un service spécialisé parmi lesquels : Croix-Rouge Ecoute, Ecoute Santé, SOS Amitié ou encore SOS Crise.
Le directeur général de la Santé a part ailleurs reconnu que les efforts collectifs commençaient à porter leurs fruits. C'est ce qu'avait déjà déclaré le ministre de la Santé ce matin, mardi 17 novembre, sur BFMTV. Mais la prudence reste de mise et les restrictions devraient encore rester en place dans les semaines à venir. "Moi, je préfère donner des réponses fermes aux Français, et ma réponse est : c'est en train d'aller mieux, vos efforts sont en train de payer, il ne faut surtout pas les arrêter, il ne faut surtout pas changer de cap, nous l'avons fait au printemps. Oui c'est long, oui c'est pénible, mais c'est à ce prix-là que nous retrouverons une vie normale", avait déclaré Olivier Véran à l'antenne.
actu.orange.fr
Ils sont en train de rendre le pays cinglé avec leur gripette leurs confinements, leurs restrictions et toutes les interdictions attestations, leur incapacité à donner un calendrier, leurs changement incessants de plans, et autres con.... de premier plan et il ose dire qu'il faut faire attention de ne pas avoir de dépression nerveuse.
Mais c'est tout le pays qu'il faudra enfermer lorsqu'ils en auront fini avec ces c..... et les dépressions et autres traumatismes coûteront encore bien plus cher à la communauté que ce que leur coûte la gripette.
Jusqu'à quand les français vont-ils se laisser prendre pour des c...