« Tous nos outils de production doivent être transformés et adaptés aux exigences de la transition écologique », rappellent les citoyens : d’où un corpus de mesures s’adressant directement aux entreprises. « Il est crucial de les engager à se transformer et de les accompagner car elles n’ont que quelques années pour changer de modèle, ce qui implique des évolutions et des investissements lourds », fait remarquer Anne Bringault, tout en rappelant que « les 40 sites industriels les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France, hors centrales thermiques, représentent environ 10 % des émissions françaises ». Selon les 150 tirés au sort, le bilan carbone des entreprises doit devenir une référence, notamment pour obtenir des aides de l’État (avantages fiscaux, prêts garantis, etc.). Mais pas seulement : il doit irriguer tout le système, du soutien à l’innovation à la formation aux métiers de demain, en passant par les investissements « verts » des banques et de la Caisse des dépôts et consignations (CDC).
la-croix.com
Ça semble une évidence, tellement évident qu'on se demande pourquoi les gouvernements successifs ne l'ont pas fait, pourquoi E.E.V. n'y a pas pensé ?
Si le site n'est pas vital pour la stratégie du pays et si il est polluant, il ne doit pas avoir de subvention et l'état devrait se désengager de l'Aéroport de Paris ainsi que de Renault.