Christine, dont on ne connaît que le prénom et qui de toute façon, a changé de nom de famille (aux dernières nouvelles qui datent de mathusalem), qui a épousé un chauffeur (trps Frédéricci peut être), qui habiterait probablement en Alsace, a fait des enfants, je suppose, a effectué quelques tours sur le moyen orient, d'où quelques souvenirs bons et moins bons.
Mais je ne les connais pas tous. Au tout début, elle voyageait en compagnie de son chien loup, afin je pense d'avoir une certaine sécurité.
Ce qui a généré des allusions douteuses de chauffeurs jaloux et zoophiles, genre : elle doit se faire m….. par son chien. Tout dans la dentelle. C'est un peu le côté obscure de la force, (Dark Vador), comme dirait mon ami le Jedi, Obi-Wan Kenobi.
Plus tard, constatant que cela lui attirait plus de problèmes que de confort, elle s'est séparé de son chien, au grand désespoir des mauvaises langues…avec de grandes gueules.
Un jour, en frontière Turque/Iraq, côté iraquien, accompagnée de trois ou quatre chauffeurs français, alors que nous faisions la queue, de nuit, à une station service, un cri retentit. Christine s'était fait mettre la main dans son décolleté, pourtant sobre et sage, par un militaire iraquien en chaleur, porte fermée, mais vitre baissée à cause de la chaleur. Trop tard, la prude Christine, s'était fait mettre la main au balcon. Ce qui bien sûr n'est pas aussi intéressant que la main au panier. Question de goût ou d'opportunité.
Quelques temps plus tard, à Bagdad, alors que votre serviteur « Le Mongol » se payait une crise de coliques frénétiques, comme dirait Coluche, soigné par le médecin d'un chantier bulgare, vu que le médecin FRANÇAIS, n‘avait pas daigné se déplacer, (Même dans les médecins il y en a…si si ), dame Christine arrive seule à Bagdad, direction Bassorah.
Elle me trouve dans un état lamentable (les connaisseurs apprécieront), tant et si bien que je l'envoyais balader, n'acceptant pas qu'elle me voit dans cet état. Quelques heures plus tard et une piqûre de cheval dans mon postérieur de colibri, nous décidâmes d'un commun accord, qu'il serait préférable que je l'accompagnasse (c'est de l'iraquien des quartiers chics) destination le sud. Nous partîmes donc tous les deux, bras dessus bras dessous, amoureux et heureux, la tête et le cœur pleins de projets… En réalité, elle avait caché ses cheveux longs et dissimulé au mieux sa poitrine, afin de passer pour un chauffeur mâle et viril. Je pouffe… Léo, lui, le Mongol de la steppe, s'était transformé en carpette de couchette vu son état. Le Rambo bo bo. Mais prêt pour l'aventure.
Iraq= guerre contre l'Iran = convois militaires en permanence, contrôles etc…LA GALERE.
Plusieurs fois donc, Christine, en doublant des camions militaires, s'était faite repérer par des chauffeurs iraquiens, la prenant tour à tour j'imagine pour un travelo, un mignon ou une femme tout simplement. Et que je te double, que je te ralentisse, que je te fasse des signes amicaux, genre : viens donc goûter à mon narguilé et que je te redouble etc… Bref ! elle arrive tant bien que mal sur le chantier iraquien de Bassorah où elle devait livrer, accompagnée de son garde du corps et agent secret Léo. Mon nom est Bond « Léo Bond ».
Pendant le déchargement, alors que l'iraquien responsable lui proposait de se rafraîchir par une bonne douche, elle partit confiante, trousse de toilette à la main afin de se décrasser de la sueur, des vents de sable etc…
Mais voilà que Christine réapparait deux minutes après.
Il n'y a pas d'eau demandais je intrigué ?
Non me dit elle, il n'y a pas de porte.
Hé Hé ! nue sous la douche, seule femme au milieu d'un groupe de saints hommes, refoulés sexuels*,prêts à lui frotter le dos, je pose la question : où est le problème ? Même se payer Léo, pourquoi pas vu que , quand il y en a pour un, il y en a pour deux .
Quelques centaines de kilomètres plus tard, sur un chantier bien français, elle pu se faire belle et propre.
Depuis ce jour, on peu trouver dans le nord de l'Iraq, des mouches du sud. Elles avaient suivi notre camion. Document Géo. Mais le pire dans tout ça, est que le bruit couru, que Le mongol s'était payé Christine, ou que Christine s'était payé Léo. La parité il parait… Pensez donc, un allé retour en double…Et bien non, bien que…Mais c'est une autre histoire.
Je garde d'elle le souvenir d'une femme de caractère, sympathique, douce et gentille.
On s'est perdu de vue. Dommage, mais le monde est petit. Qui sait.
* Refoulés sexuels parce que dans ces pays, beaucoup d'hommes n'ont pas les moyens de se payer une femme. Pas d'argent = pas de femme = célibat forcé avec tout ce que cela entraîne.
Léo habite près de "La Roche Foucault" 16 , à 58 ans, il "fait" du frigo entre la Bretagne et l' Italie.
Mais je ne les connais pas tous. Au tout début, elle voyageait en compagnie de son chien loup, afin je pense d'avoir une certaine sécurité.
Ce qui a généré des allusions douteuses de chauffeurs jaloux et zoophiles, genre : elle doit se faire m….. par son chien. Tout dans la dentelle. C'est un peu le côté obscure de la force, (Dark Vador), comme dirait mon ami le Jedi, Obi-Wan Kenobi.
Plus tard, constatant que cela lui attirait plus de problèmes que de confort, elle s'est séparé de son chien, au grand désespoir des mauvaises langues…avec de grandes gueules.
Un jour, en frontière Turque/Iraq, côté iraquien, accompagnée de trois ou quatre chauffeurs français, alors que nous faisions la queue, de nuit, à une station service, un cri retentit. Christine s'était fait mettre la main dans son décolleté, pourtant sobre et sage, par un militaire iraquien en chaleur, porte fermée, mais vitre baissée à cause de la chaleur. Trop tard, la prude Christine, s'était fait mettre la main au balcon. Ce qui bien sûr n'est pas aussi intéressant que la main au panier. Question de goût ou d'opportunité.
Quelques temps plus tard, à Bagdad, alors que votre serviteur « Le Mongol » se payait une crise de coliques frénétiques, comme dirait Coluche, soigné par le médecin d'un chantier bulgare, vu que le médecin FRANÇAIS, n‘avait pas daigné se déplacer, (Même dans les médecins il y en a…si si ), dame Christine arrive seule à Bagdad, direction Bassorah.
Elle me trouve dans un état lamentable (les connaisseurs apprécieront), tant et si bien que je l'envoyais balader, n'acceptant pas qu'elle me voit dans cet état. Quelques heures plus tard et une piqûre de cheval dans mon postérieur de colibri, nous décidâmes d'un commun accord, qu'il serait préférable que je l'accompagnasse (c'est de l'iraquien des quartiers chics) destination le sud. Nous partîmes donc tous les deux, bras dessus bras dessous, amoureux et heureux, la tête et le cœur pleins de projets… En réalité, elle avait caché ses cheveux longs et dissimulé au mieux sa poitrine, afin de passer pour un chauffeur mâle et viril. Je pouffe… Léo, lui, le Mongol de la steppe, s'était transformé en carpette de couchette vu son état. Le Rambo bo bo. Mais prêt pour l'aventure.
Iraq= guerre contre l'Iran = convois militaires en permanence, contrôles etc…LA GALERE.
Plusieurs fois donc, Christine, en doublant des camions militaires, s'était faite repérer par des chauffeurs iraquiens, la prenant tour à tour j'imagine pour un travelo, un mignon ou une femme tout simplement. Et que je te double, que je te ralentisse, que je te fasse des signes amicaux, genre : viens donc goûter à mon narguilé et que je te redouble etc… Bref ! elle arrive tant bien que mal sur le chantier iraquien de Bassorah où elle devait livrer, accompagnée de son garde du corps et agent secret Léo. Mon nom est Bond « Léo Bond ».
Pendant le déchargement, alors que l'iraquien responsable lui proposait de se rafraîchir par une bonne douche, elle partit confiante, trousse de toilette à la main afin de se décrasser de la sueur, des vents de sable etc…
Mais voilà que Christine réapparait deux minutes après.
Il n'y a pas d'eau demandais je intrigué ?
Non me dit elle, il n'y a pas de porte.
Hé Hé ! nue sous la douche, seule femme au milieu d'un groupe de saints hommes, refoulés sexuels*,prêts à lui frotter le dos, je pose la question : où est le problème ? Même se payer Léo, pourquoi pas vu que , quand il y en a pour un, il y en a pour deux .
Quelques centaines de kilomètres plus tard, sur un chantier bien français, elle pu se faire belle et propre.
Depuis ce jour, on peu trouver dans le nord de l'Iraq, des mouches du sud. Elles avaient suivi notre camion. Document Géo. Mais le pire dans tout ça, est que le bruit couru, que Le mongol s'était payé Christine, ou que Christine s'était payé Léo. La parité il parait… Pensez donc, un allé retour en double…Et bien non, bien que…Mais c'est une autre histoire.
Je garde d'elle le souvenir d'une femme de caractère, sympathique, douce et gentille.
On s'est perdu de vue. Dommage, mais le monde est petit. Qui sait.
* Refoulés sexuels parce que dans ces pays, beaucoup d'hommes n'ont pas les moyens de se payer une femme. Pas d'argent = pas de femme = célibat forcé avec tout ce que cela entraîne.
Léo habite près de "La Roche Foucault" 16 , à 58 ans, il "fait" du frigo entre la Bretagne et l' Italie.