par mayyan Mer 27 Mar - 7:24Et oui les filles il est devenu de plus en plus difficile de se faire effleurer le mille-feuilles, chatouiller la minette, ébouriffer la mistinguett' ! C'est pourquoi je vous offre toutes les bonnes astuces pour se faire tâter le matou, afin que vous aussi, puissiez dire : Yes, je me fais triturer la figue !
Dans la rue :
Dans la rue - in the street - les contacts humains sont devenus rares, trop rares... On ne prend plus le temps de parler à un SDF qui fait la manche afin de nourrir sa fille tétraplégique, ni de donner un conseil d'orientation touristique à un couple belge en vacances à Paris... Et, illustration du mal-être qui touche cette génération, plus personne ou presque ne prend le temps de vous toucher la chatte, vous les filles... Ne désespérez pas les filles, je suis là pour que Mistigri se fasse lisser la moustache, et ce tous les jours de la semaine, et même deux fois par jour dans la même semaine ! Voire trois. Non remboursé. Regardez ces messieurs qui marchent dans la rue, l'air de rien, en balançant négligeamment leurs bras d'avant en arrière. Leurs mains vont en avant, puis en arrière, comme le pendule de chez grand-mère ! Profitez de ce mouvement de balancier ! Lorsque la main du jeune homme sexy devant vous balance vers l'avant, VITE !!! Baissez votre pantalon ou votre jupe, et courez vers lui, bas-ventre en avant - GO les filles ! - afin que votre pubis se retrouve en contact avec sa main se balançant en arrière ! Ciel, dira le jeune homme, mais quel doux contact ! Puis-je continuer à turlupiner cette brosse à cirage ? dira le jeune homme joyeusement surpris. Ça y est les filles, c'est gagné !
Au travail :
Pas facile de se faire tripatouiller le raviole quand on travaille dans un cabinet comptable, pas vrai les filles ? Et bien, qu'à cela ne tienne, on est là pour vous aider à mieux contrôler votre pussy-touching attitude !
Le patron, qui est si mignon dans son costard vert et jaune, ne vous voit même pas ? Vous avez beau baisser votre culotte en vous dandinant, nombril en avant, tailleur retroussé, il feint ne pas vous remarquer ? Est-il goujat, ou juste préoccupé par son travail ? Qu'importe, vous allez le secouer girl style ! Attendez que "monsieur le patron" vous envoie faire des photocopies. Arrivée à la photocopieuse, hurlez ! Et oui les filles, le cri, c'est la vie ! Le patron ne tardera pas à courir vers vous en cherchant à s'encquérir de l'origine de votre hurlement. N'hésitez pas ! Girl Power ! Dites-lui : La photocopieuse est tombée dans ma culotte ! Tout de suite, "monsieur le patron" tentera de sauver Jerry des griffes de Tom, pour votre plus grand plaisir ! Une fois de plus, c'est gagné !
Chez le médecin :
Votre toubib est si mignon que vous n'osez pas l'inviter à vous gratouiller la mouche velue ? Qu'à cela ne tienne, je suis là pour vous décoincer ! Prenez rendez-vous chez votre George Clooney familial, et invoquez des démangeaisons pubiennes ! Il ne réagit pas ? Prétendez avoir un kyste qui dégorge du pus ensanglanté, voire des glaires de règles douloureuses ! Il prend son gant de latex ? Il emoustille Balthazar ?
Au goulag :
Pas facile de se faire chipoter la minouche lorsqu'on doit extraire de l'uranium des mines de la Kolyma, sans protection et à - 26 degrés ! Heureusement pour vous les filles, j'ai la technique imparable pour se faire tamponner le timbre-poste, même en pleine taïga ! Allez voir la garde armée des camps pour un motif futile : soyez inventives les filles ! Exemples : j'ai la leptospirose ! Ou : j'ai encore perdu un doigt ! N'hésitez pas, tous les coups sont permis ! Le garde du goulag n'omettra pas de vous demander : Où as tu fait tomber ton doigt, camarade ?? (Le bougre s'est fait avoir les filles ! Sautez sur l'occasion !) Répondez : il est dans ma culotte camarade !
En boîte :
Il est devenu de plus en plus difficile d'obtenir un contact doigto-génital dans les boîtes de nuit, où ces messieurs passent le plus clair de leur temps à danser la tecktonik et à boire de la sangria qu'à essayer de vous ratiboiser clito-plus. Il ne faut pas avoir de scrupules les filles, puisque les mecs veulent la guerre, utilisez les armes chimiques ! Pendant que monsieur le beau gosse est aux toilettes, approchez vous insidieusement de son verre de sangria, et mélangez subrepticement deux cachets de Lexomil. Quand votre proie terminera son verre et sera sous l'effet des anxiolytiques, sa volonté sera instantanément annihilée et vous pourrez le contraindre à vous escagasser la fougnasse !
En grande surface alimentaire :
Les filles, une grande surface est un hypermarché commode pour un toucher discret pouvant déboucher immédiatement sur une négociation dont les marges arrières vous procureront des plaisirs différés vous permettant d'envisager une caresse à long terme : Pendant que vous cherchez dans l'étagère d'en haut - que même vos hauts talons ne vous permettent pas d'atteindre - une boîte de Ronron tant convoitée par votre minette préférée, un vert-galant opportuniste se glissera parmi vos rayons inférieurs pour faire reluire l'objet de vos désirs ; il ne vous restera plus qu'à lui demander, vu ses compétences, de s'occuper sérieusement et plus souvent de retirer les toiles d'araignées de votre égouttoir d'asperges.
