Les éditorialistes de la presse quotidienne mardi, s'amusent de voir le chantre de la VIe République devenir un "faiseur de roi" et pensent qu'il "faudra du talent" aux deux finalistes de la primaire socialiste pour "gérer le cas Montebourg".
Martine Aubry : « Je regrette qu’elle ait fait le choix, depuis un an, de soutenir, épargner et protéger Jean-Noël Guérini. » (AFP, le 30 août 2011.) « Elle est imperméable à toute idée nouvelle. Elle n’a pas été à la hauteur de ce qu’on attendait d’une reconstruction du PS.
François Hollande : « Hollande, c’est Flamby ! » (Dans les couloirs de l’Assemblée nationale en 2003.) « Il est impossible de construire quelque chose avec Hollande, il nous a conduits à deux désastres, celui de 2002 et celui de 2005. » (A Frangy-en-Bresse, le 21 août 2005.) « Ségolène Royal n’a qu’un seul défaut, c’est son compagnon. » (Canal +, 17 juillet 2007.) « Comme le bon vin, il s’améliore avec le temps. » (« L’Express », le 13 juillet 2011.)
Aubry et Hollande : « Je ne vois pas ce qui les sépare, à part une lutte pour le pouvoir. Ils fréquentent tous deux le même cercle de la pensée dominante, de l’énarchie, des réseaux d’influence financiers. » (« Le Monde », le 29 septembre 2011.)
Le Parisien
Dans la famille " Je retourne ma veste " je voudrais le fils !! J'aime pas ce type !
Il pue la vanité et se prend pour qui avec ses consignes !
Il ira manger dans la main du vainqueur va !!!!
Il pue la vanité et se prend pour qui avec ses consignes !
Il ira manger dans la main du vainqueur va !!!!