Arnaud Montebourg, en position d'arbitre de la finale de la primaire socialiste, a renvoyé dos à dos lundi François Hollande et Martine Aubry, «les deux faces d'une même pièce», et n'a pas exclu de ne donner aucune consigne de vote pour dimanche. 25 réactions
Ne pas se faire dicter sa politique et garder le cap tout en lorgnant, forcément, vers les électeurs d'Arnaud Montebourg... Face aux exigences du troisième homme du premier tour, les deux finalistes de la primaire socialiste affichent ce mardi matin leur fermeté. Martine Aubry a indiqué sur France 2 qu'elle ne «changerait pas» tandis que François Hollande s'est refusé à «une politique en zig zag» sur France Info.
Une lettre ouverte et un débat de l'entre deux tours en forme de grand oral : aux finalistes de plaire à Arnaud Montebourg qui fait durer le suspense. Ses 17 % se paieront à prix d'or et avant de signer pour une quelconque union, il attend des gages sérieux et fait monter les enchères.
Il fera «certainement un choix»
«Nous avons en face de nous deux candidats issus de la même tradition politique sociale-démocrate qui utilise les recettes retardataires du passé par rapport à la situation extrêmement grave dans laquelle nous sommes», a estimé Arnaud Montebourg sur Europe 1, ajoutant qu'il ferait «certainement un choix» sans préciser s'il optera pour un candidat ou si, au contraire, il choisira de ne pas se prononcer comme il l'a laissé entendre au 20 heures de France 2 lundi soir.
Seulement, s'ils ont besoin de ces voix pour l'emporter, les deux finalistes n'entendent pas céder si facilement aux exigences du «faiseur de roi». Interrogée sur cette lettre ouverte, la maire de Lille a affirmé qu'elle «ne changerait pas», soulignant qu'elle défendait des points essentiels auxquels tient particulièrement le député de Saône-et-Loire : le contrôle des banques, une Europe protectrice et une rénovation de la vie politique. De son côté, François Hollande se refuse à la danse du ventre. «J'essaie de rester sur une cohérence, sur une constance», a-t-il déclaré le député de Corrèze sur France Info, se refusant «à une politique de zig zag». Au lendemain du premier tour, les partisans des deux finalistes avaient multiplié les appels du pied pour tenter de rallier les électeurs du chantre de la VIe République,
Manuel Valls a appelé, lui, à voter François Hollande, de même que Jean-Michel Baylet. Quant à Ségolène Royal, elle devrait se prononcer avant mercredi soir.
Le Parisien
Decidemment son score lui monte a la tête a celui la !!!
Quelle équipe !
Entre l'autre et ses 35h , Hollande qui se goure de bouton en votant ( heureust que c'etait pas la bombe atomique !) et ce prétentieux ... a nous de choisir !!!!!!!!!!!
Et en ..face c'est pas mieux !!!!!!!!!! Vive la France !!!!!!!
Quelle équipe !
Entre l'autre et ses 35h , Hollande qui se goure de bouton en votant ( heureust que c'etait pas la bombe atomique !) et ce prétentieux ... a nous de choisir !!!!!!!!!!!
Et en ..face c'est pas mieux !!!!!!!!!! Vive la France !!!!!!!