Manifestation de soutien
Parallèlement, le chef des urgences de l'hôpital de Bayonne croule sous les signes de sympathie. Trois à quatre cent personnes, membres soignants de l'hôpital, associatifs ou anonymes, lui ont manifesté mardi leur soutien Dans le hall de l'établissement hospitalier, en blouse blanche ou en tenue civile, elles ont écouté le texte de la pétition lu par le docteur Xavier Hernandorena, ancien pédiatre et ancien président de la commission médicale de cet hôpital. Le texte avait recueilli quelque 700 signatures vers 17 h. «Les signataires tiennent à témoigner des très hautes qualités morales, humaines et professionnelles du docteur Bonnemaison», a lu le docteur Hernandorena, en affirmant le soutien dont bénéficiait le praticien, sous des applaudissements nourris.
Des groupes de soutien sur Internet
« Je tenais à témoigner de sa moralité », a indiqué à l'AFP un chirurgien orthopédiste de l'hôpital de Bayonne sous couvert d'anonymat. «Ce type d'accompagnement à la mort se fait partout, c'est la loi du pas vu pas pris, et j'espère que cette affaire va permettre de légiférer », a-t-il ajouté.
Un infirmier orthopédiste a lui aussi fait part de son envie de « revoir les termes de la loi Léonetti», sur l'euthanasie. «Je suis pour l'assistance à soulager les personnes en fin de vie et j'espère qu'il y aura une grosse remise en question chez les personnes qui l'ont dénoncé », a-t-il ajouté.
Telle la vice-présidente d'une association des familles traumatisés crâniens, de nombreuses personnes disaient «attendre les résultats de l'enquête pour savoir s'il y a eu accord ou pas des familles» de donner la mort.
Depuis l'annonce de sa mise en examen, les groupes de soutien et pétitions se multiplient sur Facebook. Les partisans du docteur sont nombreux à demander la légalisation de l'euthanasie.
LeParisien.fr
Parallèlement, le chef des urgences de l'hôpital de Bayonne croule sous les signes de sympathie. Trois à quatre cent personnes, membres soignants de l'hôpital, associatifs ou anonymes, lui ont manifesté mardi leur soutien Dans le hall de l'établissement hospitalier, en blouse blanche ou en tenue civile, elles ont écouté le texte de la pétition lu par le docteur Xavier Hernandorena, ancien pédiatre et ancien président de la commission médicale de cet hôpital. Le texte avait recueilli quelque 700 signatures vers 17 h. «Les signataires tiennent à témoigner des très hautes qualités morales, humaines et professionnelles du docteur Bonnemaison», a lu le docteur Hernandorena, en affirmant le soutien dont bénéficiait le praticien, sous des applaudissements nourris.
Des groupes de soutien sur Internet
« Je tenais à témoigner de sa moralité », a indiqué à l'AFP un chirurgien orthopédiste de l'hôpital de Bayonne sous couvert d'anonymat. «Ce type d'accompagnement à la mort se fait partout, c'est la loi du pas vu pas pris, et j'espère que cette affaire va permettre de légiférer », a-t-il ajouté.
Un infirmier orthopédiste a lui aussi fait part de son envie de « revoir les termes de la loi Léonetti», sur l'euthanasie. «Je suis pour l'assistance à soulager les personnes en fin de vie et j'espère qu'il y aura une grosse remise en question chez les personnes qui l'ont dénoncé », a-t-il ajouté.
Telle la vice-présidente d'une association des familles traumatisés crâniens, de nombreuses personnes disaient «attendre les résultats de l'enquête pour savoir s'il y a eu accord ou pas des familles» de donner la mort.
Depuis l'annonce de sa mise en examen, les groupes de soutien et pétitions se multiplient sur Facebook. Les partisans du docteur sont nombreux à demander la légalisation de l'euthanasie.
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