EN DIRECT. Routes franciliennes : risques de verglas ce soir
Si les conditions de circulation sont bien meilleures que ce matin, des axes sont toujours bloqués en Ile-de-France. La chute des températures en soirée pourrait à nouveau provoquer des risques de verglas. 180 réactions | RéagirLe Parisien.fr avec les éditions départementales | 09.12.2010, 07h03 | Mise à jour : 16h40 Au lendemain d'une immense pagaille sur les routes, la neige et le verglas continuent de perturber la circulation en Ile-de-France ce jeudi, avec des axes qui demeurent coupés. C'est notamment le cas de la N118 et de la N104.
16h30. Un afflux de camion attendu dans les Yvelines. La levée d'interdiction de circulation des poids lourds devrait provoquer un afflux de camions dans les prochaines minutes sur l'A13 en direction de Paris. Près de 500 véhicules de ce type sont en train de quitter l'aire de Louviers (Eure). «Nous avons mesuré une file de 25 kilomètres de long. On s'attend à quelques perturbations notamment au péage de Buchelay (Yvelines)», indique-t-on à la société des autoroutes Paris-Normandie.
15h20. La situation s'améliore pour les poids lourds en Ile-de-France. La circulation des poids lourds est à nouveau autorisée sur l'A10, l'A4 et l'A5 depuis cet après-midi. L'A12, l'A13, l'A1, l'A3, l'A86 entre l'A3 et l'A6, ainsi que l'autoroute A6 avaient déjà été rouvertes ce jeudi aux véhicules de plus de 7,5 tonnes.
14h45. Le trafic des bus s'améliore. La RATP assure que 75% des liaisons roulent en banlieue. A Paris, le réseau fonctionne normalement, sauf à Montmartre et autour des Buttes Chaumont où la déclivité handicape les autobus.
14h30. Un retour à la normale sur les routes était espéré en milieu d'après-midi au vu d'une météo «pas trop défavorable» en début de journée, selon le directeur interdépartemental des routes Ile-de-France (Dirif), Gérard Sauzet. A la mi-journée, le Centre régional d'information routière (Crir) constatait une «amélioration des conditions de circulation sur l'ensemble du réseau de voirie rapide» de la région, mais la Dirif parlait d'une situation «similaire à ce qu'elle était en matinée».
14 heures. Thierry Mariani estime que «l'épisode neigeux» mercredi à Paris en Ile-de-France, avait été «plus brutal» et était arrivé «plus tôt» que celui annoncé par Météo France, expliquant ainsi ses conséquences désastreuses.
13h25. L’interdiction de circulation des poids lourds de la province vers Paris est prolongée au moins jusqu'à 16 heures, indique le Crirc de Créteil, à l’exception d’un corridor nord-sud (A1 – A3 - A86 – A6) ouvert dans les deux sens de circulation.
12h55. Le millier de camions bloqués depuis mercredi 18 heures au péage de Chamant (Oise), sur l'autoroute A1 dans le Sens Lille-Paris, est autorisé à reprendre la route, à raison de 50 poids lourds toutes les 10 minutes.
12h45. Les urgences des hôpitaux parisiens font le plein. Les chutes sur les trottoirs verglacés provoquent un afflux important dans les services de l'APHP qui regroupent 25% des établissements franciliens. Si aucun chiffre n'est encore disponible, l'institution parisienne relève une «activité dense jeudi matin».
11h30. 340 personnes, sur les 600 accueillies dans la nuit dans des centres d'hébergement de Seine-et-Marne, sont toujours dans l'impossibilité de rentrer chez elles.
11h15. Plusieurs axes franciliens toujours fermés. Outre la N118, bloquée dans les deux sens depuis mercredi, l'A104 intérieure est coupée entre l'A1 et la N2, pour une durée indéterminée. En raison d'un accident de la circulation au niveau de la commune d'Aulnay sous Bois, l'A3 est coupée à la circulation vers la province. Voir le détail des axes fermés.
10h37. Tout est «normal» pour le ministère des Transports. Les aventures neigeuses d'hier sont du domaine du «normal», a estimé une porte-parole de Thierry Mariani. «Déjà, il y a des embouteillages en temps normal, alors quand il y a de la neige, c'est bloqué, c'est normal», a-t-elle relevé, ajoutant qu'«on ne peut pas arrêter la neige». «Les services de l'Etat, en tous cas, ont mis en place toutes les mesures habituelles».
10h15. Ça coince sur le RER A. Par manque de personnel, qui a du mal à se déplacer, le service est ralenti sur l'ensemble de la ligne et les trains s'arrêtent à chaque gare. Sur le RER C, des branches tombées sur la caténaire ont stoppé le trafic dans le sens Versailles-Chantiers Massy Palaiseau. Les bus ne pouvant circuler, la RATP n'a pas pu mettre de moyen de substitution en place. Les bus circulent dans Paris et s'arrêtent aux portes de Paris. Environ 50% du réseau banlieue est exploité. Le trafic est interrompu sur la ligne TVM. Les lignes J et L du réseau Transilien de Saint-Lazare sont perturbées.
9h50. Le match des moyens de locomotion. Deux habitants de Crégy-les-Meaux (Seine-et-Marne) ont mis 35 minutes pour parcourir les 4,5 km qui les séparaient de la cité administrative de Meaux. Le premier était en voiture, le second à pied.
9h45. Peu de voitures circulant, ça roule bien sur les routes. Le Cricr ne recense que 46 km de bouchons. Marc a mis à peine 45 minutes pour aller de Compiègne (Oise) à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). «Le plus impressionnant, relève-t-il, ce sont les murs de camions qui s'étirent de Saint-Chamand au parc Astérix. Toute la voie de droite de l'A1 vers Paris est réservée aux poids-lourds à l'arrêt».
9h26. A la hauteur de Nogent-sur-Marne, l'A4 est fluide. Le RER A est en revanche bloqué en gare de Fontenay-sous-Bois.
9h20. Jean-Marie Le Pen annule une conférence de presse en raison des intempéries.
9h16. 8 000 personnes ont dormi à Vélizy (Yvelines), proche de la N118 totalement bloquée. Parmi elles, 6000 ont dormi dans leurs bureaux (Ndlr : avec de grandes entreprises comme Peugeot, la population de salariés à Vélizy s'élève à 40 000 personnes), 1200 au centre commercial et 600 personnes ont dormi sur les tatamis du gymnase Wagner.
9 heures. L’interdiction de circulation des poids lourds vers Paris est prolongée jusqu'à midi. Toutefois, pour alléger la situation des aires de stockage, le transit nord/sud et sud/nord des camions est autorisé sur le corridor
A1-A3-A86-A6, à l’exclusion absolue de la N104.
8h40. Dans les Yvelines, «il reste des points de difficulté, notamment sur l'A86-N12 dans le sens province-Vélizy, ainsi que sur la N118 au niveau de Saclay ce qui impacte l'A86, sur la N10 à Coignères et des poids lourds sont en portefeuille à Jouy-en-Josas», a précisé Michel Heuzé, directeur de cabinet de la préfète des Yvelines.
8h30. Brice Hortefeux se justifie. Invité d'Europe 1, le ministre de l'Intérieur a d'abord «tenu à partager le sentiment de ceux qui ont été bloqués par la neige». Puis, sans chercher «à nier la réalité», a argué que la situation s'était «aggravée».
8h15. Les guichets de Roissy pris d'assaut. Les pistes de l'aéroport CDG ont été rouvertes, mais il faut préparer les avions et les équipages qui, comme de nombreux automobilistes, étaient bloqués sur les routes. De nombreux passagers des 200 vols annulés hier attendent de pouvoir partir. Beaucoup ont campé dans les aérogares de Charles-de-Gaulle cette nuit.
8h10. Dans le Val-d'Oise, on roule quasi normalement sur les axes principaux, plus difficilement, voire pas du tout sur les axes secondaires. Des plaques de verglas tiennent au sol. La préfecture - qui a mis en place le numéro d'urgence 0800 100 200 - déconseille les déplacements, surtout ceux vers le sud de la région.
8 heures. Le retour à «la normale» sur les routes franciliennes devrait intervenir en milieu d'après-midi, selon le directeur des routes Ile-de-France, Gérard Sauzet, sur Europe 1.
7h55 : environ 3 300 personnes ont été hébergées dans 78 centres d'hébergement en IDF, grâce au dispositif d'hébergement mis en place par les services de l'Etat et les communes. Près d'un millier de salariés ont été bloqués au Commissariat à l'énergie atomique (CEA), sur le plateau de Saclay (Essonne), tandis que 2 800 personnes ont passé la nuit au Technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines).
7h40. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, qui a provoqué la polémique mercredi en estimant qu'il n'y avait pas de pagaille, demande jeudi aux usagers de la route d'Ile-de-France de renoncer à prendre leur véhicule «sauf impératif professionnel absolu».
7h15. La préfecture de zone Ile-de-France se réserve la possibilité d'interdire totalement la circulation sur certains axes, comme c'est le cas sur l'A104, entre l'A5B et l'A4.
7 heures : la N118 toujours bloquée. Cet axe est coupé de Vélizy Aux Ulis dans les deux sens (Yvelines - Essonne) et, en direction de la province, du Pont de Sèvres à Meudon (Hauts-de-Seine). Les bouchons, qui ont atteint un record de plus 400 km mercredi à 20 heures, ont perduré cette nuit, notamment sur cet axe.
6h55. Les rames sont remplies sur les lignes 12 et 4 du métro. De nombreux Parisiens ont renoncé à la voiture, au scooter ou au vélo pour se rendre à leur travail.
6h50 : le trafic RATP perturbé en banlieue. La RATP a autorisé les bus à reprendre la route ce matin, dont le trafic reprend progressivement avec des difficultés en banlieue. «Les 60 lignes de bus parisiennes circulent normalement ou quasi-normalement» dans Paris, mais ceux qui font des navettes Paris-banlieue s'arrêtent aux portes de la capitale ou dans la petite couronne.
Trafic normal ou quasi-normal dans le métro, les RER A et B et le tramway. Sur la ligne C du RER, des agents de conduite ont également eu du mal à rejoindre leur service. Côté SNCF, «les TGV balais qui ont circulé ce jeudi matin n'ont rien signalé de particulier donc le trafic grande vitesse a pu reprendre normalement», mais sur le Transilien, il existe «de petits retards à l'allumage» car les trains avaient été laissés la veille «au mauvais endroit» en raison des intempéries.
6 heures. La préfecture de la zone de défense d'Ile-de-France déconseille de prendre la route ce matin en risque d'importants risques de verglas. La circulation des poids lourds est interdite jusqu'à 9 heures sur les autoroutes de la région parisienne. 3 500 camions ont été «stockés» mercredi après-midi sur des aires d'attente.
5 heures. Les transports scolaires sont interdits ce jeudi dans les Yvelines, l'Essonne, la Seine-et-Marne, l'Aisne, la Marne, la Meuse et les Ardennes, notamment.
Minuit. Au moins 3 000 personnes sont hébergées dans des centres d'urgence en Ile-de-France, essentiellement dans les départements de la grande couronne. Rien que dans les Yvelines, entre 1 500 et 2 000 personnes étaient accueillies dans des centres.
Le Parisien
Si les conditions de circulation sont bien meilleures que ce matin, des axes sont toujours bloqués en Ile-de-France. La chute des températures en soirée pourrait à nouveau provoquer des risques de verglas. 180 réactions | RéagirLe Parisien.fr avec les éditions départementales | 09.12.2010, 07h03 | Mise à jour : 16h40 Au lendemain d'une immense pagaille sur les routes, la neige et le verglas continuent de perturber la circulation en Ile-de-France ce jeudi, avec des axes qui demeurent coupés. C'est notamment le cas de la N118 et de la N104.
16h30. Un afflux de camion attendu dans les Yvelines. La levée d'interdiction de circulation des poids lourds devrait provoquer un afflux de camions dans les prochaines minutes sur l'A13 en direction de Paris. Près de 500 véhicules de ce type sont en train de quitter l'aire de Louviers (Eure). «Nous avons mesuré une file de 25 kilomètres de long. On s'attend à quelques perturbations notamment au péage de Buchelay (Yvelines)», indique-t-on à la société des autoroutes Paris-Normandie.
15h20. La situation s'améliore pour les poids lourds en Ile-de-France. La circulation des poids lourds est à nouveau autorisée sur l'A10, l'A4 et l'A5 depuis cet après-midi. L'A12, l'A13, l'A1, l'A3, l'A86 entre l'A3 et l'A6, ainsi que l'autoroute A6 avaient déjà été rouvertes ce jeudi aux véhicules de plus de 7,5 tonnes.
14h45. Le trafic des bus s'améliore. La RATP assure que 75% des liaisons roulent en banlieue. A Paris, le réseau fonctionne normalement, sauf à Montmartre et autour des Buttes Chaumont où la déclivité handicape les autobus.
14h30. Un retour à la normale sur les routes était espéré en milieu d'après-midi au vu d'une météo «pas trop défavorable» en début de journée, selon le directeur interdépartemental des routes Ile-de-France (Dirif), Gérard Sauzet. A la mi-journée, le Centre régional d'information routière (Crir) constatait une «amélioration des conditions de circulation sur l'ensemble du réseau de voirie rapide» de la région, mais la Dirif parlait d'une situation «similaire à ce qu'elle était en matinée».
14 heures. Thierry Mariani estime que «l'épisode neigeux» mercredi à Paris en Ile-de-France, avait été «plus brutal» et était arrivé «plus tôt» que celui annoncé par Météo France, expliquant ainsi ses conséquences désastreuses.
13h25. L’interdiction de circulation des poids lourds de la province vers Paris est prolongée au moins jusqu'à 16 heures, indique le Crirc de Créteil, à l’exception d’un corridor nord-sud (A1 – A3 - A86 – A6) ouvert dans les deux sens de circulation.
12h55. Le millier de camions bloqués depuis mercredi 18 heures au péage de Chamant (Oise), sur l'autoroute A1 dans le Sens Lille-Paris, est autorisé à reprendre la route, à raison de 50 poids lourds toutes les 10 minutes.
12h45. Les urgences des hôpitaux parisiens font le plein. Les chutes sur les trottoirs verglacés provoquent un afflux important dans les services de l'APHP qui regroupent 25% des établissements franciliens. Si aucun chiffre n'est encore disponible, l'institution parisienne relève une «activité dense jeudi matin».
11h30. 340 personnes, sur les 600 accueillies dans la nuit dans des centres d'hébergement de Seine-et-Marne, sont toujours dans l'impossibilité de rentrer chez elles.
11h15. Plusieurs axes franciliens toujours fermés. Outre la N118, bloquée dans les deux sens depuis mercredi, l'A104 intérieure est coupée entre l'A1 et la N2, pour une durée indéterminée. En raison d'un accident de la circulation au niveau de la commune d'Aulnay sous Bois, l'A3 est coupée à la circulation vers la province. Voir le détail des axes fermés.
10h37. Tout est «normal» pour le ministère des Transports. Les aventures neigeuses d'hier sont du domaine du «normal», a estimé une porte-parole de Thierry Mariani. «Déjà, il y a des embouteillages en temps normal, alors quand il y a de la neige, c'est bloqué, c'est normal», a-t-elle relevé, ajoutant qu'«on ne peut pas arrêter la neige». «Les services de l'Etat, en tous cas, ont mis en place toutes les mesures habituelles».
10h15. Ça coince sur le RER A. Par manque de personnel, qui a du mal à se déplacer, le service est ralenti sur l'ensemble de la ligne et les trains s'arrêtent à chaque gare. Sur le RER C, des branches tombées sur la caténaire ont stoppé le trafic dans le sens Versailles-Chantiers Massy Palaiseau. Les bus ne pouvant circuler, la RATP n'a pas pu mettre de moyen de substitution en place. Les bus circulent dans Paris et s'arrêtent aux portes de Paris. Environ 50% du réseau banlieue est exploité. Le trafic est interrompu sur la ligne TVM. Les lignes J et L du réseau Transilien de Saint-Lazare sont perturbées.
9h50. Le match des moyens de locomotion. Deux habitants de Crégy-les-Meaux (Seine-et-Marne) ont mis 35 minutes pour parcourir les 4,5 km qui les séparaient de la cité administrative de Meaux. Le premier était en voiture, le second à pied.
9h45. Peu de voitures circulant, ça roule bien sur les routes. Le Cricr ne recense que 46 km de bouchons. Marc a mis à peine 45 minutes pour aller de Compiègne (Oise) à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). «Le plus impressionnant, relève-t-il, ce sont les murs de camions qui s'étirent de Saint-Chamand au parc Astérix. Toute la voie de droite de l'A1 vers Paris est réservée aux poids-lourds à l'arrêt».
9h26. A la hauteur de Nogent-sur-Marne, l'A4 est fluide. Le RER A est en revanche bloqué en gare de Fontenay-sous-Bois.
9h20. Jean-Marie Le Pen annule une conférence de presse en raison des intempéries.
9h16. 8 000 personnes ont dormi à Vélizy (Yvelines), proche de la N118 totalement bloquée. Parmi elles, 6000 ont dormi dans leurs bureaux (Ndlr : avec de grandes entreprises comme Peugeot, la population de salariés à Vélizy s'élève à 40 000 personnes), 1200 au centre commercial et 600 personnes ont dormi sur les tatamis du gymnase Wagner.
9 heures. L’interdiction de circulation des poids lourds vers Paris est prolongée jusqu'à midi. Toutefois, pour alléger la situation des aires de stockage, le transit nord/sud et sud/nord des camions est autorisé sur le corridor
A1-A3-A86-A6, à l’exclusion absolue de la N104.
8h40. Dans les Yvelines, «il reste des points de difficulté, notamment sur l'A86-N12 dans le sens province-Vélizy, ainsi que sur la N118 au niveau de Saclay ce qui impacte l'A86, sur la N10 à Coignères et des poids lourds sont en portefeuille à Jouy-en-Josas», a précisé Michel Heuzé, directeur de cabinet de la préfète des Yvelines.
8h30. Brice Hortefeux se justifie. Invité d'Europe 1, le ministre de l'Intérieur a d'abord «tenu à partager le sentiment de ceux qui ont été bloqués par la neige». Puis, sans chercher «à nier la réalité», a argué que la situation s'était «aggravée».
8h15. Les guichets de Roissy pris d'assaut. Les pistes de l'aéroport CDG ont été rouvertes, mais il faut préparer les avions et les équipages qui, comme de nombreux automobilistes, étaient bloqués sur les routes. De nombreux passagers des 200 vols annulés hier attendent de pouvoir partir. Beaucoup ont campé dans les aérogares de Charles-de-Gaulle cette nuit.
8h10. Dans le Val-d'Oise, on roule quasi normalement sur les axes principaux, plus difficilement, voire pas du tout sur les axes secondaires. Des plaques de verglas tiennent au sol. La préfecture - qui a mis en place le numéro d'urgence 0800 100 200 - déconseille les déplacements, surtout ceux vers le sud de la région.
8 heures. Le retour à «la normale» sur les routes franciliennes devrait intervenir en milieu d'après-midi, selon le directeur des routes Ile-de-France, Gérard Sauzet, sur Europe 1.
7h55 : environ 3 300 personnes ont été hébergées dans 78 centres d'hébergement en IDF, grâce au dispositif d'hébergement mis en place par les services de l'Etat et les communes. Près d'un millier de salariés ont été bloqués au Commissariat à l'énergie atomique (CEA), sur le plateau de Saclay (Essonne), tandis que 2 800 personnes ont passé la nuit au Technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines).
7h40. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, qui a provoqué la polémique mercredi en estimant qu'il n'y avait pas de pagaille, demande jeudi aux usagers de la route d'Ile-de-France de renoncer à prendre leur véhicule «sauf impératif professionnel absolu».
7h15. La préfecture de zone Ile-de-France se réserve la possibilité d'interdire totalement la circulation sur certains axes, comme c'est le cas sur l'A104, entre l'A5B et l'A4.
7 heures : la N118 toujours bloquée. Cet axe est coupé de Vélizy Aux Ulis dans les deux sens (Yvelines - Essonne) et, en direction de la province, du Pont de Sèvres à Meudon (Hauts-de-Seine). Les bouchons, qui ont atteint un record de plus 400 km mercredi à 20 heures, ont perduré cette nuit, notamment sur cet axe.
6h55. Les rames sont remplies sur les lignes 12 et 4 du métro. De nombreux Parisiens ont renoncé à la voiture, au scooter ou au vélo pour se rendre à leur travail.
6h50 : le trafic RATP perturbé en banlieue. La RATP a autorisé les bus à reprendre la route ce matin, dont le trafic reprend progressivement avec des difficultés en banlieue. «Les 60 lignes de bus parisiennes circulent normalement ou quasi-normalement» dans Paris, mais ceux qui font des navettes Paris-banlieue s'arrêtent aux portes de la capitale ou dans la petite couronne.
Trafic normal ou quasi-normal dans le métro, les RER A et B et le tramway. Sur la ligne C du RER, des agents de conduite ont également eu du mal à rejoindre leur service. Côté SNCF, «les TGV balais qui ont circulé ce jeudi matin n'ont rien signalé de particulier donc le trafic grande vitesse a pu reprendre normalement», mais sur le Transilien, il existe «de petits retards à l'allumage» car les trains avaient été laissés la veille «au mauvais endroit» en raison des intempéries.
6 heures. La préfecture de la zone de défense d'Ile-de-France déconseille de prendre la route ce matin en risque d'importants risques de verglas. La circulation des poids lourds est interdite jusqu'à 9 heures sur les autoroutes de la région parisienne. 3 500 camions ont été «stockés» mercredi après-midi sur des aires d'attente.
5 heures. Les transports scolaires sont interdits ce jeudi dans les Yvelines, l'Essonne, la Seine-et-Marne, l'Aisne, la Marne, la Meuse et les Ardennes, notamment.
Minuit. Au moins 3 000 personnes sont hébergées dans des centres d'urgence en Ile-de-France, essentiellement dans les départements de la grande couronne. Rien que dans les Yvelines, entre 1 500 et 2 000 personnes étaient accueillies dans des centres.
Le Parisien
Et ca continue encore et encore ...c'est que le début d'accord , d'accord ???? Grrrrrr ! 
