L’incompréhension et l’émotion dominent dans la petite ville de Rouillac (Charente), après l’incroyable drame qui s’est produit mardi soir aux Marronniers, une résidence pour personnes âgées gérée par la Croix-Rouge. Une femme de 97 ans a été retrouvée morte dans sa chambre, après une altercation violente avec une autre retraitée de 91 ans.
Je n’ai jamais entendu parler d’une chose pareille », avoue le maire, Michel Trainaud. « Les faits se sont déroulés vers 21 heures. Tous les pensionnaires étaient dans leurs chambres. Les membres du personnel ont entendu des cris et se sont précipités, mais il était trop tard. La vieille dame était déjà morte sur son lit, et l’autre femme blessée et hébétée », explique l’élu. L’autopsie a montré qu’elle est décédée d’une crise cardiaque, sans doute provoquée par l’agression. Elle portait la trace d’un coup au front, mais sans que celui-ci ne soit mortel. L’autre nonagénaire avait une plaie ouverte et profonde à la tête.
Un problème psychologique
« La femme qui a sans doute agressé l’autre personne n’a pas un caractère facile », indique un proche de l’enquête. La cause de l’altercation n’a pas été établie, mais est peut-être liée à un problème psychologique. « Cette dame a été soignée en hôpital psychiatrique. Il faudra s’interroger sur sa responsabilité pénale. Il n’est pas possible de l’entendre pour l’instant », remarque le procureur d’Angoulême, Nicolas Jacquet. Une enquête administrative a été ouverte à la demande du préfet dans la maison de retraite, sur les conditions de surveillance des pensionnaires.
Les proches de la victime sont atterrés. « Juliette Kennel était comme ma grand-mère. Elle ne m’a jamais parlé de difficultés de relation avec qui que ce soit », témoigne Marie, une de ses plus proches amies. « Elle était arrivée aux Marronniers il y a un an. Elle s’était bien intégrée », assure-t-elle en avouant elle aussi son incompréhension
Le Parisien
Je n’ai jamais entendu parler d’une chose pareille », avoue le maire, Michel Trainaud. « Les faits se sont déroulés vers 21 heures. Tous les pensionnaires étaient dans leurs chambres. Les membres du personnel ont entendu des cris et se sont précipités, mais il était trop tard. La vieille dame était déjà morte sur son lit, et l’autre femme blessée et hébétée », explique l’élu. L’autopsie a montré qu’elle est décédée d’une crise cardiaque, sans doute provoquée par l’agression. Elle portait la trace d’un coup au front, mais sans que celui-ci ne soit mortel. L’autre nonagénaire avait une plaie ouverte et profonde à la tête.
Un problème psychologique
« La femme qui a sans doute agressé l’autre personne n’a pas un caractère facile », indique un proche de l’enquête. La cause de l’altercation n’a pas été établie, mais est peut-être liée à un problème psychologique. « Cette dame a été soignée en hôpital psychiatrique. Il faudra s’interroger sur sa responsabilité pénale. Il n’est pas possible de l’entendre pour l’instant », remarque le procureur d’Angoulême, Nicolas Jacquet. Une enquête administrative a été ouverte à la demande du préfet dans la maison de retraite, sur les conditions de surveillance des pensionnaires.
Les proches de la victime sont atterrés. « Juliette Kennel était comme ma grand-mère. Elle ne m’a jamais parlé de difficultés de relation avec qui que ce soit », témoigne Marie, une de ses plus proches amies. « Elle était arrivée aux Marronniers il y a un an. Elle s’était bien intégrée », assure-t-elle en avouant elle aussi son incompréhension
Le Parisien
Eh oui même en maison de retraite la sécurité n'est pas assurée !! Il est arrivé exactement la même chose a ma tante qui en est aussi décédée comme je vous l'avais raconté !!!! Hélas on en verra d'autres va n'est ce pas Pascal !!!!!