Mardi soir, un membre de la direction de la maison de retraite La Cerisaie, à Castelmaurou, en Haute-Garonne, a alerté la gendarmerie après avoir constaté que deux pensionnaires, âgés de plus de 80 ans, étaient blessés, après s'être battus.
Une fois sur place, les gendarmes ont constaté qu'au vu de leur grand âge, les pensionnaires n'avaient pas pu provoquer de telles blessures.
Des gendarmes qui ont également constaté que les pensionnaires présentaient de nombreux hématomes sur le corps.
Les vieilles personnes ont été évacuées vers un hôpital de la région.
Les militaires ont interpellé un agent du personnel soignant qui avait les mains écorchées et des tâches de sang sur ses vêtements, indique La Dépêche.
Au moment de son interpellation, l'employé était ivre. Un employé qui, une fois dégrisé, a reconnu les faits, au cours de sa garde à vue.
Il a confié aux enquêteurs ne pas savoir les raisons pour lesquelles, il avait frappé les pensionnaires.
Tout en ajoutant qu'il avait "pété les plombs".
La directrice de l'établissement a porté plainte contre cet agent soignant qui a été mis en examen.
offusquez-vous, braves gens !!
Les vieux dans les maisons, s'ils ne sont généralement pas frappés, sont la plupart du temps malmenés.
Mises à part les très chers "hôtels" pour vieux riches, les maisons manquent généralement de personnel et de moyens.
Les familles prennent fréquemment leurs distances, les uns espèrent confusément que les autres sont plus attentifs...et vice-versa.
De toute façon, un vieux, ça pue, ça prend du temps, ça remue de vilains souvenirs et on a plein de raisons pour ne pas avoir le temps.
Le personnel ne peut pas trop mettre son affect dans le travail ; il ne resterait pas longtemps sans y laisser des plumes : il y a tellement des misères dans ces fins de vies.
Je n'excuse sûrement pas les violences envers nos anciens, mais j'en veux viscéralement à tout un système qui laisse faire et ne prend pas les dispositions pour traiter nos anciens en Humains...tout simplement.
Alors, bêlez en remuant la tête; offusquez-vous stérilement ; un jour c'est vous qui serez dans un fauteuil roulant, la tête penchée d'un côté, braillant dans les couloirs qui puent la pisse en attendant une jeune nana débordée qui passe son temps à parer au plus préssé !
Une fois sur place, les gendarmes ont constaté qu'au vu de leur grand âge, les pensionnaires n'avaient pas pu provoquer de telles blessures.
Des gendarmes qui ont également constaté que les pensionnaires présentaient de nombreux hématomes sur le corps.
Les vieilles personnes ont été évacuées vers un hôpital de la région.
Les militaires ont interpellé un agent du personnel soignant qui avait les mains écorchées et des tâches de sang sur ses vêtements, indique La Dépêche.
Au moment de son interpellation, l'employé était ivre. Un employé qui, une fois dégrisé, a reconnu les faits, au cours de sa garde à vue.
Il a confié aux enquêteurs ne pas savoir les raisons pour lesquelles, il avait frappé les pensionnaires.
Tout en ajoutant qu'il avait "pété les plombs".
La directrice de l'établissement a porté plainte contre cet agent soignant qui a été mis en examen.
offusquez-vous, braves gens !!
Les vieux dans les maisons, s'ils ne sont généralement pas frappés, sont la plupart du temps malmenés.
Mises à part les très chers "hôtels" pour vieux riches, les maisons manquent généralement de personnel et de moyens.
Les familles prennent fréquemment leurs distances, les uns espèrent confusément que les autres sont plus attentifs...et vice-versa.
De toute façon, un vieux, ça pue, ça prend du temps, ça remue de vilains souvenirs et on a plein de raisons pour ne pas avoir le temps.
Le personnel ne peut pas trop mettre son affect dans le travail ; il ne resterait pas longtemps sans y laisser des plumes : il y a tellement des misères dans ces fins de vies.
Je n'excuse sûrement pas les violences envers nos anciens, mais j'en veux viscéralement à tout un système qui laisse faire et ne prend pas les dispositions pour traiter nos anciens en Humains...tout simplement.
Alors, bêlez en remuant la tête; offusquez-vous stérilement ; un jour c'est vous qui serez dans un fauteuil roulant, la tête penchée d'un côté, braillant dans les couloirs qui puent la pisse en attendant une jeune nana débordée qui passe son temps à parer au plus préssé !