Billet d’humeur sur l’actualité.

Oscar a écrit:j'adore les yaourts!

Jean-pierre a écrit:Si je suis d'accords avec toi en ce qui concerne la radio et la télé, je le suis moins en pour ce qui est d'internet.

On peut chercher des informations ou recouper celle que l'on nous donne en allant sur des sites étrangers.

Pour peu que l'on déchiffre raisonnablement l'anglais on a rapidement un autre regard sur l'information telle qu'elle est donnée en France.

Vive le Canard Enchainé!

on a pas à se substituer aux parents !!

Clio a écrit:ils ne savent plus quoi nous inventer

"Ce qui me choque c'est que Jean-Marc Rouillan n'ait aucun élément de regret, de contrition par rapport à ce qui s'est fait, l'assassinat" de l'ancien patron de Renault Georges Besse, a estimé François Hollande. Mercredi sur Europe 1, le premier secrétaire du PS a été le premier à commenter d'un point de vue politique l'interview accordée par l'ex-dirigeant d'Action Directe à l'hebdomadaire L'Express. "Olivier Besancenot aurait intérêt à se débarrasser de cet adhérent-là car il est vraiment encombrant", estime François Hollande.

Dans cette interview, Jean-Marc Rouillan, qui n’a pas le droit de s’exprimer sur les faits pour lesquels il a été jugé et qui pourrait perdre au passage le bénéfice d'un régime de semi-liberté, s'explique sur son engagement auprès d'Olivier Besancenot. "En tant que communiste, je reste convaincu que la lutte armée à un moment du processus révolutionnaire est nécessaire", dit-il. Jean-Marc Rouillan explique aussi qu’il a l’intention d'adhérer au Nouveau Parti Anticapitaliste qui doit voir le jour fin janvier 2009 pour prendre la succession de la Ligue communiste révolutionnaire. Tout en prenant bien en compte les remous politiques que cela peut causer.

"Je peux faire peur à beaucoup de monde... A notre première rencontre, j'ai prévenu (Olivier) Besancenot : 'ma présence peut faire du bordel. Réfléchissez, vous pouvez dire non'... Il m'a dit que c'était réfléchi et qu'ils étaient d'accord", explique Jean-Marc Rouillan. En septembre, en présentant le NPA, Olivier Besancenot avait lancé : "Le parti sera révolutionnaire au sens contemporain du terme, c'est-à-dire en essayant de regrouper ceux qui pensent qu'il faut mettre à bas cette société et en construire une nouvelle".

Mais mercredi soir, dans un communiqué, la LCR qui est aujourd'hui toujours le parti d'Olivier Besancenot a pris ses distances avec Jean-Marc Rouillan. "La LCR tient à réaffirmer qu'elle a toujours rejeté et condamné les actions et la politique d'Action directe" et qu'elle "est en désaccord avec les déclarations récentes de Jean-Marc Rouillan". Au passage, ce parti d'extrême-gauche "dénonce une opération politique visant à tenter de criminaliser le NPA", "au moment où les préoccupations principales des Français, de la population, tournent autour de la crise économique et de ses conséquences" et où "les réponses politiques du NPA rentrent de plus en plus en écho avec ces préoccupations". Enfin sur le volet judiciaire de cette affaire, la LCR a estimé que le co-fondateur d'Action directe avait purgé sa peine et ne devait donc pas être incarcéré de nouveau.

C'est une position semblable qu'a exprimée samedi par Lutte Ouvrière. L'organisation trotskiste a dénoncé la réincarcération de Jean-Marc Rouillan, estimant que le cofondateur d'Action directe paie "manifestement (un) délit d'opinion", tout en rappelant son opposition au "terrorisme individuel".

oscar a écrit: