Et bien, le nain de l’UMP le voilà arrivé à ça suprême ambition.
« Ho pardon ! »
Monsieur Nicolas Sarkozy président de la république de tous les français !
Vraiment, je devais faire attention à la façon de le décrire et dessiner.
Si je ne veux pas un jour, me retrouver embastillé dans une cellule pour outrage à la fonction présidentielle.
Aujourd’hui, cela été un grand moment d’émotion pour ses fans électeurs.
Car le nouveau messie sauveur de la France en péril a officiellement désormais les pleins pouvoirs que lui confère la fonction de chef d'état.
Chirac lui transmit le flambeau de l’autorité, la combinaison du feu atomique et les discrètes meilleures maisons closes de Paris.
Une auditrice émue en pleurait d’émotion en direct sur les ondes radio de RTL.
« Mais pourquoi donc, je n’arrive pas pleurer ? »
« Souffrais-je d’un manque de sensibilité patriotique ? »
« Suis-je un citoyen normal pour ne pas adhérer les yeux
fermés à Sarkozy ? »
A moins, qu’un fin politologue avisé, m’explique le paradoxe suivant :
« Comment peut-on prétendre être le rassembleur de la nation, quand Sarkozy a fabriqué toute sa stratégie de campagne sur la rupture et les rapport de force entres les différentes catégories sociales. »
Oui, je n’ai rien compris à la nouvelle politique prôné par ce politicien nouvelle vague !
Certainement, que je ne suis pas à « sa hauteur » pour ingérer son artificiel charisme.
Oscar