Lors de sa venue, ce dimanche, à Hénin-Beaumont, Marine Le Pen fait un bref passage à une exposition de voitures anciennes. Amusée par le pittoresque des véhicules, elle s'assoit au volant d'une antique Coccinelle Volkswagen. Photo pour la presse, coucou par le toit ouvrant et publication sur X avec ce commentaire : « En route pour la rentrée !»
Dans son bunker anti-fasciste, Sandrine Rousseau découvre le cliché sur le réseau social. Le Sherlock Holmes de la gauche s'empare de sa loupe et examine l'image avec attention. Chaque pixel compte. Le bon docteur Watson arrive à la rescousse. Pas de doute, il s'agit d'un modèle Volkswagen des « années les plus sombres de notre Histoire ». L'enquêtrice publie l'image du méfait suivie de l'illustration d'un article des Échos : « 1937 : Comment Hitler impose l'auto du peuple. » Effrayant. Même modèle, même dictateur en herbe. La détective livre sa conclusion : « Je ne peux pas croire que ce soit un hasard. » Non. Il y a des signes qui ne trompent pas. Sandrine Rousseau est au bout du rouleau. Désormais recyclée dans l'argument d'occasion, l'égérie écolo explore ses fonds de tiroir. Un pack d'eau de Vichy ayant appartenu à Jordan Bardella, une moustache récupérée chez le barbier de Louis Aliot, la chemise brune à fleurs de Bruno Gollnisch... À saisir avant liquidation.
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Toujours la même chose, les Verts ne savent pas faire autrement que d'être dans la polémique stérile et dans l'attaque personnelle des autres partis, preuve qu'ils n'ont rien à dire sur la politique et rien à dire sur l'écologie.
C'est d'autant plus idiot qu'ils rappellent qu'Hitler n'a pas été qu'un fou sanguinaire, mais aussi quelqu'un qui a développé l'industrie de son pays et donné au peuple les moyens de se déplacer.
Bravo Rousseau, bravo les écolos.