Le calendrier d'Ursula von der Leyen est clair : les nations européennes sont tenues d'absorber leur quota de migrants. Quitte à piétiner la volonté des peuples. Le Macronistan prendra sa part, lui aussi...
Au moment même où Ursula von der Leyen impose sa vision de l’Europe migratoire à Bruxelles, un bandeau bien serré sur les yeux, la révolte gronde dans les vieilles nations. La Suède vient d'envoyer au pouvoir, dans une coalition, le parti des Démocrates de Suède qui a fait de l’immigration son cheval de bataille. Une immense victoire, symbolique, dans ce pays qu’on nous a présenté comme un modèle d’immigration réussie. Dimanche, Giorgia Meloni, en Italie, risque de faire à son tour trembler les chantres de la destruction des vieilles nations européennes, déjà impuissants devant les succès électoraux du Hongrois Viktor Orbán. En Espagne, le parti Vox prend de l’ampleur. Le Royaume-Uni a claqué la porte de l’Europe sans retour. Lors du deuxième tour de la présidentielle, plus de quatre Français sur dix ont voté pour Marine Le Pen, dont l’opposition à l’immigration est nette. Au premier tour, 7 % des Français avaient choisi Éric Zemmour qui a fait campagne sur ce thème.
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Il faudra un jour se poser la question sur les motifs de cette femme, elle ne peut pas ne pas savoir tous les désordres et les assassinats faits par l'immigration, et cela quel que soit le pays de l'UE.
Elle ne peut pas ne pas être au courant de la somme colossale que nous coûte l'immigration dans tous les pays de l'Union européenne.
Alors quels sont les motifs profonds de cette femme ?