L'info non-censurée : Le temps des tribus ou le nouveau monde en gestationJ'ai écouté, c'est très mignon, Monsieur Michel...
Mais ne serait-ce pas plus utile d'analyser les activités du monde de la finance pour comprendre ce qu'il a fait et surtout là où il veut mener les peuples ?
Bien entendu qu'en petits groupes, les humains peuvent réaliser de nobles choses.
Le problème est la masse, cette masse qui a tant besoin de productivité, de bas prix et de nourriture !
Ce dont vous traitez dans votre vidéo me fait passer à ces deux mondes que sont les gens qui vont en masse faire leur course dans les hypermarchés par rapport à ceux qui vont, en très petit nombre, faire leurs achats dans des "marchés à la ferme".
Est-ce qu'une seule exploitation agricole pourrait vivre intégralement des ventes réalisées dans son marché à la ferme ?
Je pense qu'il est essentiel de permettre au public de comprendre le fonctionnement des multinationales, la prise de contrôle qu'elles opèrent là où se trouvent des richesses, des valeurs, des affaires...
À partir de là, de permettre aux citoyens d'adapter leurs comportements, leurs placements, investissements, dépenses, etc...
Le monde d'en-haut a besoin du monde d'en-bas tout en faisant croire l'inverse.Mais jusqu'à quel point ce besoin des gens d'en-haut permettrait à ceux d'en-bas de renverser la vision actuelle de chacun ?
Par exemple, j'ai toujours pensé que
les paysans devraient être les travailleurs les plus riches sur terre, vu le besoin que nous avons d'eux.
Alors que ce sont quasi les travailleurs les plus pauvres et surtout les plus maltraités !En ajoutant une vision très laide qu'ont les "autres" d'eux, à cause de ces fameuses "aides" dont les paysans dépendent.
J'ai une pensée équivalent de toutes ces personnes que j'appelle "
les petites mains"...
Ces petites mains qui réalisent des produits vendus comme étant d'exception qu'elles n'auraient même pas les moyens de se payer.
Ce sont ceux d'en-bas qui rendent riches ceux d'en-haut.Mais peuvent-ils cesser de le faire ? Là est le sujet à creuser, Mr Michel.