L’inspiration c’est comme les champignons, quand il n’y en a pas, faut apprendre à faire sans…
D’inspiration, je manquais aujourd’hui pour écrire un article. Et soudain, comme la lumière vint aux Rois mages pour trouver le chemin de Bethléem, j’ai été illuminé par une information éclatante : les cinquante ans du torche-cul Libération !
Cinquante années de sévices idéologiques qui n’ont pas peu contribué à la déconstruction méthodique – et non moins jouissive pour ces cancrelats journaleux – de la France, avec le résultat enviable que l’on sait. Libération, ce journal gauchiste mondain, fondé, entre autres, par la grande gueule la plus veule et vilaine de la littérature française du XXe siècle : Jean-Paul Sartre, l’homme qui racontait comment faire mais qui n’a rien fait du tout. L’homme encore qui, juste préoccupé de sa gloire, rampait sous l’Occupation et s’est, toute honte bue, inventé un destin de résistant après-guerre. Destin qui n’a jamais pu être authentifié.
Sartre dont Céline avait brossé un portrait d’une justesse rigoureuse, en ces termes : « Ces yeux d’embryonnaire ? ces mesquines épaules ?… ce gros petit
ripostelaique.com
C'est ce qu'on appelle un pamphlet asses violent quand même, mais je pense que "Libération" le vaut bien.
Libération de quoi d'ailleurs ? Du peu, que j'ai lu de ce média, ils devraient surtout se libérer du carcan de leurs idées et faire du journalisme au lieu de faire de la propagande.
C'est exactement le genre de média qui n'existerait plus s'il n'était pas perfusé à l'argent public de l'état parce que finalement qui sont les lecteurs de ce truc-là et surtout combien reste-t-il de personnes ayant la même idéologie un peu nauséabonde ?