par Jean-pierre Lun 9 Mar - 23:01Ce trouble persistent des organes génitaux est particulièrement difficile à vivre au quotidien pour cette Anglaise.
Lorna Harrison, une Britannique de 51 ans, souffre d’une condition médicale particulièrement difficile à assumer au quotidien : le syndrome d’excitation génitale persistante.
Une condition tellement envahissante que Lorna est parfois incapable de sortir de chez elle. « Ça a l’air d’être bien mais c’est très inconfortable, fatiguant. Ça peut arriver n’importe où, n’importe quand ». Ce syndrome peut en effet lui provoquer jusqu’à 11 orgasmes par jour. Lorna s’est rendu compte du mal dont elle souffrait après être passée au-dessus d’un casse-vitesse avec sa voiture en janvier 2019. « J’ai eu une sensation de martèlement et de gonflement en bas. J’ai eu de la chance de ne pas avoir fait d’accident parce que je n’avais plus le contrôle de mon corps », explique la Britannique à nos confrères du Sun.
Ce n’est qu’en juillet 2019 qu’elle consulte son gynécologue alors que les symptômes deviennent de plus en plus récurrents. Ce dernier lui a proposé des traitements pour l’épilepsie afin de réduire la longueur des épisodes. « Mon copain trouvait ça drôle au départ mais maintenant on ne peut plus s’embrasser passionnément parce que ça me lance directement. On arrive quand même à coucher ensemble, ce qui est un soulagement vu que le reste du temps c’est une véritable torture » poursuit Lorna. « D’un côté, je souffre réellement de ce trouble. Et de l’autre, quand j’ai un orgasme très intense, je veux le garder ! »
Le syndrome est particulièrement rare chez les femmes, mais a déjà provoqué deux suicides dans le monde.
sudinfo
La pauvre, il ne faudrait pas qu'elle habite certains villages autour de chez moi sinon elle ne saurait pas sorti de chez elle tellement il y a de casse-vitesses !
J'avoue que je ne connaissais pas du tout ce genre de maladie et si ça prête à sourire au premier abord ça ne doit pas être facile à vivre ni pour elle ni pour son compagnon.
