Au Japon les musulmans n’ont pas droit à la résidence permanente.
La propagation de l’Islam au Japon est très mal vue par la population.
Dans les Universités du Japon, l’arabe et l’islam ne sont pas enseignés, dans quelque langue que ce soit
L’importation de Corans en langue arabe est interdite
Les Japonais ne sont pas attirés par l’Islam.
Les rares musulmans résidant au Japon sont des salariés des sociétés étrangères.
Aujourd’hui, le Japon n’accorde plus de visas aux médecins, ingénieurs, ou gestionnaires musulmans envoyés par des sociétés étrangères.
Dans la majorité des entreprises, il est précisé dans les règlements que les musulmans ne peuvent pas postuler pour un emploi.
Le gouvernement japonais considèrent que les musulmans sont des fondamentalistes qui même à l’ère de la mondialisation, ne sont pas prêts à changer leurs lois musulmanes.
Les musulmans peuvent difficilement louer une maison, au Japon
Nul ne peut créer une école islamique, au Japon
La charia n’est pas autorisée au Japon
Si une femme japonaise se marie avec un musulman, elle est considérée comme une paria.
Selon M. Komico Yagi (chef de département de l’Université de Tokyo) « Il y a un état d’esprit au Japon selon lequel l’islam est une religion très étroite d’esprit et chacun devrait se tenir à l’écart de cette religion »
Le journaliste indépendant Mohamed Juber a visité de nombreux pays islamiques après les attentats du 11 septembre, y compris le Japon.
Il a constaté que les Japonais sont persuadés que les extrémistes musulmans ne peuvent pas frapper au Japon.
Le Japon compte 126 millions d’habitants. Interrogé sur le nombre de musulmans, Abu Bakr Morimoto, ex-président de l’association islamique japonaise répondait : « franchement, il y a peut-être 1000 musulmans japonais, et le nombre de 30.000 est très largement exagéré ».
Quelques Japonais ont entendu parler de l’islam pour la première fois en 1877, mais seulement comme « histoire des cultures ».
Il y a une trentaine « d’appartements mosquées » dans tout le Japon. Selon japanfocus.org14, il y a actuellement (2012) entre 30 et 40 mosquées officielles au Japon
La majorité des Japonais considèrent que l’islam est une religion étrange de pays sous-développés.
Au Japon, on ne trouve ni nourriture halal, ni éducation islamique, ni médias en arabe, ni littérature islamique.
La propagation de l’Islam au Japon est très mal vue par la population.
Dans les Universités du Japon, l’arabe et l’islam ne sont pas enseignés, dans quelque langue que ce soit
L’importation de Corans en langue arabe est interdite
Les Japonais ne sont pas attirés par l’Islam.
Les rares musulmans résidant au Japon sont des salariés des sociétés étrangères.
Aujourd’hui, le Japon n’accorde plus de visas aux médecins, ingénieurs, ou gestionnaires musulmans envoyés par des sociétés étrangères.
Dans la majorité des entreprises, il est précisé dans les règlements que les musulmans ne peuvent pas postuler pour un emploi.
Le gouvernement japonais considèrent que les musulmans sont des fondamentalistes qui même à l’ère de la mondialisation, ne sont pas prêts à changer leurs lois musulmanes.
Les musulmans peuvent difficilement louer une maison, au Japon
Nul ne peut créer une école islamique, au Japon
La charia n’est pas autorisée au Japon
Si une femme japonaise se marie avec un musulman, elle est considérée comme une paria.
Selon M. Komico Yagi (chef de département de l’Université de Tokyo) « Il y a un état d’esprit au Japon selon lequel l’islam est une religion très étroite d’esprit et chacun devrait se tenir à l’écart de cette religion »
Le journaliste indépendant Mohamed Juber a visité de nombreux pays islamiques après les attentats du 11 septembre, y compris le Japon.
Il a constaté que les Japonais sont persuadés que les extrémistes musulmans ne peuvent pas frapper au Japon.
Le Japon compte 126 millions d’habitants. Interrogé sur le nombre de musulmans, Abu Bakr Morimoto, ex-président de l’association islamique japonaise répondait : « franchement, il y a peut-être 1000 musulmans japonais, et le nombre de 30.000 est très largement exagéré ».
Quelques Japonais ont entendu parler de l’islam pour la première fois en 1877, mais seulement comme « histoire des cultures ».
Il y a une trentaine « d’appartements mosquées » dans tout le Japon. Selon japanfocus.org14, il y a actuellement (2012) entre 30 et 40 mosquées officielles au Japon
La majorité des Japonais considèrent que l’islam est une religion étrange de pays sous-développés.
Au Japon, on ne trouve ni nourriture halal, ni éducation islamique, ni médias en arabe, ni littérature islamique.