Après 401 jours sans gouvernement, la Belgique semble enfin voir le bout du tunnel. Jeudi, jour de fête nationale, le chef socialiste francophone belge Elio Di Rupo a réussi à convaincre huit partis de travailler ensemble pour mettre fin à une crise belge sans précédent. Quatre partis francophones (dont le PS) et quatre flamands se sont mis d'accord pour trouver un compromis.
Les Belges devront toutefois faire (encore) preuve de patience. «Les négociations ne démarreront pas tout de suite», précise un communiqué du Palais. Le roi Albert II a proposé au chef du PS une «trêve» jusqu'à la mi-août pour permettre aux responsables politiques belges de se reposer de leur «grande fatigue». «Les discussions reprendront sur la base de l’organisation des travaux» que M. Di Rupo a fait avaliser par les huit partis, précise le Palais.
Si désormais, chacun est prêt à négocier, les relations entre Néerlandophones et Francophones restent plus tendues que jamais. Dans un communiqué séparé, le chef du PS a indiqué que les tractations commenceraient par le dossier le plus épineux, celui de la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde dit «BHV», à la demande express du parti CD&V, qui fixe en priorité la suppression des droits électoraux et judiciaires des francophones de la banlieue de Bruxelles, située en Flandre. Seulement en face, un responsable du parti libéral francophone, le MR, prévient déjà que lors de ces négociations, il se réservait de déposer des amendements, y compris sur l'élargissement de Bruxelles. Un autre casus belli pour les Flamands.
LeParisien.fr
Les Belges devront toutefois faire (encore) preuve de patience. «Les négociations ne démarreront pas tout de suite», précise un communiqué du Palais. Le roi Albert II a proposé au chef du PS une «trêve» jusqu'à la mi-août pour permettre aux responsables politiques belges de se reposer de leur «grande fatigue». «Les discussions reprendront sur la base de l’organisation des travaux» que M. Di Rupo a fait avaliser par les huit partis, précise le Palais.
Si désormais, chacun est prêt à négocier, les relations entre Néerlandophones et Francophones restent plus tendues que jamais. Dans un communiqué séparé, le chef du PS a indiqué que les tractations commenceraient par le dossier le plus épineux, celui de la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde dit «BHV», à la demande express du parti CD&V, qui fixe en priorité la suppression des droits électoraux et judiciaires des francophones de la banlieue de Bruxelles, située en Flandre. Seulement en face, un responsable du parti libéral francophone, le MR, prévient déjà que lors de ces négociations, il se réservait de déposer des amendements, y compris sur l'élargissement de Bruxelles. Un autre casus belli pour les Flamands.
LeParisien.fr
J'y comprends pas grand chose mais ...401 jours ..il est peut être temps non ????