Au moment de fuguer, les jeunes filles ne se doutaient pas de l'enfer qui les attendait. Selon le Dauphiné libéré, une jeune femme de tout juste 18 ans a porté plainte en août dernier à Grenoble parce qu'elle-même et sa cousine avaient été contraintes de se prostituer après avoir fui le domicile familial.
Cette plainte a en fait permis aux enquêteurs de Grenoble de mettre au jour un vaste réseau de prostitution. Les instigateurs profitaient de la vulnérabilité d'adolescentes en rupture familiale. Au cours du mois de mars, trois premiers suspects ont été entendus dans le cadre de cette affaire. Trois autres suspects ont été interpellés par la police mardi dernier dans le quartier de Saint-Bruno à Grenoble.
Alors qu'elles erraient dans Marseille, les deux adolescentes rencontrent deux hommes qui les persuadent de les suivre à Grenoble. Pendant un an, elles sont alors logées dans des hôtels ou de petits appartements où elles sont contraintes de se prostituer. Les clients sont appâtés sur Internet par le biais de sites de massages érotiques. Les filles se déplacent en outre de ville en ville au gré des saisons et des touristes.
Leur cas est loin d'être isolé. Au total, une dizaine de jeunes femmes ont été identifiées comme s'étant prostituées pour ce réseau de proxénètes. L'une d'elle n'avait que 13 ans au moment des faits. Depuis plus d'un an, les instigateurs de ce réseau ont amassé plus de 900.000 euros.
Le Parisien
Cette plainte a en fait permis aux enquêteurs de Grenoble de mettre au jour un vaste réseau de prostitution. Les instigateurs profitaient de la vulnérabilité d'adolescentes en rupture familiale. Au cours du mois de mars, trois premiers suspects ont été entendus dans le cadre de cette affaire. Trois autres suspects ont été interpellés par la police mardi dernier dans le quartier de Saint-Bruno à Grenoble.
Alors qu'elles erraient dans Marseille, les deux adolescentes rencontrent deux hommes qui les persuadent de les suivre à Grenoble. Pendant un an, elles sont alors logées dans des hôtels ou de petits appartements où elles sont contraintes de se prostituer. Les clients sont appâtés sur Internet par le biais de sites de massages érotiques. Les filles se déplacent en outre de ville en ville au gré des saisons et des touristes.
Leur cas est loin d'être isolé. Au total, une dizaine de jeunes femmes ont été identifiées comme s'étant prostituées pour ce réseau de proxénètes. L'une d'elle n'avait que 13 ans au moment des faits. Depuis plus d'un an, les instigateurs de ce réseau ont amassé plus de 900.000 euros.
Le Parisien
On en parle hélas suffisamment partout pour que ces jeunes ne connaissent pas les dangers encourus !!! C'est moche mais peut être apprécieront elle plus ce qu'elles avaient avant de fuir leurs famille mais on ne sait jamais ce qu'elles fuient justement !!! Quand aux proxénétes ...aucun cadeau pour eux !