je vague à mes ocupations

! La vie maritale est très frustrante. La première année de mariage, l'homme parle et la femme écoute.
La deuxième année, la femme parle et c'est l'homme qui écoute.
A partir de la troisième année, ceux sont les deux qui parlent, et les voisins qui écoutent...




! Pendant une dispute une femme dit à son mari:
"J'étais folle quand je me suis mariée avec toi"
Et le mari répond :
"Je sais, mais comme j'étais amoureux à l'époque, je ne l'avais pas remarqué."




! Si un homme ouvre la portière de sa voiture à sa femme, on peut être sur d'une chose :
- Ou bien c'est la voiture qui est neuve, ou bien c'est la femme.

Que c'est beau l'amitié ! Un homme et une femme sont en train de faire l'amour et tout d'un coup il demande : "Dis donc chérie, ton mari va rentrer à quelle heure? Parce que je n'aimerais pas le croiser. C'est quand même mon meilleur ami..."
> "Ne t'inquiète pas, il ne rentre pas avant une heure.
> Le téléphone sonne.
> La femme répond :
> "Oui bonjour mon chéri... Bien mon chéri.. D'accord mon chéri... A tout à l'heure mon chéri." J’ai envie de toi mon amour Puis, elle se tourne vers son amant :
> "C'était mon mari. On a une heure de plus."
> "Ah oui, comment ça?"
> "Il est en train de jouer au tennis avec toi."
>
>
> Elle est pas belle la vie !

un conte Indien



Adapté d'un conte des Indiens cris du Canada.
Le personnage le plus aimé des Cris est un être légendaire, mi-homme, mi-dieu, qui porte le nom de Wisouk. Il pouvait parler aux animaux, au vent, à l'eau, aux plantes et aux rochers. Il adorait jouer des tours car il n'aimait pas qu'on le trompe ou qu'on déjoue ses plans. Les Cris occupent une très grande région à l'ouest du pays et en particulier près de la Baie James, site de grands complexes Hydro-électriques.



Il y a très longtemps, avant l'arrivée des hommes, les animaux étaient protégés par un grand frère qui, grâce à ses pouvoirs extraordinaires, maintenait la paix et l'harmonie sur la Terre. Il s'appelait Wisouk.



Wisouk aimait beaucoup le chant de la grenouille. Tous les soirs, au bord de son lac clair, Akis la grenouille chantait pour Wisouk qui lui apportait de bonnes choses à manger. Un soir, en sautant dans l'eau, Akis se mit à réfléchir : " Je ne fais que chanter pour remercier Wisouk de ses cadeaux.
Je devrais lui donner mieux en retour. Je sais qu'il aime fumer
... Hum... Je sais ! Je vais lui offrir un peu de la tendre écorce du saule rouge pour remplir sa pipe. "

Tout en sautillant de joie, Akis recueillit des morceaux d'écorce qu'elle fit bien sécher au soleil. Puis, elle en fit un solide paquet qu'elle enveloppa dans une peau de ragondin. Elle alla chez la poule d'eau avec son colis.
- S'il te plaît, porte mon cadeau à Wisouk.

La poule d'eau s'envola bientôt vers la montagne où habitait Wisouk. Wisouk accueillit la poule d'eau avec joie et fut ravi du cadeau d'Akis. Mais celle-ci trouvait que les visites de Wisouk se faisait trop rares et elle était fatiguée de chanter fort pour que sa voix lui parvînt, là-bas, sur sa montagne. Alors elle résolut de lui rendre visite.
" Mais Wisouk habite tout en haut de l'énorme montagne ; jamais je ne pourrai grimper jusque chez lui. "

Heureusement Akis eut encore une bonne idée. Elle se mit à ramasser des paquets et des paquets d'écorce de saule, qu'elle disposa au soleil pour les sécher. Elle sautilla jusque chez la poule d'eau et dit :

- S'il te plaît, après-demain viens chez moi chercher le cadeau que j'aimerais que tu portes à Wisouk.
- Je viendrai, répondit la poule d'eau.



Akis rassembla les bouts d'écorce en un énorme ballot qu'elle recouvrit de plusieurs peaux de ragondins. Elle prit bien soin de laisser une ouverture dans le ballot. Puis, le soir, elle se glissa dans l'ouverture et s'endormit.
Le lendemain matin, la poule d'eau trouva le colis plus gros et plus lourd que le précédent mais elle partit quand même de bon coeur vers l'habitation de Wisouk, le grand frère des animaux. Elle survola le lac, le rivière, la forêt. Puis, soudain, un éternuement venant du ballot la surprit tellement qu'elle le lâcha. Alors Akis sorti la tête par le trou et la poule d'eau comprit ce qui s'était passé : l'écorce séchée avait fait éternuer la grenouille cachée dans le ballot. Maintenant Akis allait se fracasser au sol ! Désespérée, Akis appela au secours.

Wisouk, qui l'entendit, fit en sorte qu'elle tombât sur la rive d'un lac où se dressait un grand pin. Akis atterrit dans les branches sans trop de mal et elle allait se laisser glisser dans l'eau lorsqu'une branche fourchue la retint par ses pattes arrière.

Akis essaya de se libérer mais plus elle tirait, plus ses pattes s'allongeaient. Enfin, en un effort ultime, elle réussit à se dégager et elle tomba dans l'eau. Elle était contente d'être en vie mais ses pattes arrière étaient si longues qu'elle en avait honte. Wisouk dit à sa petite soeur de ne pas se désoler car ses longues pattes feraient d'elle une grande nageuse et une habile sauteuse. Mais Akis se sentait ridicule et elle se cacha sous l'eau.

C'est depuis ce jour que les grenouilles sont timides et que leurs pattes arrières sont si longues.

Il vient un moment dans la vie où on doit laisser aller les inquiétudes injustifiées et les personnes qui les créent pour s'entourer de gens qui vous font tellement rire que vous en oubliez tout ce qui est négatif pour vous concentrer seulement sur le positif.
Après tout, la vie est trop courte pour n'être autre chose que belle.





Choisis donc d’aimer...



- Lorsque tu ne sais plus aimer ou t’intéresser aux autres, tu commences à vieillir.
De fait, quand tu es capable d’aimer pour de vrai, tu ne vieillis pas.
L’absence d’un réel amour rend les jeunes bien vieux ;
et la ferveur d’un amour toujours vivant donne la joie de vivre
aux gens du mi-temps de la vie.

- C’est dans ta tête que les idées naissent, mais c’est dans ton coeur qu’elles grandissent et se développent. La mémoire de ton coeur est essentiellement primordiale pour grandir et vivre au coeur de ta vie !

- Fais confiance aux personnes que tu rencontres car elles sont très souvent
bien meilleures que tu le penses. Fais aussi confiance au temps
qui jouera en ta faveur si tu montres de la patience envers lui.

- Fais aussi confiance aux petits détails de la vie
car c’est à travers eux que bien souvent la vie reçoit toute sa lumière et sa force.

- Ce n’est jamais perdre ton temps que d’en prendre pour parler aux gens,
les écouter et pour de vrai … aimer. Pourquoi être si pressé ?

- Oui, pratique ton sourire, le vrai, celui qui vient de ton coeur.
Il illumine la nuit des gens ; il réchauffe les coeurs froids ;
il transforme les attitudes ; il fait naître l’espérance et le goût de vivre !
On ne peut résister au vrai sourire de ton coeur !

- Tu apprends beaucoup quand tu sais écouter, regarder et toucher les personnes ; même celles qui te semblent plus démunis.
C’est du temps gagné pour semer la tendresse et l’amour !

- Garde aussi pour toi de précieux temps de solitude
pour calmer les vagues sur le lac de ton âme,
et surtout pour entendre les musiques qui chantent au fond de ton coeur.
Ainsi, tu te connaîtras et tu entreras dans le pays de la paix et de l’équilibre.
Là seulement, tu découvriras le chemin qui mène au coeur des autres.

- Chaque personne garde bien précieusement un secret dans son coeur.
C’est une intimité de droit inviolable !
Seul l’amour peut en décider la révélation en temps opportun.

- Les grandes blessures d’angoisse, de rejet et de dépréciation personnelle
ne se cicatrisent qu’avec le temps et beaucoup d’amour !
Le temps et l’amour font renaître la confiance !

- La nature t’apprend beaucoup aussi quand tu sais la regarder,
l’écouter et la toucher. Voilà un savoir aimer.

- Ce n’est pas gaspiller de ton temps aussi que d’en perdre pour écouter siffler le vent, pour marcher dans les feuilles mortes de l’automne et t’y enrouler
comme le font les enfants, et pour regarder tomber la pluie et la neige toute blanche.

- C’est beau, c’est sain, c’est pur ; ça aide à vivre que de marcher tout doucement
dans la nature et d’admirer les fleurs des champs, les oiseaux,
les nuages, le ciel et la vie !

Eh bien, toutes ces pensées que tu viens de lire, crois-moi, elles renferment des trésors importants et des valeurs essentielles pour ta vie de chaque jour.

Il y a du bonheur dans ton coeur et dans ta vie !
Regarde bien autour de toi !
Le bonheur te donne rendez-vous !
Choisis d’aimer avec le sourire de ton coeur !

Mes premières paroles...

"Oups ! Qu'est-ce qui se passe ? Quel tourbillon !!! Comme il fait noir ici; où suis-je ? Je suis minuscule mais je suis vivant ! Personne ne sait encore que je suis là mais ils ne tarderont pas à le savoir. Les journées passent et je grandis tout doucement. Ma maison est confortable et elle s'appelle Maman...

Ça bouge parfois beaucoup dans mon petit coin douillet et j'entends battre un coeur mais ce n'est pas le mien alors c'est sûrement celui de ma maman. Oh! mais qu'est-ce qui se passe ? Maman ne se sent pas bien, elle a mal au coeur et si c'était à cause de moi ? Je sens qu'elle se questionne sur son état et elle décide d'en avoir le coeur net ! Maman pourquoi tu pleures soudainement ? Elle est heureuse, je le sens, je l'entends dire à Papa que je grandis dans son ventre.

Maman annonce à tout l'monde que je serai là dans quelques mois mais pourquoi elle dit pas que j'y suis déjà ? Elle a peur; peur de me perdre avant que je sois assez grand pour venir au monde mais elle sait que je vis dans son ventre et que je ressens tout ce qui se passe autour de moi. Je grandis et j'entends maman crier de joie quand je lui fait sentir mes premiers mouvements... Comme je suis bien ici et je suis pas vraiment pressé de quitter cet espace rassurant!

Les jours se succèdent les uns aux autres et je ressens les angoisses de maman. Pourtant mon développement se fait normalement mais je peux capter ses inquiétudes; sa circulation sanguine se modifie parfois, je la sens nerveuse et anxieuse. Comment faire pour la rassurer ? Je suis impuissant et mon seul pouvoir est de lui faire sentir que je suis bien accroché à elle. Mes parents attendent ma venue au monde avec tendresse et amour.

Maman... tu pleures encore ? Pourquoi ? Qui t'a fait de la peine cette fois ? Une mauvaise nouvelle... mais n'oublies pas que je suis là et reprends-toi, je t'en prie, car j'ai besoin que tu prennes soin de toi. Si tu es malheureuse, je le ressens et ça affecte ma quiétude et je ne me sens pas bien non plus. Voilà, c'est passé maintenant et j'adore quand elle chante des chansons douces en se berçant. Maman, le temps approche et c'est à mon tour d'avoir peur.

Je ne sais pas ce qui m'attend dehors. Ici, je savais tout, même si tu doutes parfois que mon petit corps puisse ressentir toutes tes émotions. Je vis en toi maman, depuis presque 9 mois, alors je te connais bien tu sais! Tu commences à me trouver lourd et je t'avoue que je commence à manquer de place ici mais c'est toujours chaud, douillet et sécuritaire... Attention maman, je vais bouger, m'étirer et commencer à pousser pour connaître le monde où tu vis...

Je regrette de te faire souffrir mais je souffre autant que toi pour réussir à faire entendre mon premier cri. Pousse fort maman, pousse encore, encore... Papa est là et il attend... Voilà, je suis arrivée et je fais entendre à tous que j'ai de vrais poumons ! On me dépose sur ton ventre, tu es fatiguée et moi aussi mais c'est fini maintenant et tu me tiens contre toi maintenant... et pour le reste de ta vie.
Texte composé par: Louise Houl

Jolis textes une fois encore Simone, merci.