Brice Hortefeux a installé, le 1er décembre à Bièvres (Essonne), la Force d'intervention de la police nationale (FIPN), créée pour s'adapter aux nouvelles formes d'un terrorisme qui évolue. Composée du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion), qui en assure le commandement unique et abrite son état-major permanent, des dix groupes d'intervention (GIPN) et de la brigade anticommando de Paris, la FIPN est forte de 590 hommes et femmes.
Il existe aujourd'hui en France plusieurs types d'unités de police capables de faire face à des situations de crise d’une exceptionnelle gravité : la plus célèbre d'entre elles, le Raid, les dix groupes d’intervention de la police nationale (GIPN), et la brigade anti-commando de Paris.
Tout comme leurs collègues du Raid, les effectifs des GIPN interviennent sur les opérations potentiellement dangereuses qui nécessitent un grand professionnalisme, une haute technicité et l’utilisation de moyens spécifiques : prises d’otage, retranchements de malfaiteurs ou de forcenés, mutineries de détenus constituent la majeure partie des interventions en urgence réalisées par ces unités.
La brigade anti-commando de la brigade de recherche et d’intervention, "brigade anti-gang", est l’une des pièces maîtresses des services de police judiciaire de la préfecture de police. Elle remplit des missions assez analogues à celles confiées au Raid et aux GIPN, intervenant dans les affaires de grand banditisme mais aussi dans des situations de crise aigüe.
La suite sur: gouvernement.fr
C'est bien beau de faire de nouvelle force de police mais pourquoi n'emploierait on pas l'armée pour ses taches là
Après tout il serait temps de ne plus considérer les militaires comme des va t'en guerre pour les situations de conflit ou pour mater des éventuelles révolution mais comme une réserve d'homme qualifié pour des missions de sécurité intérieures.