par DELARUE.JEAN LOUIS Dim 12 Oct 2008 - 10:58
Avec de l'ancien refaisons le monde de la route, semble dire M6 qui va nous resservir, une émission qui a déjà été vue.
Néanmoins, nous regarderons encore, le chauffeur qui débride son camion, et nous reverrons encore le chauffeur qui roule en état d'ivresse, et nous reverrons encore un chauffeur qui roule plus de 15 heures par jour.
Mais nous ne verrons pas les milliers de vrais routiers, qui eux font le travail, avec le coté conscencieux qui doit être appliquer à ce métier, il est vrai que pourrir une profession pour faire de l'audience, cela est facile, mais pourquoi ne pourrait-on pas pourrir la profession de reporter, qui eux sans vergogne démolissent, des gens et des professions, pour faire du chiffre "audience donc pub", pourquoi ne les demolirions pas, eux qui ont le coude trop souvent levé, non pas pour tenir une caméra mais pour boire l'apéro sur le compte de pauvres couillons trop heureux d'avoir leurs heures de gloire en passant à la Télé.
Le miroir aux alouettes est devenu un miroir déformant, pour bien des gens qui ne voit surtout pas plus loin que le bout de leur lorgnette.
Pourquoi ne parlent-ils pas des employeurs assassins, pourquoi ne parlent-ils des employeurs escrocs, trop risqué surement pour eux, ils préfèrent ne voir que les infractions commisent par des parias de la route.
Pourquoi ne font-ils pas des reportages sur les conditions réelles que subissent de nombreux conductrices/conducteurs chez des clients style "Carrefour, ED, Aldi, Lidl, Leader Price, Attac, Intermarché, Casino, Super U, etc etc," qui font des conductrices/conducteurs des manoeuvres de quais à plein temps sans avoir à les rémunérés. Pourquoi??? la réponse est simple ce sont des annonceurs De ce fait ils deviennent complices de leurs annonceurs.
Alors pour eux "les reporters" il est plus facile de faire des reportages sur des imbéciles de la route, trop peureux qu'ils sont de s'attaquer aux vrais donneurs d'ordres qui acceptent eux ces dérives sous des prétextes monétaires dans la pluaprt des cas.