« Il faut se couvrir ! »
Je venais d’arriver dans étrange milieu !
Un milieu trouble, presque noir.
A peine arrivé, immédiatement j’ai ressenti un malaise.
A écouter les gens de ce milieu, souvent les même phrases revenaient comme un lev motif :
« Il faut se couvrir ! »…
Après quelques légitimes interrogations pertinentes, sur la signification du terme !
J’ai eu le privilège inouï d’obtenir des gens du milieu, quelques vagues explications.
« Il faut se couvrir ! »
« Ne pas inutilement se mouiller ! »
« Afin, de se protéger ! »
« Dans ce milieu très particulier, souffraient-ils tous d’angoisses incontrôlables sur les intempéries ? »
Puis dès, qu’il y avait quelques signes avant coureurs perturbants :
« C’était le Sauve qui peut ! »
Et vlan !...Nous revoilà, dans la phraséologie des peurs !
« Les gars pas de vagues !...Surtout pas de vagues ! »
Certains du milieu suggèrent même l’idée de se mettre aux abris !
Un membre du milieu déclare en catimini :
« Pour vivre heureux vivons cachés ! »
Oui, le milieu a peur de tout !...
En particulier ce qui les entourait.
Une peur viscérale, avec une excessive anticipation des conséquences possibles.
Alors, comme tous les gens du milieu, part mimétisme :
« Je me suis couvert, dans l’ombre des autres. »
ATTITUDE A : La stratégique d’évitement de tout et même du travail !
Profil bas !...Au point que plus personne me voyait.
J’étais devenu une sorte de zombie, dans le trou du milieu.
Bienfait pour moi !...
A force de mettre la barre très basse, dans ce milieu faussement consensuel, on finit part vous marcher dessus.
Vous êtes considéré comme une merde de caniche.
ATTITUDE ET PLAN B : « Observation ! »
J’ai noirci de nombreuses pages blanches, couvertes d’anecdotes insignifiantes.
Fait des rapports circonstanciels sur des dysfonctionnements en tous genres.
Sur les gens du milieu, qui se planquaient dans les trous.
A la relecture de mes écrits, cela ressemblait à une misérable anthologie Kafkaïenne.
(Comme dans le fameux village, de la série du feuilleton du prisonnier ! »
Dans ce milieu trouble, l’ambiance générale se dégrade, comme « une peau de chagrin » sous les diverse pressions.
Alors, les angoissés du milieu préconisent en urgence :
« De se couvrir deux fois plus, en cloisonnant ! »
Sinon, cela risque de « chauffer ! »
Une inflation dans les protocoles de protection.
Jour après jour, le milieu devient étouffant !
L’autorité vacillante du milieu se retranche sur le conformiste des textes réglementaires.
Le milieu dans son activité habituelle subissait à cause de sa raideur, une chronique manque d’efficacité dans son fonctionnement.
Laissant seulement le champs libre à la synergie du parti pris et du conflictuel.
Le milieu devenait une folle mosaïque, avec des petits clans pratiquant un affligeant manichéisme destructeur.
Où, les rats les scélérats s’affrontent part des affirmations rigoristes.
Afin d’aboutir à la quatrième dimension de la quintessence humaine de la connerie…
Il fallait naviguer à vue.
Si on ne veut pas subir l’abordage, d’une attaque surprise d’un prédateur chefaillon !
C’est bien les comportements crétins, qui fabriquent dans le monde du travail une société Darwinienne sur le déclin.
PS: "Prochainement, je ferais un texte sur une société Darwinienne!"
Le texte ne fait aucunement référence, à des événements réels.
Si certaines similitudes avec une quelconque réalité, cela serait une pure coïncidence, avec l’imagination délirante de son auteur…
Je venais d’arriver dans étrange milieu !
Un milieu trouble, presque noir.
A peine arrivé, immédiatement j’ai ressenti un malaise.
A écouter les gens de ce milieu, souvent les même phrases revenaient comme un lev motif :
« Il faut se couvrir ! »…
Après quelques légitimes interrogations pertinentes, sur la signification du terme !
J’ai eu le privilège inouï d’obtenir des gens du milieu, quelques vagues explications.
« Il faut se couvrir ! »
« Ne pas inutilement se mouiller ! »
« Afin, de se protéger ! »
« Dans ce milieu très particulier, souffraient-ils tous d’angoisses incontrôlables sur les intempéries ? »
Puis dès, qu’il y avait quelques signes avant coureurs perturbants :
« C’était le Sauve qui peut ! »
Et vlan !...Nous revoilà, dans la phraséologie des peurs !
« Les gars pas de vagues !...Surtout pas de vagues ! »
Certains du milieu suggèrent même l’idée de se mettre aux abris !
Un membre du milieu déclare en catimini :
« Pour vivre heureux vivons cachés ! »
Oui, le milieu a peur de tout !...
En particulier ce qui les entourait.
Une peur viscérale, avec une excessive anticipation des conséquences possibles.
Alors, comme tous les gens du milieu, part mimétisme :
« Je me suis couvert, dans l’ombre des autres. »
ATTITUDE A : La stratégique d’évitement de tout et même du travail !
Profil bas !...Au point que plus personne me voyait.
J’étais devenu une sorte de zombie, dans le trou du milieu.
Bienfait pour moi !...
A force de mettre la barre très basse, dans ce milieu faussement consensuel, on finit part vous marcher dessus.
Vous êtes considéré comme une merde de caniche.
ATTITUDE ET PLAN B : « Observation ! »
J’ai noirci de nombreuses pages blanches, couvertes d’anecdotes insignifiantes.
Fait des rapports circonstanciels sur des dysfonctionnements en tous genres.
Sur les gens du milieu, qui se planquaient dans les trous.
A la relecture de mes écrits, cela ressemblait à une misérable anthologie Kafkaïenne.
(Comme dans le fameux village, de la série du feuilleton du prisonnier ! »
Dans ce milieu trouble, l’ambiance générale se dégrade, comme « une peau de chagrin » sous les diverse pressions.
Alors, les angoissés du milieu préconisent en urgence :
« De se couvrir deux fois plus, en cloisonnant ! »
Sinon, cela risque de « chauffer ! »
Une inflation dans les protocoles de protection.
Jour après jour, le milieu devient étouffant !
L’autorité vacillante du milieu se retranche sur le conformiste des textes réglementaires.
Le milieu dans son activité habituelle subissait à cause de sa raideur, une chronique manque d’efficacité dans son fonctionnement.
Laissant seulement le champs libre à la synergie du parti pris et du conflictuel.
Le milieu devenait une folle mosaïque, avec des petits clans pratiquant un affligeant manichéisme destructeur.
Où, les rats les scélérats s’affrontent part des affirmations rigoristes.
Afin d’aboutir à la quatrième dimension de la quintessence humaine de la connerie…
Il fallait naviguer à vue.
Si on ne veut pas subir l’abordage, d’une attaque surprise d’un prédateur chefaillon !
C’est bien les comportements crétins, qui fabriquent dans le monde du travail une société Darwinienne sur le déclin.
PS: "Prochainement, je ferais un texte sur une société Darwinienne!"
Le texte ne fait aucunement référence, à des événements réels.
Si certaines similitudes avec une quelconque réalité, cela serait une pure coïncidence, avec l’imagination délirante de son auteur…
