L’occupation de Sciences Po et de la Sorbonne à Paris, par des militants anti-israéliens, n’est pas un phénomène unique. Depuis l’attaque terroriste du 7 octobre, de nombreux campus américains ont été pris d’assaut par les militants les plus radicaux de la « cause » palestinienne. Mais comment ces protestations peuvent-elles tenir sur une telle durée ? Chacun le sait, l’argent est le nerf de la guerre. Derrière les organisations des Étudiants pour la justice en Palestine (SJP, en anglais) ou de la Campagne américaine pour les droits des Palestiniens (USCPR, en anglais) se cachent l’Open Society et la fondation des frères Rockefeller. Créée par George Soros, cette fondation a pour but de promouvoir « un monde plus ouvert » et encourager « la construction de démocraties dynamiques et inclusives. » Pour défendre ses valeurs, l’Open Society a donc distribué des centaines de milliers de dollars – et ce n’est pas la seule – à des fonds qui s’occupent eux-mêmes de la redistribution vers les associations anti-israéliennes, comme le révèlent nos confrères du New York Post.
bvoltaire.fr
Le pouvoir de nuisance de ces fondations est quand même aussi terrible que la lâcheté des gouvernements de ne pas les contrer ou les éradiquer.
On peut ou ne pas prendre parti pour l'un ou pour l'autre ou s'en foutre, mais de là à faire l'apologie de crimes contre l'humanité et d'appeler aux crimes et aux génocides d'un peuple, il y a une grande marge et je pense qu'on pourrait quand même faire des procès pour apologie du terrorisme.
On peut aussi se poser la question de savoir quel est le vrai motif derrière tout ça, l'apologie du crime de guerre ne peut pas être la seule raison qui pousse ces gens-là à donner des centaines de milliers de dollars à des associations qui se foutent de la cause qu'ils défendent du moment qu'il y a de l'argent à la clef.