Salut !
A y'est, elisabeth borne est de retour de son voyage en algérie. Elle a déposé une gerbe au monuments des martyrs de la guerre contre la France, n'est pas revenu avec la moindre bonbonne de gaz, et n'a obtenu aucun accord pour rapatrier les racailles originaires de ce pays.
En résumé, foutriquet et sa clique nous ont encore ridiculisés auprès de ces arriérés d'algériens...
https://www.bvoltaire.fr/comme-prevu-lalgerie-a-promene-elisabeth-borne-et-quinze-ministres-francais/
A y'est, elisabeth borne est de retour de son voyage en algérie. Elle a déposé une gerbe au monuments des martyrs de la guerre contre la France, n'est pas revenu avec la moindre bonbonne de gaz, et n'a obtenu aucun accord pour rapatrier les racailles originaires de ce pays.
On s'y attendait. Le pouvoir algérien aura pu jouir, sans bourse délier, du spectacle des courbettes réalisées sans honte par l’ancienne puissance coloniale. La France avait mobilisé le ban et l’arrière-ban. Pas moins de quinze ministres ont traversé la Méditerranée. Sur place, Élisabeth Borne a déposé, comme prévu, une gerbe au monument des Martyrs, haut lieu de la mémoire algérienne de la guerre d'indépendance menée contre la France et ses soldats d'active ou en cours de service militaire. Soit une gerbe aux anciens ennemis du pays…
Tout cela pour… rien ou pas grand-chose.
[...]
De son côté, le Premier ministre algérien Aïmene Benabderrahmane est allé droit au but : « Bienvenue aux investisseurs français en Algérie. » Les deux gouvernements... Jouez, flûtes du désert, chantez coucous ! La France ronronne de bonheur et ferme les yeux : l’Algérie, elle, se frotte les mains. L'Hexagone est déjà le deuxième investisseur en Algérie, selon le FMI. 500 entreprises françaises emploient là-bas 40.000 salariés. Tout cela ne semble pas engager les autorités algériennes à la reconnaissance vis-à-vis de la France, loin s’en faut.
En résumé, foutriquet et sa clique nous ont encore ridiculisés auprès de ces arriérés d'algériens...
https://www.bvoltaire.fr/comme-prevu-lalgerie-a-promene-elisabeth-borne-et-quinze-ministres-francais/