Mise en demeure par la préfecture de Seine-Saint-Denis, la municipalité communiste de Stains a été contrainte d’effacer vendredi la fresque en hommage à Adama Traore.
Personne n’a été surpris que des communistes honorent un délinquant, et, a-t-on appris depuis, qui a violé un co-détenu. La préfecture de Saint-Denis a cependant mal vécu l’expérience, et a imposé aux communistes d’effacer la fresque.
Ce qu’ils ont fait.
Mais ces vicieux de communistes (pléonasme), n’ont pas attendu 24 heures pour réagir.
Le lendemain, et au même endroit, le maire inaugurait une fresque à la gloire de la députée Obono, sans doute pour la remercier de vomir la France.
Certes, une fresque anti-policiers a été remplacée par une autre, anti-France. Mais ça reste en famille, et Obono n’est pas une reprise de justice – jusqu’à preuve du contraire.
dreuz.info
C'est une bonne chose que cette fresque inique ait été effacé mais j'avoue que je n'arrive pas à comprendre comment il y a toujours des extrémistes communistes à la tête d'une ville voir même avoir quelques responsabilité que ce soit.