Dictons du 3 août :
Tels les trois premiers jours d'août, tel le temps de l'automne.
Il faut cueillir les choux, l'un des trois premiers jours d'août.
Pour bien goûter le bonheur, il faut avoir été malheureux.
Proverbe oriental ; L'Orient en proverbes (1905)
Le bonheur est un spectre, il s'évanouit lorsqu'on croit le saisir.
Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Le bonheur est toujours un songe que l'on a fait sans dormir.
Proverbe français ; Recueil d'apophtegmes et axiomes (1855)
Il n'est point au monde de bonheur parfait.
Proverbe latin ; Proverbia latina (1908)
Dans la main de Dieu est le bonheur de l’homme.
Proverbe de la Bible ; L'Ecclésiastique - IIe s. av. J.-C.
Le bonheur est une glace sur laquelle il y a toujours quelque tache, quelque vapeur.
Proverbe français ; Dictionnaire des proverbes français (1822)
Le bonheur a besoin d'être interrompu pour être senti.
Proverbe français ; Dictionnaire des proverbes français (1822)
La paix de l'âme est le bonheur suprême sur la terre.
Proverbe français ; Dictionnaire des proverbes français (1822)
Le plus parfait bonheur ne peut être que dans les fortune
Chien qui relève la queue méprise son ennemi ; tigre qui la baisse va le dévorer.
Citation de la Chine ; Sentences et pensées chinoises (1782)
Parfois, j'envie mon chien, couché à mes pieds. Son attitude, l'expression de ses yeux, tout en lui confesse qu'il a foi en moi. Il sait que, du moment que je suis là, il ne lui arrivera rien de fâcheux, que je pourvoirai à tous ses besoins. Il croit en son maître, comme je voudrais croire en Dieu.
Citation de Marcel Jouhandeau ; Le gourdin d'Elise (1967)
Les animaux les plus doux, les plus courageux, les plus intelligents du globe se nourrissent de végétaux. Le mouton, le bœuf, le cheval, l'éléphant, le singe, etc., sont herbivores. Le chien, qui vit parfaitement de soupe et de pain, est plus féroce au service du boucher qu'à celui du berger.
Citation de Auguste Guyard ; Quintessences (1847)
Un solitaire aimé d'un chien, ou d'un animal quelconque, n'est plus un solitaire.
Citation de Auguste Guyard ; Quintessences (1847)