Ça c’est Frédéric Mitterrand.
Frédéric, est un homme de la droite morale.
Frédéric, c’est aussi l’humour quand il évoque la jalousie de Nicolas Bedos avec deux petits coréens qu’ils auraient adoptés.
Frédéric, c’est aussi un explorateur, de la Tunisie à la Thaïlande, il plante le drapeau tricolore sur des rivages lointains.
Frédéric, c’est aussi le cinéma, dans « mon copain Rachid » il raconte la complicité d’un petit garçon avec son copain à qui il aime « toucher sa grosse bite » et même plus.
Frédéric, c’est aussi un écrivain, il raconte ainsi ses soirées à Bangkok lors desquelles il regardait des travestis se faire sodomiser.
Frédéric, c’est aussi la confusion, ainsi il fait un parallèle entre les jeunes garçons avec lesquels il couche en Thaïlande et « son désir de paternité ».
Frédéric, c’est aussi l’homme engagé, ainsi il soutiendra Roman Polanski, violeur d’une jeune fille de 13 ans.
Frédéric, aime aussi le sable chaud, la Tunisie c’est son pied-à-terre.
Frédéric, c’est aussi l’enfant chéri de la République et son pur produit, neveu d’un faux monarque il en jouira toute sa vie et sera intouchable.
Frédéric c’est le sens de la mesure, pour lui au-dessus de 14 ans, c’est dégueulasse.
Frédéric, c’est aussi la honte, alors ministre il du expliquer qu’en Thaïlande, il était le passif d’un boxeur de 40 ans.
Frédéric c’est la provocation, en mal d’audience il expliquera que Kadhafi, bisexuel notoire, lui proposa d’être « sa princesse » durant son passage à l’Élysée, sous sa tente.
Frédéric, c’est l’ignominie et l’impunité.
Frédéric, est un homme de la droite morale.
Frédéric, c’est aussi l’humour quand il évoque la jalousie de Nicolas Bedos avec deux petits coréens qu’ils auraient adoptés.
Frédéric, c’est aussi un explorateur, de la Tunisie à la Thaïlande, il plante le drapeau tricolore sur des rivages lointains.
Frédéric, c’est aussi le cinéma, dans « mon copain Rachid » il raconte la complicité d’un petit garçon avec son copain à qui il aime « toucher sa grosse bite » et même plus.
Frédéric, c’est aussi un écrivain, il raconte ainsi ses soirées à Bangkok lors desquelles il regardait des travestis se faire sodomiser.
Frédéric, c’est aussi la confusion, ainsi il fait un parallèle entre les jeunes garçons avec lesquels il couche en Thaïlande et « son désir de paternité ».
Frédéric, c’est aussi l’homme engagé, ainsi il soutiendra Roman Polanski, violeur d’une jeune fille de 13 ans.
Frédéric, aime aussi le sable chaud, la Tunisie c’est son pied-à-terre.
Frédéric, c’est aussi l’enfant chéri de la République et son pur produit, neveu d’un faux monarque il en jouira toute sa vie et sera intouchable.
Frédéric c’est le sens de la mesure, pour lui au-dessus de 14 ans, c’est dégueulasse.
Frédéric, c’est aussi la honte, alors ministre il du expliquer qu’en Thaïlande, il était le passif d’un boxeur de 40 ans.
Frédéric c’est la provocation, en mal d’audience il expliquera que Kadhafi, bisexuel notoire, lui proposa d’être « sa princesse » durant son passage à l’Élysée, sous sa tente.
Frédéric, c’est l’ignominie et l’impunité.