La vie peut changer très vite !
Ce matin j'étais assis sur un banc à côté d'un clochard.
Il me dit : « La semaine passée, j'avais encore tout !
J'avais un toit au dessus de ma tête dans un logis bien sécurisé, un cuisinier faisait mes repas, ma chambre était toujours bien entretenue, mes vêtements étaient lavés, pressés, j'avais la TV-HD, Internet, j'allais à la salle de sport, à la piscine, à la bibliothèque, je poursuivais encore mes études… »
Je lui demande : « Que s'est-il passé ? Drogue ? Alcool ? Femmes ? Jeux ? »
Il me répondit : « Non, non... »
Je suis sorti de prison. »
Au cimetière
Un paysan va sur la tombe de sa femme pour la fête de la Toussaint.
– Ah, Marie ! pleurniche-t-il, tu n’imagines pas comme tu me manques ! Sans toi je ne suis plus rien, je n’ai goût à rien. Je m’occupe à peine des bêtes, j’ai perdu l’appétit, je ne vais même pas au bistrot ! Si seulement je pouvais te retrouver, si seulement tu pouvais revenir avec moi, je serais tellement heureux…
À ce moment là un léger tremblement de terre remue le sol et soulève de quelques centimètres la dalle funéraire. Alors le paysan s’écrie :
–à Marie ! Arrête tes conneries ! Je disais ça pour rire…
Le match
Humour noir
Un homme est assis dans un stade de rugby, c’est la finale de la coupe du monde et toutes les places sont vendues depuis des mois.
A côté de lui, une place est vide…
Visiblement très irrité, le gars assis de l’autre côté de la place vide lui demande à qui appartient la place, car c’est quand même honteux de laisser une place vide le jour de la finale.
Effectivement l’homme lui répond que c’était la place de sa femme et qu’ils allaient à chaque match depuis qu’ils étaient mariés mais elle vient de décéder…
Le gars très gêné s’excuse et lui présente ses condoléances. Puis il lui demande :
– Personne de votre famille n’a voulu vous accompagner ?
– Ben non, ils sont tous à l’enterrement….
Le délice espagnol
, Nationalités
Un français visitant l’Espagne s’arrête dans un restaurant de Pampelune. Tout en sirotant sa sangria, son attention se porte sur une alléchante assiette servie à la table voisine. Non seulement cela semble savoureux, mais ça dégage aussi un arôme qui tient du divin.
Il s’informe donc auprès du serveur :
– Mais quelle est cette merveille que vous venez de servir ?
Le garçon de répondre :
– Ah Señor, vous avez du nez ! Ce sont les testicules du taureau du combat de cet après-midi. Un plat d’une délicatesse que l’on nomme le Délice Espagnol.
Le français, un peu médusé :
– Après tout, je suis en vacances, servez-moi donc ce régal.
Mais le garçon de répondre :
– Je regrette Señor, on ne peut servir ce plat qu’une fois par jour car il n’y a qu’un seul combat par après-midi. Si vous revenez plus tôt demain et que vous êtes le premier à commander, alors nous pourrons vous réserver ce grand délice.
Le lendemain, le français revient, réserve son menu, et un peu plus tard, se fait servir ce seul et unique délice du jour.
Après avoir humé son assiette, examiné la présentation et s’être délecté de quelques petites bouchées, il rappelle le garçon et lui dit :
– Elles sont délicieuses, mais elles sont beaucoup, beaucoup plus petites que celles que je vous ai vu servir hier.
Le garçon hausse les épaules et dit :
– Si Señor, mais il arrive parfois que c’est le taureau qui gagne !…
Le pêché
, Eglise
C’est une jeune fille qui vient prendre place dans le confessionnal.
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Elle se penche à la grille du parloir et commence :
– Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai pêché.
– Allez-y mon enfant, parlez, quel pêché avez-vous commis ?
– Mon père, j’ai commis le pêché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique.
À ce moment là, le curé se penche à la grille et observe longuement la jeune fille, puis il lui dit : « Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : ce n’est pas un pêché, c’est simplement une erreur. »…
Le sportif du dimanche, Couple
Dimanche six heures du matin, l’homme se lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller son épouse.
Il charge son VTT dans la voiture, et s’en va.
Arrivé sur le parcours il se met à tomber des trombes d’eau. Sa matinée est foutue, il décide de rentrer chez lui.
Il se déshabille sans faire de bruit, et se recouche doucement tout près de son épouse, et lui chuchote à l’oreille :
« Il pleut comme vache qui pisse »
Et elle, répond :
« Quand je pense que l’autre idiot est en train de pédaler… »
Un drôle de pêcheur !
Les vieux
Il pleuvait à verse ce jour-là, et une grande flaque s’était formée devant la winstub d’Oberschaeffolsheim le Haut.
Un vieillard alsacien était là, sous la pluie, avec une canne et une ficelle pendue dans la flaque.
Un touriste, parisien de surcroît, touché par ce qu’il voyait, l’approcha et lui demanda ce qu’il faisait là, sous cette pluie battante :
«Je pêche » répondit le vieil alsacien, tout simplement.
Pauvre bougre, pensa le brave touriste parisien, qui invita aussitôt le vieillard à l’accompagner dans la winstub pour se sécher au chaud et prendre une boisson.
Alors qu’ils buvaient leur gewurtztraminer à petites gorgées, le gentil touriste, pensant faire plaisir au vieillard, lui demanda, un peu ironique :
« Et alors, vous en avez attrapé combien, depuis ce matin ? »
« Vous êtes le huitième » répondit le vieil alsacien, avec un grand sourire…
– Aie! Chose. Tu ne m’oublieras pas, hein!
RRRRRRRRROOOOOOOOONNNNNNNNNNN
FFFFFFFFFFFFFFFFFFFFLLLLLLLL’
Un représentant de commerce arrête dans une petite ville pour y passer la nuit. Malheureusement pour lui, il n’y a qu’un seul hôtel et toutes les chambres sont prises.
Le représentant insiste auprès de l’aubergiste:
– Vous devez me trouver une place pour dormir, même un lit n’importe où, je suis crevé. Pas question de reprendre la route. C’et trop dangereux. Et puis il neige.
– Ben, j’ai bien une chambre avec deux lits qui n’est occupée que par une personne… Et je suis sûr que cette personne serait ravie de partager sa chambre ainsi que le prix de sa chambre avec vous… Mais pour tout vous dire, cet homme est un ronfleur de la pire espèce. À tel point que ses voisins des chambres à côté viennent se plaindre ici tous les matins. Bref, c’est vous qui voyez.
– Pas de problème, je prends la chambre. Je suis trop crevé !
L’aubergiste va chercher le ronfleur qui est dans l’autre pièce, au bar. Ils font connaissance et décident de partager leur repas.
Le lendemain matin, le représentant descend prendre le petit déjeuner, et contrairement à ce que pensait l’aubergiste, il a l’?il vif et semble en pleine forme et bien reposé.
– Hé Bonjour! Vous avez réussi à dormir?
– Oui sans problème
– Les ronflements ne vous ont pas gêné?
– Pas du tout: il n’a pas ronflé de la nuit
– Comment cela?
– Eh bien, l’homme était déjà au lit quand je suis rentré dans la chambre.
Alors je me suis approché de son lit et j’ai déposé un baiser sur ses fesses en disant « Bonne nuit ma beauté »… Et le gars a passé le reste de la nuit assis sur son lit à me surveiller ! Je pense qu’il va sauter le petit-déjeuner.
Maladie professionnelle…
Suite à une épidémie qui sévit depuis de longues années sur notre beau territoire, la « Maladie du Boulanger » va certainement être reconnue maladie professionnelle.
Elle n’atteint que des individus de sexe masculin âgés de plus de 40 ans.
Elle se manifeste ainsi :
La brioche augmente et la baguette diminue.