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    Jean-Marc-Ayrault s'efforce de déminer la polémique sur sa condamnation

    Jean-pierre
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    Se défoule à fond


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    Jean-Marc-Ayrault s'efforce de déminer la polémique sur sa condamnation Empty Jean-Marc-Ayrault s'efforce de déminer la polémique sur sa condamnation

    Message par Jean-pierre Lun 14 Mai - 6:26

    Jeudi 3 mai, dans son bureau de l'Elysée, Franck Louvrier, plus ancien collaborateur du président sortant, est interrogé sur la possible nomination du député et maire PS de Nantes Jean-Marc Ayrault, à Matignon, en cas de victoire socialiste. Le conseiller régional UMP des Pays de la Loire, à qui l'on prête des ambitions à Nantes, a cette réplique assassine : "Pour moi, c'est de la politique fiction. Ou alors ce serait le premier parjure du quinquennat de François Hollande. M. Hollande a déclaré dans le Journal du Dimanche du 15 avril qu'il ne s'entourerait pas de personnes jugées et condamnées. Or, M. Ayrault a été condamné pour délit de favoritisme."

    Les réseaux sociaux s'emparent de l'information. Très vite, la polémique enfle, obligeant Jean-Marc Ayrault, qui demeure l'un des favoris pour le poste de premier ministre, à faire une mise au point.

    L'affaire se résume ainsi : le 19 décembre 1997, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a été condamné à six mois de prison avec sursis et 30 000 francs (4 600 euros) d'amende. Il était poursuivi pour octroi d'avantages injustifiés à la Société nouvelle d'édition et de publication (SNEP), en charge de l'édition du journal municipal de la ville, Nantes Passion. Le marché, estimé à 6 millions de francs (915 000 euros), avait été attribué sans mise en concurrence, ni appel d'offres.

    "C'est une affaire qui ne me concernait pas intuiti personae mais que j'ai assumée en tant que maire, indique Jean-Marc Ayrault, sur sa page Facebook. Ma probité personnelle n'a jamais été mise en cause. Il n'a jamais été question d'enrichissement personnel ou de financement politique."

    LE DÉLAI DE DIX ANS APRÈS LA CONDAMNATION EST EXPIRÉ

    L'affaire est "purgée", souligne son entourage, d'autant que la condamnation est "dite réhabilitée à l'expiration d'un délai de dix ans". Avertissement est donné : toute personne faisant état de ce jugement est "passible de poursuites pénales sur le fondement de la diffamation publique". Le ton est courroucé.

    Pas question de voir l'histoire bégayer : Jean-Marc Ayrault a déjà manqué un premier maroquin à l'époque de Lionel Jospin. "La récupération de l'affaire est ridicule et minable, fustige Pascal Bolo, actuel adjoint aux finances. Il s'agissait d'une peine de principe. La preuve : il n'a pas été déclaré inéligible. Même la droite nantaise n'a jamais utilisé cette histoire dans aucune élection."

    François Pinte, conseiller régional et président de l'UMP en Loire-Atlantique, acquiesce. "Je pratique le pardon des offenses, dit-il. Mais la gauche serait bien avisée de cesser de jouer aux grands moralistes." "La preuve n'a jamais été rapportée que M. Ayrault était au courant des irrégularités commises", note Yvon Chotard, avocat ayant défendu le député et maire.

    Cette tâche sur le CV est-elle de nature à le disqualifier pour Matignon ? "Ce serait absurde de l'écarter pour cette raison, énonce M. Chotard, ancien adjoint désormais brouillé avec Jean-Marc Ayrault. Cela relèverait de la chasse aux sorcières.

    Il n'est pas prouvé qu'il était au courant des irrégularités dit son avocat mais a t'il prouvé qu'il ne l'était pas ?

    J'en doute fort, comme d'habitude avec les socialos gaucho c'est faite ce que je dis mais pas ce que je fais, ce type à trempé dans des histoires de pognon mais ce n'est pas grave c'est prescrit, je regrette mais on parce de celui qui pourrait être le chef du gouvernement et si il a été condamné c'est que la justice en son âme est conscience à juger qu'il était coupable.

    De quoi parle t'on ? De 6 millions de francs (915 000 euros) ce qui à l'époque n'est pas rien quand même pour un marché qu'il a attribué à une de ses potes et c'est exactement ce qu'il va se passer si il devient premier ministre, il va gentiment attribuer des marchés d'états à ses copains au prix fort plutôt que de faire jouer la concurrence pour le bien des deniers des français.

    Toutes les personnes qui ne sont pas des socialos guacho convaincu ou/et lèche botte sont prévenus il n'y aura pas de quartier pour eux ce sera tout pour la gueule des socialo et rien pour les autres.

    Si flamby nous met ça comme premier ministre de la France, ça sera un mensonge de plus à son actif, mais ce n'est pas son premier et ce ne sera pas son dernier, il avait déclaré "dans le Journal du Dimanche du 15 avril qu'il ne s'entourerait pas de personnes jugées et condamnées" on va voir si il tien sa parole ou si il nous met un ancien condamné à la tête de l'état.

      La date/heure actuelle est Mar 24 Sep - 0:31