Le groupe bancaire BNP Paribas va supprimer 373 postes en France et 1 023 à l'étranger, ont annoncé mercredi matin les syndicats CGT et CFDT. Selon les syndicats, la direction a assuré, lors d'un comité central d'entreprise, mercredi matin, que ce plan concerne exclusivement les salariés de la banque d'investissement CIB et se fera sans recours à des licenciements économiques.
La direction a proposé comme mesures sociales une aide au départ volontaire et un accompagnement à la mobilité pour les salariés titulaires d'un contrat à durée indéterminée depuis au moins un an, précise la CFDT de BNP Paribas sur son site. La CFDT estime que ce plan constitue un «nouveau pas afin de rassurer les marchés et agences de notation». «Aujourd’hui, les salariés acteurs des résultats passés vont récolter les fruits de la folie spéculative», ajoute le syndicat.
Le groupe bancaire avait affiché début novembre son intention de procéder à des réductions d'effectifs, en présentant un bénéfice net en repli de 71%, marqué notamment par une dépréciation très importante de ses titres d'Etat grecs. Les activités de banque d'investissement, traditionnellement très juteuses, ont été fortement touchées par la crise de la dette. Les revenus de CIB sont en forte baisse (-39,8%) par rapport au troisième trimestre 2010, à 1.746 millions d'euros.
Mardi, la Société générale a également annoncé des «centaines» de suppressions de postes, essentiellement dans sa banque de financement et d'investissement (BFI).
LeParisien.fr
La direction a proposé comme mesures sociales une aide au départ volontaire et un accompagnement à la mobilité pour les salariés titulaires d'un contrat à durée indéterminée depuis au moins un an, précise la CFDT de BNP Paribas sur son site. La CFDT estime que ce plan constitue un «nouveau pas afin de rassurer les marchés et agences de notation». «Aujourd’hui, les salariés acteurs des résultats passés vont récolter les fruits de la folie spéculative», ajoute le syndicat.
Le groupe bancaire avait affiché début novembre son intention de procéder à des réductions d'effectifs, en présentant un bénéfice net en repli de 71%, marqué notamment par une dépréciation très importante de ses titres d'Etat grecs. Les activités de banque d'investissement, traditionnellement très juteuses, ont été fortement touchées par la crise de la dette. Les revenus de CIB sont en forte baisse (-39,8%) par rapport au troisième trimestre 2010, à 1.746 millions d'euros.
Mardi, la Société générale a également annoncé des «centaines» de suppressions de postes, essentiellement dans sa banque de financement et d'investissement (BFI).
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Aprés la Ste Générale , PSA , Paru Vendu etc...c'est une hécatombe en ce moment !!!