Le bus de la Quick Step, l'équipe de Tom Boonen et Sylvain Chavanel, a été saisi par la gendarmerie française, ce vendredi après-midi, à Challans. Le véhicule a ensuite été escorté par quatre voitures banalisées vers une caserne pour une fouille approfondie
Selon Ouest France, le bus de l'équipe Quick Step (Boonen, Steegmans, Chavanel,...) a été saisi vers 17h45 par la gendarmerie nationale de La-Roche-sur-Yon. Les coureurs venaient de sortir de leur conférence de presse précédant le départ du Tour de France lorsque le véhicule a été intercepté. Il a ensuite été escorté par quatre véhicules banalisés vers un poste de police.
Gregory Ienco, un des nos deux envoyés spéciaux sur le Tour de France a pu reconstruitre le déroulement des événements. Il apparaît que certains journalistes étaient au courant de la descente de police à l'hôtel des Quick Step, à Challans, avant même l'entourage de l'équipe. Notre journaliste confirme que le bus de l'équipe a bien été emmené à la gendarmerie en même que son chauffeur et du directeur sportif de Quick Step, Wilfried Peeters, toujours auditionnés pour l'heure.
A 16 heures, le relation-presse de Quick Step reçoit un appel d'un journaliste de Reuters, soucieux de confirmer la descente de la gendarmerie. Le relation-presse Alessandro Tegner répond par la négative et ajoute "qu'il n'a reçu aucune information en l'espèce". Mais à 17h30, la gendarmerie débarque bel et bien à l'hôtel de la formation belge. Elle demande à Wilfried Peeters de les accompagner au poste et au chauffeur du bus de convoyer le véhicule, encadré par les forces de l'ordre, à la gendarmerie.
Une petite heure plus tard, le cortège arrive à bon port, une ancienne caserne en fait, qui le rend impénétrable et hors de portée des regards indiscrets. Néanmoins, notre journaliste parvient à voir le toit du bus pour confirmer qu'il s'agit bien, écriture à l'appui, de celui des Quick Step. Depuis la saisie à Zaventem, mercredi d'un colis destiné à un ancien coureur Lotto, toujours chauffeur pour l'équipe, la police française a lancé une vaste opération de perquisitions des bus et voitures d'équipes dans la région de Nantes, grande ville proche du Grand Départ.
RMC croit savoir, à bonne source, auprès de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP), qu'il s'agit d'une opération de vérification pure et simple.
Selon Ouest France, le bus de l'équipe Quick Step (Boonen, Steegmans, Chavanel,...) a été saisi vers 17h45 par la gendarmerie nationale de La-Roche-sur-Yon. Les coureurs venaient de sortir de leur conférence de presse précédant le départ du Tour de France lorsque le véhicule a été intercepté. Il a ensuite été escorté par quatre véhicules banalisés vers un poste de police.
Gregory Ienco, un des nos deux envoyés spéciaux sur le Tour de France a pu reconstruitre le déroulement des événements. Il apparaît que certains journalistes étaient au courant de la descente de police à l'hôtel des Quick Step, à Challans, avant même l'entourage de l'équipe. Notre journaliste confirme que le bus de l'équipe a bien été emmené à la gendarmerie en même que son chauffeur et du directeur sportif de Quick Step, Wilfried Peeters, toujours auditionnés pour l'heure.
A 16 heures, le relation-presse de Quick Step reçoit un appel d'un journaliste de Reuters, soucieux de confirmer la descente de la gendarmerie. Le relation-presse Alessandro Tegner répond par la négative et ajoute "qu'il n'a reçu aucune information en l'espèce". Mais à 17h30, la gendarmerie débarque bel et bien à l'hôtel de la formation belge. Elle demande à Wilfried Peeters de les accompagner au poste et au chauffeur du bus de convoyer le véhicule, encadré par les forces de l'ordre, à la gendarmerie.
Une petite heure plus tard, le cortège arrive à bon port, une ancienne caserne en fait, qui le rend impénétrable et hors de portée des regards indiscrets. Néanmoins, notre journaliste parvient à voir le toit du bus pour confirmer qu'il s'agit bien, écriture à l'appui, de celui des Quick Step. Depuis la saisie à Zaventem, mercredi d'un colis destiné à un ancien coureur Lotto, toujours chauffeur pour l'équipe, la police française a lancé une vaste opération de perquisitions des bus et voitures d'équipes dans la région de Nantes, grande ville proche du Grand Départ.
RMC croit savoir, à bonne source, auprès de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP), qu'il s'agit d'une opération de vérification pure et simple.
Si il y avait du dopage dans le cyclisme ça se saurait.
En tout cas ça fait parler du tour de France ce qui au niveau pub est toujours bon à prendre.