Jusqu'ici, aucun gratte-ciel ne lui a résisté. Et ce lundi, Alain Robert a escaladé la plus haute tour du monde, la Burj Khalifa, qui culmine à 828 m (soit 200 étages !) à Dubaï. L'ascension de cet immeuble de verre et d'acier lui a pris six heures.
Confiant, le grimpeur français avait souligné qu'il avait «déjà grimpé sur la deuxième tour la plus haute du monde, ainsi que la troisième et la quatrième».
Surnommé le «Spiderman» français, Alain Robert, 48 ans, est devenu célèbre en escaladant une centaine d'édifices en «solo intégral», c'est-à-dire à mains nues et sans aucun matériel d'assurance. A son palmarès figurent notamment la tour Taipei 101 de Taïwan (508 m soit 101 étages), les Twin Towers Petronas de Kuala Lumpur (452 m), la Sears tower de Chicago (442 m), la tour Jin Mao de Shanghaï (421 m) et la Tour Montparnasse à Paris (209 m).
Equipé d'un harnais de sécurité
Certaines ascensions étant illégales, le grimpeur français a été plusieurs fois interpellé par la police à l'issue de ses exploits, comme l'an dernier à Sydney, en Australie, après avoir gravi un immeuble de 57 étages. Cependant, la plupart de ses prouesses lui sont «commandées» par des entreprises ou des associations, comme c'est le cas à Dubaï. Pour cette ascension, les organisateurs lui ont d'ailleurs demandé de s'équiper d'un harnais de sécurité.
Lundi, avant qu'il ne s'élance, Alain Robert avait affirmé aux médias présents sur place qu'il effectuait cette escalade «dans un but éducatif». «C'est un message d'inspiration pour les jeunes, pour les étudiants», avait-il dit. Son exploit est en effet programmé dans une série d'événements qui accompagnent une conférence internationale à Dubaï, dont le thème est «l'éducation sans frontière». Placée sous le parrainage du président des Emirats arabes unis (EAU), cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahayan, la conférence, réunit du 28 au 31 mars plus de 1 000 étudiants venus de 130 pays et de 300 universités
Le Parisien
Confiant, le grimpeur français avait souligné qu'il avait «déjà grimpé sur la deuxième tour la plus haute du monde, ainsi que la troisième et la quatrième».
Surnommé le «Spiderman» français, Alain Robert, 48 ans, est devenu célèbre en escaladant une centaine d'édifices en «solo intégral», c'est-à-dire à mains nues et sans aucun matériel d'assurance. A son palmarès figurent notamment la tour Taipei 101 de Taïwan (508 m soit 101 étages), les Twin Towers Petronas de Kuala Lumpur (452 m), la Sears tower de Chicago (442 m), la tour Jin Mao de Shanghaï (421 m) et la Tour Montparnasse à Paris (209 m).
Equipé d'un harnais de sécurité
Certaines ascensions étant illégales, le grimpeur français a été plusieurs fois interpellé par la police à l'issue de ses exploits, comme l'an dernier à Sydney, en Australie, après avoir gravi un immeuble de 57 étages. Cependant, la plupart de ses prouesses lui sont «commandées» par des entreprises ou des associations, comme c'est le cas à Dubaï. Pour cette ascension, les organisateurs lui ont d'ailleurs demandé de s'équiper d'un harnais de sécurité.
Lundi, avant qu'il ne s'élance, Alain Robert avait affirmé aux médias présents sur place qu'il effectuait cette escalade «dans un but éducatif». «C'est un message d'inspiration pour les jeunes, pour les étudiants», avait-il dit. Son exploit est en effet programmé dans une série d'événements qui accompagnent une conférence internationale à Dubaï, dont le thème est «l'éducation sans frontière». Placée sous le parrainage du président des Emirats arabes unis (EAU), cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahayan, la conférence, réunit du 28 au 31 mars plus de 1 000 étudiants venus de 130 pays et de 300 universités
Le Parisien
Un exploit oui peut être ! Un coup de pub assurément !!!
Moi je préfére l'ascenceur comme tout le monde !!!!!
Moi je préfére l'ascenceur comme tout le monde !!!!!