remontons
au 5 février 2007, à Donchery (Ardennes), Marie-Rose, 81 ans, ne répond
pas au téléphone...Un de ses fils appelle les pompiers...La
gendarmerie entame des recherches : la voiture de la disparue est garée
devant sa maison et sa porte d'entrée est fermée avec les clefs dans la
serrure extérieure...Des battues sont organisées autour de la
maison, puis dans le village.La
brigade de recherche de Sedan fait appel aux équipes de
Charleville-Mézières, Vrigne-aux-Bois, Flize, Carignan, et au PSIG
(peloton de surveillance et d'investigation) : tout ce petit monde
arpente tout le secteur à plusieurs kilomètres à la ronde.Une
enquête de voisinage est faite, les gares sont fouillées, les société de
taxi sont contactées et, des avis de recherches sont aussi distribués
mais, Marie-Rose demeure introuvable !La
brigade fluviale de Dienville inspecte la Meuse et un hélicoptère de la
gendarmerie de Metz survole la région sans plus de résultat...Un
chien de la brigade cynophile d'Epernay (Marne) est amené au domicile de
la disparue mais, cela ne donne rien non plus...Bref,
tout est fait pour retrouver Marie-Rose (ce qui est loin d'être le cas
dans la grande majorité des disparitions).Vingt-neuf
mois d'angoisse commencent pour sa famille.Quotidiennement,
un des fils de Marie-Rose va nourir son chien resté dans le garage à
son domicile.
Jusqu'au jour où, un ami, à qui la famille
avait prêté la maison de Marie-Rose, entreprend des travaux de rangement
au rez-de-chaussée.C'est là que qu'il découvre, sous la montée
d'escalier, le corps de la vieille dame...Selon
l'autopsie, Marie-Rose est bien décédée de mort naturelle mais, on peut
se poser pas mal de questions sur le déroulement de cette enquête...
au 5 février 2007, à Donchery (Ardennes), Marie-Rose, 81 ans, ne répond
pas au téléphone...Un de ses fils appelle les pompiers...La
gendarmerie entame des recherches : la voiture de la disparue est garée
devant sa maison et sa porte d'entrée est fermée avec les clefs dans la
serrure extérieure...Des battues sont organisées autour de la
maison, puis dans le village.La
brigade de recherche de Sedan fait appel aux équipes de
Charleville-Mézières, Vrigne-aux-Bois, Flize, Carignan, et au PSIG
(peloton de surveillance et d'investigation) : tout ce petit monde
arpente tout le secteur à plusieurs kilomètres à la ronde.Une
enquête de voisinage est faite, les gares sont fouillées, les société de
taxi sont contactées et, des avis de recherches sont aussi distribués
mais, Marie-Rose demeure introuvable !La
brigade fluviale de Dienville inspecte la Meuse et un hélicoptère de la
gendarmerie de Metz survole la région sans plus de résultat...Un
chien de la brigade cynophile d'Epernay (Marne) est amené au domicile de
la disparue mais, cela ne donne rien non plus...Bref,
tout est fait pour retrouver Marie-Rose (ce qui est loin d'être le cas
dans la grande majorité des disparitions).Vingt-neuf
mois d'angoisse commencent pour sa famille.Quotidiennement,
un des fils de Marie-Rose va nourir son chien resté dans le garage à
son domicile.
Jusqu'au jour où, un ami, à qui la famille
avait prêté la maison de Marie-Rose, entreprend des travaux de rangement
au rez-de-chaussée.C'est là que qu'il découvre, sous la montée
d'escalier, le corps de la vieille dame...Selon
l'autopsie, Marie-Rose est bien décédée de mort naturelle mais, on peut
se poser pas mal de questions sur le déroulement de cette enquête...