A Paris, le palais de l'Elysée et plus de 240 monuments et bâtiments ont éteint samedi leurs lumières pendant une heure et la Tour Eiffel pendant cinq minutes dans le cadre de l'opération «une heure pour la planète» (Earth Hour) destinée à promouvoir la lutte contre le dérèglement climatique.
A 20h30 précises, les lumières de l'Elysée se sont éteintes, tout comme l'éclairage extérieur de plus de 240 monuments et bâtiments parisiens : le Louvre, l'Hôtel de Ville, Notre Dame, le Panthéon, les Invalides, la place de la Concorde, l'Opéra Garnier, les ponts parisiens, les mairies d'arrondissement, etc.
La Tour Eiffel ne s'est éteinte que durant 5 minutes. Mais «1.600 bougies constituant le nombre 60 (pour les 60 minutes, ndlr), ont été allumées au pied de la Tour Eiffel, sur le Champ de Mars», a précisé la mairie.
125 pays ont participé à l'opération, soit 37 de plus qu'en 2009
Pour sa quatrième édition, trois mois après l'échec du sommet sur le climat de Copenhague, 125 pays avaient promis de participer à cette opération, contre 88 l'an dernier, selon les organisateurs.
Le mouvement est né à Sydney en 2007 lorsque 2,2 millions de personnes avaient plongé la ville dans le noir pendant une heure afin de sensibiliser l'opinion à la consommation excessive d'électricité et à la pollution au dioxyde de carbone. Cette opération, organisée à l'initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF), a pris une dimension mondiale en 2008.
Le Parisien
A 20h30 précises, les lumières de l'Elysée se sont éteintes, tout comme l'éclairage extérieur de plus de 240 monuments et bâtiments parisiens : le Louvre, l'Hôtel de Ville, Notre Dame, le Panthéon, les Invalides, la place de la Concorde, l'Opéra Garnier, les ponts parisiens, les mairies d'arrondissement, etc.
La Tour Eiffel ne s'est éteinte que durant 5 minutes. Mais «1.600 bougies constituant le nombre 60 (pour les 60 minutes, ndlr), ont été allumées au pied de la Tour Eiffel, sur le Champ de Mars», a précisé la mairie.
125 pays ont participé à l'opération, soit 37 de plus qu'en 2009
Pour sa quatrième édition, trois mois après l'échec du sommet sur le climat de Copenhague, 125 pays avaient promis de participer à cette opération, contre 88 l'an dernier, selon les organisateurs.
Le mouvement est né à Sydney en 2007 lorsque 2,2 millions de personnes avaient plongé la ville dans le noir pendant une heure afin de sensibiliser l'opinion à la consommation excessive d'électricité et à la pollution au dioxyde de carbone. Cette opération, organisée à l'initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF), a pris une dimension mondiale en 2008.
Le Parisien
Quelle belle hypocrisie alors !!...A coté de chez moi le siége de Bouygues reste allumé toute la nuit 365jours/365 !