On attendait l'iSlate ou l'AppleTablet... après des semaines d'attente et de rumeurs folles, Steve Jobs, le patron d'Apple, a présenté il y a quelques minutes, sur la scène du Yerba Buena Center de San Francisco (Etats-Unis), l'iPad.
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A mi-chemin entre un ordinateur portable et un iPhone, l'engin «est plus affectif et intime à utiliser que le premier, et plus facile à piloter que le second, a expliqué Steve Jobs, en jean et chemise noire, terriblement amaigri par la maladie. L'apparition des netbooks n'a rien apporté, car ils ne font rien de mieux que des ordinateurs portables classiques. Ils sont juste un peu moins chers et moins performants.»
Très fin, seulement 1,27 centimètre d'épaisseur, équipé d'un écran tactile de 25 centimètres de diagonale, l'iPad ressemble à première vue à un iPhone bodybuildé. Où plutôt à un iPod Touch dont on aurait étiré l'écran, puisqu'il se connecte principalement à Internet via le wi-fi.
Dix heures d'autonomie
Se prêtant au jeu de la démonstration en direct, Steve Jobs a surfé sur Internet, en utilisant ses doigts pour naviguer sur une page du «New-York Times», avant d'aller jeter un œil sur le plan du métro parisien, d'afficher quelques photos personnelles, et de regarder une vidéo en haute définition, celle d'un chien faisant du surf, sur YouTube. L'iPad rend également les jeux vidéo plus faciles à manipuler grâce à son grand écran.
Disponible avec trois capacités de stockage, 16, 32 ou 64 gigaoctets, il propose une autonomie de chameau : dix heures en usage, soit «de quoi regarder sans s'arrêter des films sur un vol New-York Tokyo», s'est félicité Steve Jobs, et près d'un mois en veille. L'appareil pourra également servir de livre électronique, alimenté par une libraire en ligne, iBooks, sur le modèle d'iTunes pour la musique, sur laquelle on pourra acheter en quelques clics des ouvrages, et ensuite les feuilleter du bout des doigts.
La tablette devrait être vendue à un prix de départ de 499 dollars pour sa version de base, à partir de la fin du mois de mars.
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Disponible avec trois capacités de stockage, 16, 32 ou 64 gigaoctets, il propose une autonomie de chameau : dix heures en usage, soit «de quoi regarder sans s'arrêter des films sur un vol New-York Tokyo», s'est félicité Steve Jobs, et près d'un mois en veille. L'appareil pourra également servir de livre électronique, alimenté par une libraire en ligne, iBooks, sur le modèle d'iTunes pour la musique, sur laquelle on pourra acheter en quelques clics des ouvrages, et ensuite les feuilleter du bout des doigts.
La tablette devrait être vendue à un prix de départ de 499 dollars pour sa version de base, à partir de la fin du mois de mars.
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leparisien
Une révolution ou pas ??? Je n'y connais rien !!!!